FEMME LECTRICE, REVIENS-NOUS!
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FEMME LECTRICE, REVIENS-NOUS!
FEMME LECTRICE, REVIENS-NOUS!
Les femmes sont réputées depuis longtemps pour être de grandes lectrices. Les anciens salons littéraires, souvent animés par des femmes, l'attestent. Jusque récemment, la femme était associée à la lecture et la lecture faisait partie du charme féminin. Un livre ouvert symbolisant inconsciemment le sexe féminin, la lecture érotise subtilement la femme, tout en raffinant son intellect.
Mais chacun peut observer aujourd'hui que les femmes lisent de moins en moins et pianotent de plus en plus sur leur smartphone, technologie invasive qui porte mal son nom, car il ne rend pas intelligent ("smart"), mais superficiel et débile, des études scientifiques ayant montré que l'usage intense de son portable atrophie littéralement les neurones et certaines zones du cerveau.
Non seulement le portable n'a rien de féminin, mais au lieu de cultiver l'intelligence et l'imaginaire romantique féminins, comme le fait un roman, il cultive l'idiotie, la superficialité et le conformisme féminins. Le portable exploite la part sombre et puérile de la femme, la réduisant à une éternelle adolescente.
Une différence également notable avec le portable est que le livre ouvre la femme sur elle-même, sur un monde intime échappant aux autres et au monde extérieur, contrairement au portable, qui renforce la dépendance de la femme au monde et aux autres. La lecture est donc une forme d'émancipation pour la femme, qui peut ainsi se libérer quelque temps des autres et cultiver en elle-même sa féminité (en lisant des romans et de la poésie, comme le faisaient les Précieuses) et sa spiritualité (en lisant des textes édifiants et religieux).
C'est bien de lire, mais c'est insuffisant à notre époque, où il faut aussi encourager les autres à lire, et en particulier le beau sexe, aliéné et infantilisé par les nouvelles technologies.
Mais chacun peut observer aujourd'hui que les femmes lisent de moins en moins et pianotent de plus en plus sur leur smartphone, technologie invasive qui porte mal son nom, car il ne rend pas intelligent ("smart"), mais superficiel et débile, des études scientifiques ayant montré que l'usage intense de son portable atrophie littéralement les neurones et certaines zones du cerveau.
Non seulement le portable n'a rien de féminin, mais au lieu de cultiver l'intelligence et l'imaginaire romantique féminins, comme le fait un roman, il cultive l'idiotie, la superficialité et le conformisme féminins. Le portable exploite la part sombre et puérile de la femme, la réduisant à une éternelle adolescente.
Une différence également notable avec le portable est que le livre ouvre la femme sur elle-même, sur un monde intime échappant aux autres et au monde extérieur, contrairement au portable, qui renforce la dépendance de la femme au monde et aux autres. La lecture est donc une forme d'émancipation pour la femme, qui peut ainsi se libérer quelque temps des autres et cultiver en elle-même sa féminité (en lisant des romans et de la poésie, comme le faisaient les Précieuses) et sa spiritualité (en lisant des textes édifiants et religieux).
C'est bien de lire, mais c'est insuffisant à notre époque, où il faut aussi encourager les autres à lire, et en particulier le beau sexe, aliéné et infantilisé par les nouvelles technologies.
Kokof- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 07/03/2019
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