Syllogisme mathématique.
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Rêveur
Magni
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Syllogisme mathématique.
Autrement dit: de l'échelle dépend la mesure.
Si l'on reste dans l'abstrait, la logique est pure, quand on introduit une unité de mesure on introduit une imprécision de mesure structurelle, multiplier les étapes de calcul à partir de ça fait apparaître la manifestation de la théorie du chaos.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
En prime la sainte trinité de l'unité
0^0=1
∞^0=1
1^∞=1
0^0=1
∞^0=1
1^∞=1
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Ce que je dis n'engage que moi.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Oui, c'est pour cela que la différence (géométrique) entre les m2 et les cm2 n'est pas de 100 mais de 10 000, c'est-à-dire 1002 - et celle entre les m2 et les dm2 est de 100 et non 10, c'est-à-dire 102. Quant à la différence entre les cm et les m, implicites ici, elle est de 100 ...
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Le vent se lève, il faut tenter de vivre (Valéry)
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Rêveur- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Bonjour ! en réalité c'est plus délicat. La notion de mesure n'est pas défini mathématiquement. c'est une approche expérimentale purement humaine. donc la notion même de mètre est purement géométrique et non généralisable donc je pense qu'il faudrait étudier la question posé géométriquement.
que veut dire 10 m x 10 m ? bah on obtient 100 m² et non 100 m et c'est la la différence car si c'était de multiplier les longueur une infinité de fois on aura plutôt ça :
0,09(cm) x 10puissance inf. car certes on peut jouer avec les mesures mais le ratio de multiplication ne change pas et on a dans ce cas bel et bien infini.
et si on considère 10 m x 10 m = 100 m² alors tout change multiplier une infinité de fois cette quantité revient à avoir une sorte de "volume" à dimension infinie. car m² c'est la surface m3 le volume m4 hyper volume de dimension 4 et donc on aura a la fin du calcul une dimension infinie et je dirais que calculer ce "volume" est beaucoup plus complexe qu'un simple calcul de limite.
NB: les 1 puissance infi et les 100 puissance inf cités précédemment sont en réalité des forme indéterminés c'est un peu compliqué de dire pourquoi mais en gros 1 puissance inf n'égale pas 1
L'apatride
que veut dire 10 m x 10 m ? bah on obtient 100 m² et non 100 m et c'est la la différence car si c'était de multiplier les longueur une infinité de fois on aura plutôt ça :
0,09(cm) x 10puissance inf. car certes on peut jouer avec les mesures mais le ratio de multiplication ne change pas et on a dans ce cas bel et bien infini.
et si on considère 10 m x 10 m = 100 m² alors tout change multiplier une infinité de fois cette quantité revient à avoir une sorte de "volume" à dimension infinie. car m² c'est la surface m3 le volume m4 hyper volume de dimension 4 et donc on aura a la fin du calcul une dimension infinie et je dirais que calculer ce "volume" est beaucoup plus complexe qu'un simple calcul de limite.
NB: les 1 puissance infi et les 100 puissance inf cités précédemment sont en réalité des forme indéterminés c'est un peu compliqué de dire pourquoi mais en gros 1 puissance inf n'égale pas 1
L'apatride
l'apatride- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Magni l'avait dit, c'est un syllogisme - c-à-d. un raisonnement opérant un retour sur lui même et sans lien avec le réel, quel qu'en soit sa rigueur.
Vous avez donc tous raison. Par contre, là où je décroche c'est sur le 1^∞ qui n'est pas égale à un. En quoi l'augmentation des dimensions changerait-elle l'unité ? On n'obtient pas foultitude d'unité mais bien une unité avec foultitude de dimensions, non ?
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Par contre, ce qui est élégant avec ce syllogisme c'est que par principe, un syllogisme croise deux arguments, un majeur et un mineur, et en appliquant le majeur au mineur obtient les conclusions décalées qu'on connait (Ce qui est rare et cher (majeur), un cheval à 2€ c'est rare (mineur), donc c'est cher (conclusion décalée).
Or, là, on a deux arguments majeurs mis en parallèles non pas pour appliquer l'un à l'autre, mais pour en sortir une parfaite symétrie totalement décalée.
Ceci dit, l'infini n'est pas une notion simple même si on peut l'écrire et le néant comme le ... heu tient je n'ai pas de bon antonyme à néant, disons l'universel, présentent tous les deux une part d'infinité.
