Exercice d'auto-présentation

[Tenzin Dorje]

Un petit exercice de présentation de soi-même à la troisième personne, ça vous tente ?

Histoire de briser la coquille du noyau philautarchien, et ainsi, s'ouvrir.

[lanK]

Il acquiesce.Il veut bien faire l'article de lui-même et déjà il s'interroge sur la matière qu'il mettra en avant.Il est curieux,à l'affût de ce que les autres ils mettront en perspectives,que très souvent il ne soupçonnait pas,et qui les débat.Autrement,il a de l'intérêt pour la place qu'occupe l'autre dans sa relation au monde,l'autre en tant qu'autre subjectivité,autre potentialité .Il exerce la profession de soignant,c'est dire la prégnance de ses questionnements .

[Tenzin Dorje]

Adam, penseur suisse né à Neuchâtel en l'en 1983, suce constamment des "mini fröschli cola", mange une pomme et boit une tisanne avant chaque coucher et est particulièrement porté sur le Martini bianco.


Voilà.

[Charlie]

Charlie, admirateur des penseurs, né la même année que la chute du mur, constamment sous caféine pour éviter le suicide, et très heureux de pouvoir à nouveau vous lire!

[Vargas]

Vargas, Jeanne d'Arc des oreilles ("j'entends des textes !"), poilu n'ayant pas faire la guerre de 14.
N'a pas le nez camus mais aime l'odeur du napalme philosophique au petit déjeuner.

Vend nabot féroce avec petit zizi T1 à tout pays en manque de vrai/faux père fouettard (-20% pour les fêtes de Noël).

[Bergame]

Il n'aime pas trop, je crois, se présenter. Et l'anonymat d'internet lui convient bien. Au moins pour trois raisons :
- D'abord, parce qu'il adore se sentir étranger au milieu d'inconnus.
- Ensuite parce que, néanmoins, internet lui semble une fenêtre incomparable sur la pensée des autres. Les autres, non pas auteurs, intellectuels, penseurs plus ou moins institutionnalisés, mais ses contemporains, ses alter-ego, les "autres". Qu'est-ce que pensent les autres, et pourquoi, comment, vers quel horizon, ce sont certainement des questions qui lui importent beaucoup.
- Enfin, il croit beaucoup à la discussion. Et il pense qu'internet est un merveilleux outil de débat, qui réunit les avantages du support écrit et de l'interactivité communicationnelle. Être texte parmi des textes, qui s'interpellent, se répondent, se confrontent, voila qui lui va très bien, je crois.

Il a -au moins en partie- constitué son parcours pour apprendre, de milieux et de domaines divers et souvent... opposés. Enfin, dire qu'il a mené tout cela volontairement serait naturellement très exagéré. Mais lorsqu'il regarde en arrière -enfin pas tant que ça, il n'est pas si vieux tout de même ! :) - il a le sentiment d'une diversité un peu étonnante parfois -au moins pour lui !- mais qui pourtant, possède une certaine cohérence. Il est par exemple psychologue de formation, mais il a fait une bonne partie de sa carrière (jusque là) dans le Conseil et le monde de l'entreprise. Il a vécu et travaillé en Europe, mais également en Afrique. Il a eu la chance d'intégrer l'une de ces grandes organisations internationales dont on dit qu'elles sont le fer de lance de la mondialisation -expérience ô combien intéressante...
Il se sent souvent écartelé entre tous ces domaines de la vie qui n'admettent pas tous la même éthique, qui n'exigent pas de vous les mêmes facettes. Il a parfois eu le sentiment de passer d'un monde à un autre. Pourtant, je ne crois pas qu'il se soit perdu, au contraire, peut-être s'est-il trouvé : Il est rentré en France, a entamé une thèse de sciences politiques. Je crois qu'il y a eu une sorte de prise de conscience. Et il en est là ; engrange, engrange, réfléchit, lit, étudie. Accumule. Pour quoi faire, il ne le sait pas trop encore. Mais quand il regarde en arrière, il a le sentiment d'une certaine cohérence, alors il est confiant : Tout cela prendra sens.

