Que l'homme proposerait, et que la femme disposerait
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Que l'homme proposerait, et que la femme disposerait
Je viens de comprendre une chose ce jour, à minauder avec ma chère et tendre.
Je viens de comprendre que si, mammifèrement, l'homme (le mâle) propose, et que la femme (le femelle) dispose ... et que si, humainement, on retrouve manifestement ce genre de caractères dans la sélection sexuelle ...
... je viens pourtant de comprendre, que les femmes fustigent grand à tort, les fameux égoïsmes, lâchetés & médiocrités masculines (de leur point de vue !).
En effet, de leur point de vue, les hommes se jettent bien souvent dans des affaires ou querelles d'egos, mais je n'ai pas l'impression que les vanités & jalousies féminines soient autre chose, ni qu'elles en aient à envier aux vanités & rivalités masculines. Non. Simplement, ce que les femmes appellent affaires/querelles d'egos masculins, sont précisément les affres de l'honneur & du déshonneur masculin, non seulement par lesquelles les femmes vont se décider pour l'un ou l'autre mammifèrement, mais aussi par lesquelles les hommes se hiérarchisent fonctionnellement d'une part (or, cela, je le savais déjà : et sans hiérarchisation instinctive, pas de société qui tienne, des études sociologiques ont déjà démontré l'intenabilité des communautés féminines [réf. manquantes, laâs]), mais aussi encore par lesquelles les hommes se surpassent eux-mêmes - d'abord & avant tout à leurs propres yeux, personnellement - de sorte à s'élever spirituellement par l'instinct, dans tous les domaines, à tous les niveaux, de la guerre à la philo, en passant par le sport et la cuisine.
En effet toujours, de leur point de vue (aux femmes), les hommes sont lâches, mais ils ne font jamais que mesurer/évaluer le danger, et l'étrangeté femelle est rarement apprivoisable, surtout quand elle est humaine - affaires morales de respect de la personne/dignité humaine. Donc a fortiori, l'étrangeté féminine est improbablement approvoisable. De sorte que les hommes ont ce sensé sens de la fuite, de l'évitement, de l'esquive & du suspens, d'une part à l'égard de leurs propres hiérarchisations, mais encore à l'égard des femmes.
En effet enfin, de leur point de vue (aux femmes), les hommes sont médiocres, mais ils ne font jamais - dans la veine - que s'installer dans des fonctionnalités, pour le meilleur humain, y compris féminin, au cas où nul ne l'aurait remarqué : cette stabilité que les femmes chérissent en mariage, et honnissent pour la même raison en se cherchant un amant-bohème.
Pardonnez-moi : je généralise en disant "les femmes", sachant bien qu'aucun individu ne ressemble bien à un autre, mais c'est que je généralise, justement, et que donc j'ai peu de temps pour les casuistiques - ni intérêt à les exhausser dans cette démarche.
Mais, de ces trois points, il y a mieux encore : les hommes passent (généralités) pour "des enfants", aux yeux des femmes, ou plutôt à leurs tempéraments, quand bien même elles attendent de l'adultesse de leur homme (définie dans leurs termes, l'adultesse, sinon ce ne serait pas drôle).
Or, justement, ce "passage-pour-un-enfant" est tréfondamentalement nécessaire, vital, en terme d'épreuvement féminin. Humainement nolontaire, il est mammifèrement & hominiquement nécessaire, afin d'éprouver, d'une part, non seulement les nerfs de ces dames à l'égard de leurs conjoints (supportabilité nerveuse à long terme, échappant au contrôle féminin) et, d'autre part, afin d'hominiser la mammifèreté de la reproduction, en créant le détachement/la désinvolture féminine nécessaire à la défusion physique et psychique (surtout psychique, en l'occurrence), corporelle et morale (surtout morale en l'occurrence, donc) d'avec les petits/les enfants.
Au-delà même : sa supportation nerveuse à long terme de l'enfantinerie du conjoint, lui permet de supporter nerveusement à long terme les enfantillages des petits/des enfants, dans la paix & l'amour du tiers masculin. Sans cela, c'est la mère hystérique, la mère frénétique, la mère mélancolique, la mère stratégique, la mère pathétique, la mère tout ce que vous voudrique, mère qui, pour autant qu'elle n'est pas haïe par ses petits/ses enfants (encore que : symptomatiquement, des films d'horreur et pas que d'horreur mettent ça de plus en plus en scène artialisée) ... en est fatalité malaimée (par ses petits/ses enfants). Mais, avec cela, c'est la mère (relativement) apaisée, sécurisée, protégée, et surtout apaisante, sécurisante, protégeante, de l'ensemble du ménage, conjoint compris - qui codynamiquement l'apaise, la sécurise, la protège, en lui permettant de mieux vivre les petits/les enfants, soit donc d'hominiser la relation filiale. En effet, chez le restant des mammifères où le femelle dresse seule ses petiots, elle doit faire preuve de rage envers eux parfois, pour les tenir : tout ce qui ne passe pas humainement, ou mal, ou difficilement : mère dragon, mère harpie, mère méduse.
Voilà voilà.
Femmes, vous ne serez jamais assez tendres avec les hommes, de même que les hommes ne seront jamais assez indulgents avec vous.
Et, en somme, vous ne disposez même pas de vous-mêmes, comment disposeriez-vous des hommes ?
Par définition, l'homme est ce-qui-toujours-vous-échappe. C'est agaçant, non ? ... Or, l'asservir, c'est l'émasculer, et ce n'est pas vraiment ce que vous voulez, non plus.
Je viens de comprendre que si, mammifèrement, l'homme (le mâle) propose, et que la femme (le femelle) dispose ... et que si, humainement, on retrouve manifestement ce genre de caractères dans la sélection sexuelle ...