Vous avez donc tous raison. Par contre, là où je décroche c'est sur le 1^∞ qui n'est pas égale à un. En quoi l'augmentation des dimensions changerait-elle l'unité ? On n'obtient pas foultitude d'unité mais bien une unité avec foultitude de dimensions, non ?
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Par contre, ce qui est élégant avec ce syllogisme c'est que par principe, un syllogisme croise deux arguments, un majeur et un mineur, et en appliquant le majeur au mineur obtient les conclusions décalées qu'on connait (Ce qui est rare et cher (majeur), un cheval à 2€ c'est rare (mineur), donc c'est cher (conclusion décalée).
Or, là, on a deux arguments majeurs mis en parallèles non pas pour appliquer l'un à l'autre, mais pour en sortir une parfaite symétrie totalement décalée.
Ceci dit, l'infini n'est pas une notion simple même si on peut l'écrire et le néant comme le ... heu tient je n'ai pas de bon antonyme à néant, disons l'universel, présentent tous les deux une part d'infinité.
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poussbois- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Bah pour le 1*inf c'est assez technique
1*inf = exp(ln(1)inf) = exp( 0 x Inf)
et 0 x inf n'est pas définie.
puis ensuite que les unité changent ou pas une dimension infini hum ... haha surtout vu qu'on parle de mesure.
Et oui ! d'ailleurs d'une certaine manière accepter le 0 absolu c' est accepter l'infini.
1*inf = exp(ln(1)inf) = exp( 0 x Inf)
et 0 x inf n'est pas définie.
puis ensuite que les unité changent ou pas une dimension infini hum ... haha surtout vu qu'on parle de mesure.
Et oui ! d'ailleurs d'une certaine manière accepter le 0 absolu c' est accepter l'infini.
l'apatride- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
unité pour unique, seul, un, uno, la base du calcul, ce qui vient après le zéro en binaire. Pas la métrique... Capice ?
Pour le calcul, oui, bon, c'est le même syllogisme que plus haut, en plus barbare. Ca ne confirme qu'une chose, on peut difficilement faire rentrer l'infini dans nos calculs. Le zéro c'est plus facile.
On est bien d'accord sur nos conclusions. Zéro et inifini sont des concepts proches et pas si antinomiques que cela. On a l'impression de connaître le zéro comme une limite finie pour des calculs simples, le long d'une échelle de valeurs, mais ça reste dans le concept pur une notion pas si évidente que cela.
Pour le calcul, oui, bon, c'est le même syllogisme que plus haut, en plus barbare. Ca ne confirme qu'une chose, on peut difficilement faire rentrer l'infini dans nos calculs. Le zéro c'est plus facile.
On est bien d'accord sur nos conclusions. Zéro et inifini sont des concepts proches et pas si antinomiques que cela. On a l'impression de connaître le zéro comme une limite finie pour des calculs simples, le long d'une échelle de valeurs, mais ça reste dans le concept pur une notion pas si évidente que cela.
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poussbois- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
La mesure physique est empirique mais l'unité de mesure est géométrique, c'est à dire mathématique et métaphysique.
L'univers physique est l'ensemble unique de tout ce qui existe physiquement. Tout ce qui est physique y est inclus et en dehors de cet ensemble il n'y a rien de physique, donc cet ensemble flotte au centre du néant infini et on peut dire que le tout est contenu dans le rien.
L'univers est un élément du néant.
0,9m = 9dm
(0,9 m)² = 0,81 m² = 81 dm² = (9 dm)²
(0,9 m)³ = 0,729 m³ = 729 dm³ = (9 dm)³
(0,9m)^a = (9dm)^a
Je ne parle pas de distances mais de dimensions.
Tout se passe bien et c'est facilement compréhensible aussi longtemps que a est entre 1 et 3
L'équation ne trouble pas les habitudes mathématiques aussi longtemps que a est un réel et n'atteint pas l'infini.
Si a est infini on obtient 0 = ∞
En effet
(0,9m)^∞ = (9dm)^∞
0,9^∞ m^∞ = 9^∞ dm^∞
0 m^∞ = ∞ dm^∞
Quelle que soit la mesure on peut toujours trouver deux unités de mesure dans lesquelles la mesure s'exprime avec une valeur inférieure à 1 dans la première unité et supérieure à 1 dans la deuxième.