Ah finalement, peut-être qu'il ne déteste pas tant que ça se présenter... :D

[x-ray]

Il se demande ce qu'il fait ici, tant ce monde lui est étranger. Il aime apprendre, et cela lui suffit peut-être à justifier cette incursion.
Il a lui aussi beaucoup voyagé, du droit à la technique, de l'aéronautique à l'histoire. Il y a vu des profils différents, et succombe souvent aux charmes des apparences. A l'apparence du savoir, à la musique des mots, à la beauté de la construction logique, à l'ivresse de la discussion.
Il ère dans la vie comme un promeneur qui flâne au gré des vents. Pourtant, il donne souvent l'impression de savoir où il va, de savoir ce qu'il dit. Il joue probablement un rôle, et celui de comparse ne lui déplaît pas.
S'il avait écrit sa présentation demain, elle eût été bien différente, car il sera encore bien différent demain.
Il est heureux de ses rencontres, mêmes des plus improbables. Il les préfère autour d'une bière, même si cela peut parfois claquer comme un coup de tête. Il est avide des autres autant qu'il l'est de se découvrir.
Il aime bien cette formule de politesse : Profond respect.
Il n'écrira pas beaucoup, car il a de moins en moins de chose à dire.

[Tenzin Dorje]

Adam mène beaucoup de combats, c'est un (hyper)actif, un guerrier, un obstiné - il n'en démord pas, comme on dit.

Parmi eux, un combat contre le désenchantement : celui qui sous-tend l'universalité (quand on ne voit plus rien de singulier au monde, que ce grand chêne "est juste un arbre"), celui qui sous-tend le savoir ("oh ! quel beau diamant !", "tu sais, c'est juste du carbonne cristalisé"), celui qui guette ce qui gravite autour de "la pensée carrée" : rationnalisme, académisme, bistouri de la science, etc. Le désenchantement, aussi, qui se cache derrière l'avoeu désabusé : "de toute manière, à chacun sa vérité et pis c'est tout".
Mais il combat aussi le désenchantement qui se profile derrière la sentence d'Épictete selon laquelle il vaut mieux changer ses désirs que l'ordre du monde. Il est, au fond, très quichottesque ... en plus gamin, "peter panesque". S'adapte à lui la formule goethienne qui dit "Halb Kinderspiel, halb Gott im Herzen !".

Va pour l'illusion(nisme) au dépend de la désillusion. Non pas une pensée magique ! Pas de toute-puissance de la spéculation, pas de jour triomphant à la Hegel : seulement un mariage, malheureux mais enchanteur/enchanté, entre la "pensée magique" et le boulet de la réalité qui tire la pensée plus bas que terre - heureux qui peut dire ce qu'est la réalité et bénie soit-elle.

Etc, etc.

[Guy Housse]

Guy n'a pas beaucoup de temps pour venir, mais il passe du temps à lire. Il est philosophe du désir et du regard.

Il dépense beaucoup de temps et d'argent dans le voyeurisme, activité naturelle et spirituelle qui trop souvent a mauvaise presse. Il finit d'ailleurs la rédaction d'un livre sur le désir scopique du philosophe, le désir de voir les essences, les principes, qui se dérobent du regard tout en s'offrant à l'investigation. L'oeil est partout présent mais il ne s'avoue pas. Il se cache.

En activité de seconde main, Il essaye aussi de penser - et de vivre pardi ! - l'enroulement du visible sur la chair, à la manière des phénoménologues, à travers l'exhibitionnisme. Se montrer dans sa nudité est le montage existentiale - au sens heideggerien du terme - d'un ensemble de thématique originaire tel que la honte, l'intériorité de l'intime, la puissance de l'être, l'amour... et c'est bien sûr le sol de la réflexivité : Montrer sa chair, c'est montrer son âme et la voir dans le regard d'autrui. C'est revendiquer son existence et la faire surgir au détour d'une ruelle.