... je viens pourtant de comprendre, que les femmes fustigent grand à tort, les fameux égoïsmes, lâchetés & médiocrités masculines (de leur point de vue !).
En effet, de leur point de vue, les hommes se jettent bien souvent dans des affaires ou querelles d'egos, mais je n'ai pas l'impression que les vanités & jalousies féminines soient autre chose, ni qu'elles en aient à envier aux vanités & rivalités masculines. Non. Simplement, ce que les femmes appellent affaires/querelles d'egos masculins, sont précisément les affres de l'honneur & du déshonneur masculin, non seulement par lesquelles les femmes vont se décider pour l'un ou l'autre mammifèrement, mais aussi par lesquelles les hommes se hiérarchisent fonctionnellement d'une part (or, cela, je le savais déjà : et sans hiérarchisation instinctive, pas de société qui tienne, des études sociologiques ont déjà démontré l'intenabilité des communautés féminines [réf. manquantes, laâs]), mais aussi encore par lesquelles les hommes se surpassent eux-mêmes - d'abord & avant tout à leurs propres yeux, personnellement - de sorte à s'élever spirituellement par l'instinct, dans tous les domaines, à tous les niveaux, de la guerre à la philo, en passant par le sport et la cuisine.
En effet toujours, de leur point de vue (aux femmes), les hommes sont lâches, mais ils ne font jamais que mesurer/évaluer le danger, et l'étrangeté femelle est rarement apprivoisable, surtout quand elle est humaine - affaires morales de respect de la personne/dignité humaine. Donc a fortiori, l'étrangeté féminine est improbablement approvoisable. De sorte que les hommes ont ce sensé sens de la fuite, de l'évitement, de l'esquive & du suspens, d'une part à l'égard de leurs propres hiérarchisations, mais encore à l'égard des femmes.
En effet enfin, de leur point de vue (aux femmes), les hommes sont médiocres, mais ils ne font jamais - dans la veine - que s'installer dans des fonctionnalités, pour le meilleur humain, y compris féminin, au cas où nul ne l'aurait remarqué : cette stabilité que les femmes chérissent en mariage, et honnissent pour la même raison en se cherchant un amant-bohème.
Pardonnez-moi : je généralise en disant "les femmes", sachant bien qu'aucun individu ne ressemble bien à un autre, mais c'est que je généralise, justement, et que donc j'ai peu de temps pour les casuistiques - ni intérêt à les exhausser dans cette démarche.
Mais, de ces trois points, il y a mieux encore : les hommes passent (généralités) pour "des enfants", aux yeux des femmes, ou plutôt à leurs tempéraments, quand bien même elles attendent de l'adultesse de leur homme (définie dans leurs termes, l'adultesse, sinon ce ne serait pas drôle).
Or, justement, ce "passage-pour-un-enfant" est tréfondamentalement nécessaire, vital, en terme d'épreuvement féminin. Humainement nolontaire, il est mammifèrement & hominiquement nécessaire, afin d'éprouver, d'une part, non seulement les nerfs de ces dames à l'égard de leurs conjoints (supportabilité nerveuse à long terme, échappant au contrôle féminin) et, d'autre part, afin d'hominiser la mammifèreté de la reproduction, en créant le détachement/la désinvolture féminine nécessaire à la défusion physique et psychique (surtout psychique, en l'occurrence), corporelle et morale (surtout morale en l'occurrence, donc) d'avec les petits/les enfants.
Au-delà même : sa supportation nerveuse à long terme de l'enfantinerie du conjoint, lui permet de supporter nerveusement à long terme les enfantillages des petits/des enfants, dans la paix & l'amour du tiers masculin. Sans cela, c'est la mère hystérique, la mère frénétique, la mère mélancolique, la mère stratégique, la mère pathétique, la mère tout ce que vous voudrique, mère qui, pour autant qu'elle n'est pas haïe par ses petits/ses enfants (encore que : symptomatiquement, des films d'horreur et pas que d'horreur mettent ça de plus en plus en scène artialisée) ... en est fatalité malaimée (par ses petits/ses enfants). Mais, avec cela, c'est la mère (relativement) apaisée, sécurisée, protégée, et surtout apaisante, sécurisante, protégeante, de l'ensemble du ménage, conjoint compris - qui codynamiquement l'apaise, la sécurise, la protège, en lui permettant de mieux vivre les petits/les enfants, soit donc d'hominiser la relation filiale. En effet, chez le restant des mammifères où le femelle dresse seule ses petiots, elle doit faire preuve de rage envers eux parfois, pour les tenir : tout ce qui ne passe pas humainement, ou mal, ou difficilement : mère dragon, mère harpie, mère méduse.
Voilà voilà.
Femmes, vous ne serez jamais assez tendres avec les hommes, de même que les hommes ne seront jamais assez indulgents avec vous.
Et, en somme, vous ne disposez même pas de vous-mêmes, comment disposeriez-vous des hommes ?
Par définition, l'homme est ce-qui-toujours-vous-échappe. C'est agaçant, non ? ... Or, l'asservir, c'est l'émasculer, et ce n'est pas vraiment ce que vous voulez, non plus.
Invité- Invité
Re: Que l'homme proposerait, et que la femme disposerait
J'ai envie de faire comme toi et de placer une auto-référence (ceci dit, c'est une discussion où je n'étais pas seul ; et puis, il est bon, pour que les idées progressent dans le forum, d'être capable de faire des liens avec ce qui a déjà été dit, d'accumuler des pensées, du savoir - d'autant que c'est bien l'un des principes de Digression...) : https://digression.forum-actif.net/t1193-d-une-cote-d-adam#27824
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