Prenons la mesure de la taille de l'univers comme l'unité. Notons cette unité de mesure U.
L'univers mesure 1U
Ce qui est géométriquement strictement à l'intérieur de l'univers a une dimension linéaire de xU tel que x<1
Ce qui est géométriquement strictement à l'extérieur de l'univers et le contient a une dimension linéaire de yU tel que y>1
Ce qui est strictement au delà de l'univers physique est ce qui n'existe pas, c'est le néant.
Ce qui est strictement au dedans de l'univers physique est ce qui existe, c'est le tout.
Le tout est à l'intérieur du rien.
Ce qui est autour de l'univers est le néant, l'univers est une inclusion dans le néant. Il y est inclus au niveau de la géométrie, il est tridimensionnellement à l'intérieur.
Au niveau de la nature il s'en détache, le tout physique est au delà du néant physique.
L'élément nul est inclus dans tous les ensembles.
Si l'on prend comme hypothèse que le nombre de dimensions de la réalité est infini on trouve que 0 = ∞
Les grandes dimensions sont à l'intérieur des petites comme les petites sont dans les grandes.
Le tout est dans le rien. L'univers est dans le néant.
Quand on regarde la matière physique de plus en plus près la matière disparaît et le néant est de plus en plus présent, le néant se retrouve au cœur de la matière.
Le rocher flotte sur l’abîme.
Cela se traduit par un phénomène physique: le centre de l'univers est relatif au point de vue. Il est donc partout en même temps. Chaque point de l'univers est le centre d'un repère géométrique tridimensionnel unique dont les trois dimensions ne sont pas les mêmes dimensions que celles des autres repères tridimensionnels. Il y a autant de dimensions que de centres de l'univers, multipliés par trois. Le nombres de dimensions de l'univers c'est trois fois l'infini.
Quand on considère un repère local avec un nombre de dimension fini les petites dimensions sont à l'intérieur des grandes.
Quand on considère un repère global qui inclus une quantité de dimension infini les grandes dimensions sont à l'intérieur des petites.
L'univers physique inclus tout de qui existe physiquement. Au delà de l'univers physique c'est le néant.
Le tout est dans le rien, le rien est partout dans le tout, les deux sont équivalents.
L'univers physique est l'ensemble unique de tout ce qui existe physiquement. Tout ce qui est physique y est inclus et en dehors de cet ensemble il n'y a rien de physique, donc cet ensemble flotte au centre du néant infini et on peut dire que le tout est contenu dans le rien.
L'univers est un élément du néant.
0,9m = 9dm
(0,9 m)² = 0,81 m² = 81 dm² = (9 dm)²
(0,9 m)³ = 0,729 m³ = 729 dm³ = (9 dm)³
(0,9m)^a = (9dm)^a
Je ne parle pas de distances mais de dimensions.
Tout se passe bien et c'est facilement compréhensible aussi longtemps que a est entre 1 et 3
L'équation ne trouble pas les habitudes mathématiques aussi longtemps que a est un réel et n'atteint pas l'infini.
Si a est infini on obtient 0 = ∞
En effet
(0,9m)^∞ = (9dm)^∞
0,9^∞ m^∞ = 9^∞ dm^∞
0 m^∞ = ∞ dm^∞
Quelle que soit la mesure on peut toujours trouver deux unités de mesure dans lesquelles la mesure s'exprime avec une valeur inférieure à 1 dans la première unité et supérieure à 1 dans la deuxième.
Prenons la mesure de la taille de l'univers comme l'unité. Notons cette unité de mesure U.
L'univers mesure 1U
Ce qui est géométriquement strictement à l'intérieur de l'univers a une dimension linéaire de xU tel que x<1
Ce qui est géométriquement strictement à l'extérieur de l'univers et le contient a une dimension linéaire de yU tel que y>1
Ce qui est strictement au delà de l'univers physique est ce qui n'existe pas, c'est le néant.
Ce qui est strictement au dedans de l'univers physique est ce qui existe, c'est le tout.
Le tout est à l'intérieur du rien.
Ce qui est autour de l'univers est le néant, l'univers est une inclusion dans le néant. Il y est inclus au niveau de la géométrie, il est tridimensionnellement à l'intérieur.