Souvent, on le taxe de malade (quel mot relatif...) mais sa petite communauté aime à penser qu'il s'agit d'une inhibition collective devant la clarté de l'être lorsqu'il se donne, se soustrait, se cache au regard. Car l'oeil roule sur la peau !

Guy s'incline devant vous, et ouvre délicatement sa veste. J'existe !

[Vargas]

[prgrokrouk]

Le Professeur GroKrouk, suit l’inspiration que souffle 142. Il écoute. Elle dit, elle dit, elle dit : nous aimons rire de certain Sage, que le sérieux raidit. Nous aprécions l'ironie de certains autres, et excusons leurs faiblesses. Nous goûtons la prose d'autres encore, moins élevés en grade mais souvent plus que votre serviteur. Ils tiennent en quelques lignes.

142 et moi décidons démocratiquement et entre nous, de réduire le commentaire. Le contexte nous emporte hélas, mais le nombre de mots conditionne strictement l'échange et la lecture effective. Ou alors, diluons, et pourquoi pas ! La réduction valorise l'écriture paradoxalement, comme voie d'oralisation. Nous suggèrons la longueur que nous nous imposons ici, et la découpe se veut exemplaire (merci pour les applaudissements).

Nous avons un élan de coeur pour beaucoup d'intervenants croisés ici au fil des commentaires. Nous aimerions lutter sur le terrain philosophique avec un peu de passion et de rage, avec quelques autres, car nous sommes révoltés comme un adolescent. Il faudrait disputer, cocasse ou spirituel : ce serait du thème : « Je n'aime pas le cerveau, qu'en pensez-vous ? ». Le Cerveau serait défendu par un commis d'office (lui-même), face au Procureur et la Partie Civile. Dégelée ou thérapie, advienne que pourra. On simulerait une autre fois, un Procès de l'Inquisition sur scripts... avec citation des aveux (on aime tant citer), quitte à sauter avec. Il y a des exemples : J.B., G.G., etc.

Nous alimentons et créons éventuellement une fiction étendue, par notre complicité.

Nous sommes plus vrai ici, ou sur http://lestribunationsdefrankie.blog.20minutes.fr/, qu'ailleurs et dans la vie, où on nous voit contraires à ce que nous pouvons être. Mais ça nous arrange depuis des années.

Il aurait été un temps Agent pour la Marine, voyagé en canonnière par des contrées hostiles. Il aurait été très bon Psychologue Clinique. GroKrouk invoque un être indéfiniment. Il est pris pour l’ours ou le singe, animaux sages. Il rase les murs avec sa petite vérité, ainsi en ont voulu les CCAS, CLI, CAF, tous les menteurs et tous les profiteurs. Il ne sait pas s'il pourra continuer de retrouver son chat Minette, qui l'a élevé, et qui est tellement plus forte que lui, Lion dépecé. Il y a beaucoup d'ânes, en ce moment.

Il écoute une vie à laquelle il s’attache, alterne du temps donné sans effet et le temps pris par d'autres pour le tuer. Sa domesticité allocataire est artificielle ou protestataire, et pose maintenant un problème vital aux instances prévenues ! On se délecte sur dossier...

Il est à peine plus âgé que Bergame, beaucoup plus beau avec un peu de chance.

[Bergame]

LOL !

Oui, et bien je te souhaite d'en profiter, car comme disait à peu près l'autre, l'inconvénient avec la beauté, c'est que, de toutes façons, ça dure pas. :D

Surtout à notre jeune age.

[prgrokrouk]

... et puis l'inconvénient de la beauté, c'est que ça ne se mange pas.

[Fast]

Cet individu passe visiblement plus de temps qu'il est raisonnable d'en passer sur le web. Ses premiers pas y furent d'écrire un peu de poésie et très vite de participer à des échanges forumiques. Il n'y a pas de bilan à tirer aujourd'hui, juste le constat d'une addiction inutile et sans espoir de guérison. C'est visiblement un mode de vie très sédentaire et de grosses difficultés de communication qui l'y ont mené. Malgré une tendance accrue au pessimisme, il perçoit une ouverture dans une pensée construite et l'utilisation de son bagage culturel qu'il accepte de porter pour être architecte.

