Extrait de "Dario - nº 1"
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Extrait de "Dario - nº 1"
Parce qu'elle dit m'aimer sans pourtant le signifier, elle croit m'aimer. Elle croit ce qu'elle dit : c'est du plus haut comique.
Je ne raconte pas : on raconte une histoire, on raconte au passé. Je prèsente, et, parfois, je re-prèsente littérairement. Quel procédé retourne d'un tel mecanisme ? Le rècit, la description, l'exposè ?
Une addition "uyunesque", c'est une addition salée.
C'est le Salar de la pensée.
L'idée d'un demain se présente et passe sans laisser d'emprunte.
S'inscrire dans le monde... sans l'habiter. Jeter ses mots sans les habiter.
J'écris maintenant, attaché au présen et à ce qui se présente.
Les mines : galeries secrètes de l'intérioté.
Désignes-toi un but, fais-le à ton image et selon tes couleurs. Quête comme pour l'atteindre, et en chemin, reconnais-toi dans ton but. Tu deviendras ta propre fin, et le commencement de tout.
Le souci est d'un tout autre temps.
La vie ne se dispute pas a la pensée. Au contraire, elles s'épousent et composent, ensemble, le sublime élant vital, l'Ode to joy.
Le départ dit : "tu ne dois rien attendre de moi mais tu peux t'attendre à tout".
Mon tracé s'efface à mesure, comme la fumée laissée par un avion dans le ciel.
Etc, etc.
Je ne raconte pas : on raconte une histoire, on raconte au passé. Je prèsente, et, parfois, je re-prèsente littérairement. Quel procédé retourne d'un tel mecanisme ? Le rècit, la description, l'exposè ?
Une addition "uyunesque", c'est une addition salée.
C'est le Salar de la pensée.
L'idée d'un demain se présente et passe sans laisser d'emprunte.
S'inscrire dans le monde... sans l'habiter. Jeter ses mots sans les habiter.
J'écris maintenant, attaché au présen et à ce qui se présente.
Les mines : galeries secrètes de l'intérioté.
Désignes-toi un but, fais-le à ton image et selon tes couleurs. Quête comme pour l'atteindre, et en chemin, reconnais-toi dans ton but. Tu deviendras ta propre fin, et le commencement de tout.
Le souci est d'un tout autre temps.
La vie ne se dispute pas a la pensée. Au contraire, elles s'épousent et composent, ensemble, le sublime élant vital, l'Ode to joy.
Le départ dit : "tu ne dois rien attendre de moi mais tu peux t'attendre à tout".
Mon tracé s'efface à mesure, comme la fumée laissée par un avion dans le ciel.
Etc, etc.
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L'homme ordinaire est exigeant avec les autres.
L'homme exceptionnel est exigeant avec lui-même.
Marc-Aurèle
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