Au niveau de la nature il s'en détache, le tout physique est au delà du néant physique.
L'élément nul est inclus dans tous les ensembles.
Si l'on prend comme hypothèse que le nombre de dimensions de la réalité est infini on trouve que 0 = ∞
Les grandes dimensions sont à l'intérieur des petites comme les petites sont dans les grandes.
Le tout est dans le rien. L'univers est dans le néant.
Quand on regarde la matière physique de plus en plus près la matière disparaît et le néant est de plus en plus présent, le néant se retrouve au cœur de la matière.
Le rocher flotte sur l’abîme.
Cela se traduit par un phénomène physique: le centre de l'univers est relatif au point de vue. Il est donc partout en même temps. Chaque point de l'univers est le centre d'un repère géométrique tridimensionnel unique dont les trois dimensions ne sont pas les mêmes dimensions que celles des autres repères tridimensionnels. Il y a autant de dimensions que de centres de l'univers, multipliés par trois. Le nombres de dimensions de l'univers c'est trois fois l'infini.
Quand on considère un repère local avec un nombre de dimension fini les petites dimensions sont à l'intérieur des grandes.
Quand on considère un repère global qui inclus une quantité de dimension infini les grandes dimensions sont à l'intérieur des petites.
L'univers physique inclus tout de qui existe physiquement. Au delà de l'univers physique c'est le néant.
Le tout est dans le rien, le rien est partout dans le tout, les deux sont équivalents.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
3^4 = 81
3^3 = 27
3^2 = 9
3^1 = 3
3^0 = ????
81;27;9;3;1
2^4 = 16
2^3 = 8
2^2 = 4
2^1 = 2
2^0 = ????
16;8;4;2;1
1^4 = 1
1^3 = 1
1^2 = 1
1^1 = 1
1^0 = ????
1;1;1;1;1
Quand on observe la suite des résultats des puissances décroissantes d'un nombre le terme suivant n'est pas aléatoire, on peut le prédire en fonction des termes précédents.
Il y a plusieurs façon de démontrer que x^0=1, la plupart des démonstrations sont assez absconses.
Je pense que la démonstration par la prédictibilité du terme suivant de la suite des puissances décroissantes est intuitive.
0^0=1
∞^0=1
Le néant sans dimension est la même chose que le tout sans dimension.
Le néant en trois dimensions est partout à l'intérieur du tout en trois dimensions.
Le tout dans toutes ses dimensions est à l'intérieur du néant dans toutes ses dimensions, donc la quantité de toutes les dimensions est infinie.
3^3 = 27
3^2 = 9
3^1 = 3
3^0 = ????
81;27;9;3;1
2^4 = 16
2^3 = 8
2^2 = 4
2^1 = 2
2^0 = ????
16;8;4;2;1
1^4 = 1
1^3 = 1
1^2 = 1
1^1 = 1
1^0 = ????
1;1;1;1;1
Quand on observe la suite des résultats des puissances décroissantes d'un nombre le terme suivant n'est pas aléatoire, on peut le prédire en fonction des termes précédents.
Il y a plusieurs façon de démontrer que x^0=1, la plupart des démonstrations sont assez absconses.
Je pense que la démonstration par la prédictibilité du terme suivant de la suite des puissances décroissantes est intuitive.
0^0=1
∞^0=1
Le néant sans dimension est la même chose que le tout sans dimension.
Le néant en trois dimensions est partout à l'intérieur du tout en trois dimensions.
Le tout dans toutes ses dimensions est à l'intérieur du néant dans toutes ses dimensions, donc la quantité de toutes les dimensions est infinie.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Il me semble que l'unité de mesure est empirique ( et plus ou moins arbitraire d' ailleurs ). Reste le concept de UN et je ne pense pas plus qu'il ne soit QUE métaphysique .La mesure physique est empirique mais l'unité de mesure est géométrique, c'est à dire mathématique et métaphysique.
proposition qui elle me semble en revanche métaphysique, c 'est à dire spéculative .L'univers physique est l'ensemble unique de tout ce qui existe physiquement.
De ce qu'il existe des éléments UN individué on extrapole qu'il existe aussi UN ensemble de ces éléments individués.