[Arkh]

Arkh, du haut de ses 18 ans, est élève de l'ENS. Non pas en lettres, mais en sciences. Comme on peut s'y attendre, c'est un matérialiste pur et dur, voire irrécupérable. Il considère Dieu et l'âme comme des hypothèses superflues, la conscience et les sentiments comme des réactions chimiques, et la vie en générale comme des intéractions d'atomes. Pourtant, il se refuse d'être nihiliste, et aime se shooter à la transendance, pourvu qu'elle ne soit pas mystique.

Il est en quête d'une cohérence, d'une logique de vie à adopter, qui rendrait son existence un peu moins superflue. Oh, pas grand chose, juste de quoi être égal à soi-même le temps d'un sursis terrestre. Il espère que ce forum - et son subversif memborat - l'aideront à atteindre ce haut degré de plénitude.

[Guy Housse]

Arkh, du haut de ses 18 ans, est élève de l'ENS. Non pas en lettres, mais en sciences. Comme on peut s'y attendre, c'est un matérialiste pur et dur, voire irrécupérable. Il considère Dieu et l'âme comme des hypothèses superflues, la conscience et les sentiments comme des réactions chimiques, et la vie en générale comme des intéractions d'atomes. Pourtant, il se refuse d'être nihiliste, et aime se shooter à la transendance, pourvu qu'elle ne soit pas mystique.

Il est en quête d'une cohérence, d'une logique de vie à adopter, qui rendrait son existence un peu moins superflue. Oh, pas grand chose, juste de quoi être égal à soi-même le temps d'un sursis terrestre. Il espère que ce forum - et son subversif memborat - l'aideront à atteindre ce haut degré de plénitude.

J'en profite pour souligner l'allongement de l'adolescence dans nos sociétés.

[Arkh]

Je ne saisis pas le sens de votre remarque, Monsieur Housse. Pourriez-vous la préciser ?

[Plus Oultre]

Alain Delon Il, c'est un jeune étudiant en histoire, qui a beaucoup voyagé aussi, dès la naissance, peut-être trop... Dont le second traumatisme, après l'expulsion du ventre maternel, a été l'aspiration brutale dans le monde de la pensée.
Et c'est bien le problème.
Depuis, il est à l'affût des découvertes intellectuelles, et de ces moments de lecture en extérieur qui font les instants de plaisir, sans qu'on s'en rende compte - donc la nostalgie de demain.
Il croit à la philosophie, aussi, mais ne se sent souvent pas de taille à l'affronter tout seul. En attendant, il rêve des jours suffisamment oisifs où il pourra enfin plonger dans ces mirages qui l'attirent (les Aristote, Spinoza, Kant et autres Heidegger). Comme s'ils avaient un secret sur la vie à livrer.
Il sent pourtant bien que c'est la difficulté, la quête du secret et des confins de la pensée qui l'attirent. Il sait aussi pertinemment qu'il n'y a pas de secret à découvrir, et qu'une fois avalée cette somme d'auteurs, il n'en sera pas plus avancé. C'est une foi éclairée et, en tant que telle, toujours un peu tragique.
Il aime aussi l'Allemagne, l'Afrique où il a longtemps vécu, le carpaccio de boeuf et la bière d'abbaye, les jeunes sans ambition, les gens qui évitent de se prendre au sérieux. Son côté christique, en somme (reste à prouver que Jésus aimait le carpaccio).
Il lisait Philautarchie avec appétit - il le fera sans doute encore avec Digression, mais sans trop y causer. De quoi parlerait-il, encore et toujours, sinon de sa foi naïve dans la philosophie, et de ses mirages ?