( que les rares lecteurs ne me disent pas que je vais contre Spinoza il dit in texto que Dieu ne peut pas être appelé UN à l'égard de son essence..on le peut à l'égard de l'existence mais c'est qu'on a d' abord pensé un élément existant ... c'est improprement que l'on dira que Dieu est UN ) (lettre 5O)
hks- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
La mesure d'un objet est empirique, il faut croire que l'information venant de nos sens de perception est pertinente pour que la sensibilité de l'instrument de mesure soit prise en compte.
Le géomètre donne la mesure du terrain.
L'unité de mesure, même si elle s'exprime en pied ou pouce, est purement métaphysique, c'est à dire au delà du monde matériel.
Dire qu'un terrain de foot fait 5000 m² c'est traduire la surface du terrain en langage mathématique, c'est à dire métaphysique.
Mesurer le terrain et parcourir 50 mètres de large et 100 mètres de long c'est pratiquer une mesure empirique. Traduire cela en nombre c'est métaphysique, les nombres ne sont pas faits de matière.
Ce qui est physique est temporel et causal, comme le temps ou l'espace, ce qui est métaphysique est au delà du monde physique du temps et de l'espace physique, c'est le monde des idées, le monde de la théorie, c'est en dehors du temps et de la causalité.
La logique mathématique est métaphysique, elle n'est pas temporelle, elle n'est pas causale.
Ce qui est causal est déterministe mais ce qui est déterministe n'est pas forcément causal.
2+2=4
C'est déterministe mais pas causal, ce n'est pas parce que 2+2 que 4
2+2=4 et 4=2+2; il n'y a pas de dimension temporelle, les deux termes de l'égalité existent au même moment, aucun des deux n'existe avant l'autre.
Soit l'univers existe depuis toujours et aucune cause ne le précède et il n'est pas causal mais magique; soit l'univers est apparu un jour et une cause le précède et il peut être causal et déterministe.
Ce qui précède l'univers c'est la métaphysique qui est logique mais intemporelle. La métaphysique existe depuis toujours et rien ne la précède mais elle n'est pas magique, elle reste logique mais elle est non causale car elle est non temporelle.
Ce n'est pas le 1 qui est dans l'univers, c'est l'univers qui est dans le 1.
On retrouve le 1 dans la mesure physique parce que le monde physique découle du monde métaphysique.
C'est parce que la logique du monde existe depuis toujours que l'univers est apparu un jour.
Le géomètre donne la mesure du terrain.
L'unité de mesure, même si elle s'exprime en pied ou pouce, est purement métaphysique, c'est à dire au delà du monde matériel.
Dire qu'un terrain de foot fait 5000 m² c'est traduire la surface du terrain en langage mathématique, c'est à dire métaphysique.
Mesurer le terrain et parcourir 50 mètres de large et 100 mètres de long c'est pratiquer une mesure empirique. Traduire cela en nombre c'est métaphysique, les nombres ne sont pas faits de matière.
Ce qui est physique est temporel et causal, comme le temps ou l'espace, ce qui est métaphysique est au delà du monde physique du temps et de l'espace physique, c'est le monde des idées, le monde de la théorie, c'est en dehors du temps et de la causalité.
La logique mathématique est métaphysique, elle n'est pas temporelle, elle n'est pas causale.
Ce qui est causal est déterministe mais ce qui est déterministe n'est pas forcément causal.
2+2=4
C'est déterministe mais pas causal, ce n'est pas parce que 2+2 que 4
2+2=4 et 4=2+2; il n'y a pas de dimension temporelle, les deux termes de l'égalité existent au même moment, aucun des deux n'existe avant l'autre.
Soit l'univers existe depuis toujours et aucune cause ne le précède et il n'est pas causal mais magique; soit l'univers est apparu un jour et une cause le précède et il peut être causal et déterministe.
Ce qui précède l'univers c'est la métaphysique qui est logique mais intemporelle. La métaphysique existe depuis toujours et rien ne la précède mais elle n'est pas magique, elle reste logique mais elle est non causale car elle est non temporelle.
Ce n'est pas le 1 qui est dans l'univers, c'est l'univers qui est dans le 1.
On retrouve le 1 dans la mesure physique parce que le monde physique découle du monde métaphysique.
C'est parce que la logique du monde existe depuis toujours que l'univers est apparu un jour.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Magni a écrit:L'univers physique inclus tout de qui existe physiquement. Au delà de l'univers physique c'est le néant.
Le tout est dans le rien, le rien est partout dans le tout, les deux sont équivalents.
Mathématiquement:
∞+1=∞
Puisqu'on a démontré que ∞=0 nous pouvons dire :
0+1=∞
donc: 1=∞
1=∞ et 0=∞ donc: 1=0
L'univers qui est l'ensemble unique de tout ce qui est un élément physique matériel temporel ou spatial est infini, le cardinal de cet ensemble est une quantité infinie qui n'est pas un nombre mais qui, selon les circonstances peut être équivalent a n'importe quel nombre, ainsi l'infini est équivalent à 1 dans son rapport avec le cardinal de l'ensemble unique de tous les éléments physiques mais il est égal à zéro dans son rapport avec le cardinal de l'ensemble unique de tous les éléments métaphysiques qui sont tridimensionnellement au delà de l'univers physique.
Le monde physique est borné des deux cotés de sa dimension linéaire par le monde métaphysique car il contient et il est contenu pas sa théorie.
Les lois de la physique contiennent le monde physique et elles en sont la limite.
L'existence de la réalité métaphysique est le commencement et la fin de l'existence de l'univers physique.
Le moteur immobile de l'univers qui est aussi sa cause finale est Dieu.
Dieu est l'Alpha et l'Omega.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
( Ça me rappelle le " Proslogion " de ce bon vieux Anselme, et à la fin ? Le scandale que la chose ainsi prouvée fasse à ce point défaut ! , )
_________________
" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
C'est à pas de colombes que les Déesses s'avancent.
neopilina- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Moi ça ne me rappelle rien du tout .( à part Cantor)
Je m'arrête à toutes les lignes et chacune fait problème.
Le passage du texte mathématique au texte en langage ordinaire est périlleux.
Et je pense effectivement que la voie choisie ne mène à rien ... de plus qu'à une spéculation immatérialiste (au minimum), assez obscure au demeurant.
enfin bref
Je m'arrête à toutes les lignes et chacune fait problème.
Le passage du texte mathématique au texte en langage ordinaire est périlleux.
On part de l'idée que cet univers est un composé de quantités discrètes dénombrables pour affirmer que le dénombrement ne produit pas un nombre. Comme quoi il ne valait pas la peine de le chercher.L'univers qui est l'ensemble unique de tout ce qui est un élément physique matériel temporel ou spatial est infini, le cardinal de cet ensemble est une quantité infinie qui n'est pas un nombre
Et je pense effectivement que la voie choisie ne mène à rien ... de plus qu'à une spéculation immatérialiste (au minimum), assez obscure au demeurant.
enfin bref
hks- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: Syllogisme mathématique.
Les entiers naturels sont dénombrables mais le cardinal de l'ensemble des entiers est une quantité infini.
Les réels sont indénombrables et le cardinal de l'ensemble des réels est infini.
Chaque réel est un élément de l'ensemble des réels comme chaque élément physique est un élément de l'univers physique.
Je n'ai a aucun moment dis que ces éléments sont dénombrables comme les entiers naturels.
La science considère que l'univers n'est pas infini et ne fait pas de calculs incluant l'infini.
Ceci n'est pas un résultat cohérent dans l'ensemble des réels.
L'infini n'est pas un nombre.
Les nombres sont des quantité déterminé, l'infini est une quantité indéfinie.
Le passage à l'infini est un point de non retour.
Quand on fait des calculs incluant l'infini et qu'on revient en arrière , on se retrouve avec 0=1
∞+1=∞+0
donc 1=0
Je dis que ceci correspond a la nature de la réalité, parce que, étant donné qu'il n'y a que le néant en dehors du tout, alors le tout est à l'intérieur du néant.
Je vous accorde que c'est abscons.
Les réels sont indénombrables et le cardinal de l'ensemble des réels est infini.
Chaque réel est un élément de l'ensemble des réels comme chaque élément physique est un élément de l'univers physique.
Je n'ai a aucun moment dis que ces éléments sont dénombrables comme les entiers naturels.
La science considère que l'univers n'est pas infini et ne fait pas de calculs incluant l'infini.
Ceci n'est pas un résultat cohérent dans l'ensemble des réels.
L'infini n'est pas un nombre.
Les nombres sont des quantité déterminé, l'infini est une quantité indéfinie.
Le passage à l'infini est un point de non retour.