[Vargas]

Up ! pour ceux qui n'y seraient pas passé ! :ciquine:

[Ed Auld]

Up ! pour ceux qui n'y seraient pas passé ! :ciquine:

Ed, vieux motard que j'aimais.

Ed, l'abstinence lui allait bien : la valeur légale de l'exception.
Trop loin, stupéfié, les camisoles ne l'enchaînaient plus assez - à
défaut d'une issue, pour la fuite, il prenait plus. A force de frappes
et de plombs, entre un corps refuge et un esprit d'exil, le virtuel
dans sa pause : il s'y appose comme sa prose, vaine et vilaine, en
forme de monstre.

"Holderlein, montre moi encore ce qu'aiment ceux qui pensent profond",
se disait-il dans un stade du miroir réfléchi. Il s'était vu écrire que
le renoncement comme pire des choix complétait la complaisance comme
pire des vies, et de ce vague traumatisme il en avait trouvé prétexte à
sédation. "T'sais bien', lui disaient en rythme des ennemis trop
familiers.
Mais non.

Donc il cherchait, ce qu'il convient de bien savoir, de ce coeur de la
vérité bien arrondi qui convient à l'homme prudent, de ces réductions
catastrophiques aux jeux des visages infinis, et puis des méditations
en représentations critiques il cherchait vaille que vaille, la
faille. Et la moutarde, la seule, lui montait au nez. Et dans sa
capitale il trouvait l'ivresse des bières. Et échouait, et échouait à
vivre en vrai.

Ed avait perdu l'Autre. Wannabe étudiant retardé, keblo, perché, avec
pour vocation seconde : hérésie ataraxique. (Quand c'est trope c'est
tropicole.)

[lanK]

Aloha ed
l'Autre t'a retrouvé ?

[Moi]

Il se lance, juste pour voir.

Il a tout juste 18 ans, bientôt 19 et a commencé des études de maths.
Il essaie de réfléchir un peu, comme ça, pour comprendre.
Souvent, il sent qu'il a quelque chose de différent de la plupart des gens qu'il croise, mais il est sans doute juste vaniteux et se trompe, il imagine, lourdement.
Pour ce qui est du caractère il est faignant, et indécis. Il s'embête rapidement dans tout ce qu'il fait, s'il n'y a pas de nouveauté fréquemment.
Il voudrait être bien, avoir juste une attitude conforme à ce qu'il dit. Mais il trouve que c'est dur.
Et finalement il ne veut déranger personne. C'est dû à sa timidité. Il a toujours peur d'embêter le monde, et de paraître ridicule aussi.
Il se dit qu'il est sans doute très con. Il se console juste en se disant qu'il se le demande, ce qui est déjà ça.
Ah, et il n'aime pas grand chose dans ce qui est proposé ces dernières années, surtout en ce qui concerne la musique et la télé aussi.

[Tenzin Dorje]

Je vais substituer le Je au Il, pour une fois. (transition vers l'auto-biographie assumée)


Il y a eu quelques changements. De l'eau a coulé sous les ponts.


26 ans,
Je débute l'école de préparation universitaire en Septembre. Avec Théologie pour majeure et Littérature Anglaise pour mineure. Dans l'optique d'embrasser le pastorat et le milieu missionnaire (quand bien même je ne suis pas du tout porté apologétique).
J'ai emménagé dans mon propre appartement et passe mes journées à l'étude ; en train d'écrire "Article d'ontologie critique rapporté à la tradition paulino-luthérienne".

Et - le plus important - j'ai une copine (coréenne).

[Pierre Rivière]

Il débute l'écriture d'un livre.
Ce sera une adaptation de ses carnets. Cela lui permettra de faire la transition avec un nouveau mode d'écriture, car sa pensée ne s'exprime plus sous forme d'aphorismes. L'aphorisme n'est plus suffisamment silencieux.
Il ne sait pas s'il l'achèvera un jour.

[Tenzin Dorje]

Lui aussi débute l'écriture d'un livre. Si vous le souhaitez, il peut en publier quelques mini-extraits.

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