Quand on fait des calculs incluant l'infini et qu'on revient en arrière , on se retrouve avec 0=1
∞+1=∞+0
donc 1=0
Je dis que ceci correspond a la nature de la réalité, parce que, étant donné qu'il n'y a que le néant en dehors du tout, alors le tout est à l'intérieur du néant.
Je vous accorde que c'est abscons.
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Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Ceci par contre ceci est tout à fait accessible:
L'univers est soit magique et la science est une aporie ou alors l'existence de l'univers physique est issu de la réalité métaphysique.
Si l'univers fut produit par rien ou par quel que chose de physique alors il est issu de rien ou il existe depuis toujours, dans les deux cas aucune cause ne le précède et il ne relève pas de la loi de causalité donc il est magique.
Pour que l'univers soit causal il faut qu'il soit la conséquence d'une cause non temporelle, qui existe de toute éternité, ce qu'est la métaphysique.
Magni a écrit:
Soit l'univers existe depuis toujours et aucune cause ne le précède et il n'est pas causal mais magique; soit l'univers est apparu un jour et une cause le précède et il peut être causal et déterministe.
Ce qui précède l'univers c'est la métaphysique qui est logique mais intemporelle. La métaphysique existe depuis toujours et rien ne la précède mais elle n'est pas magique, elle reste logique mais elle est non causale car elle est non temporelle.
L'univers est soit magique et la science est une aporie ou alors l'existence de l'univers physique est issu de la réalité métaphysique.
Si l'univers fut produit par rien ou par quel que chose de physique alors il est issu de rien ou il existe depuis toujours, dans les deux cas aucune cause ne le précède et il ne relève pas de la loi de causalité donc il est magique.
Pour que l'univers soit causal il faut qu'il soit la conséquence d'une cause non temporelle, qui existe de toute éternité, ce qu'est la métaphysique.
Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
L'univers métaphysique est une cause première qui n'a pas de cause.
L'univers physique est une cause finale qui n'a pas de conséquence.
Le 1 physique est le 0 métaphysique
Le 0 physique est le 1 métaphysique
L'univers physique est une cause finale qui n'a pas de conséquence.
Le 1 physique est le 0 métaphysique
Le 0 physique est le 1 métaphysique
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Magni- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
( à Magni,
Bien sûr c'était une boutade, d'où les parenthèse. Je n'oserais jamais intervenir sur un fil pareil : je me déclare totalement incompétent, . )
Bien sûr c'était une boutade, d'où les parenthèse. Je n'oserais jamais intervenir sur un fil pareil : je me déclare totalement incompétent, . )
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" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
C'est à pas de colombes que les Déesses s'avancent.
neopilina- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
Nonobstant, ce fil ce situant au delà de la métaphysique, il relève de la pataphysique ostentatoire ...
Magni- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 03/05/2016
Re: Syllogisme mathématique.
ah bon... quand même ...Magni a écrit:Je vous accorde que c'est abscons.
hks- Digressi(f/ve)
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Re: Syllogisme mathématique.
hks a écrit:ah bon... quand même ...Magni a écrit:Je vous accorde que c'est abscons.
Ne te laisse pas abuser par cette autoévaluation fautive, sinon, tu ne comprendras rien au personnage. C'est de la poésie, ou comme il le dit lui-même, de la pataphysique ostentatoire, qui est le seul domaine sérieux dans lequel je serais prêt à me battre en duel en cas de désaccord. Pour tous le reste, ça n'en a strictement aucun intérêt, les donneurs de leçons et ceux qui ont raison peuvent continuer à donner et raisonner, je n'en ai cure. Par contre, un combat pataphysique se mène jusqu'à la mort d'une partie (terme à définir). Heureusement, je suis généralement d'accord avec Magni. En fait, j'ai deux héros :
- un héros pataphysicien,
- et un héros phénoménologue,
Le problème est que malgré leur bonne volonté respective, ils sont tous les deux aussi abscons et tous les deux aussi violents/bienveillants...
Ha oui, j'ai aussi des amis, un platonicien, un sociologue/psychologue et un éléate, plus une vraie confrérie avec des personnae étonnantes. Bref, malgré ma volonté de me concentrer sur la vraie vie, je continue à vous lire...
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Le Nord, c'est par là.
poussbois- Digressi(f/ve)
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