PLATON
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DIGRESSION :: Philosophie :: Antiques et Médiévaux :: Platon
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Re: PLATON
bien sûr que ma pensée via mon activité sur le monde peut plus ou moins le changer.Victor Emm a écrit:C'est le point de vue de quiconque considère qu'une simple pensée a une influence sur le monde.
Je n'ai rien dit de cette causalité ( influence ).
Dans Ta philosophie dualiste (éminemment dualiste) la pensée (chez toi matérielle, mais ce n'est pas le problème)
peut ou non causer sur le monde.
Ta pensée vue comme substantielle (le cerveau par exemple comme une substance) agit sur une autre matière substantielle.
On a le choc de deux substances , ce qui les modifie (plus ou moins) et comme à l’évidence le choc de ma pensée avec la lune ne modifie pas notablement pas la lune (évidemment);
ce n'est pas de ce côté qu'il faut aller chercher à comprendre que je dis.
Ce que tu comprends comme des chocs entre des substances, je le comprends comme un "événement actuel"
L'objet à considérer est un seul objet (l 'événement ou l' actuel)
D'actualisation en actualisation ( ou de présent en présent...de l'un à l'autre)
La lune comme moi-même qui la pense forment un événement qui n'est pas le même
en conséquence le présent où je pense la lune n'est pas le même que le présent ou je ne la pense pas.
La lune n'y est pas la même comme aucun étant, ma pensée y compris, n'est le même.
Ce que disais à axolotl
hks a écrit:je ne demande pas si l'objet existe
évidemment pour moi qu'il existe un monde dit extérieur et auquel j'ai un accès véridique ( à la différence de la chose en soi de Kant)
mais je demande, néanmoins, si l'objet a une identité à soi ?
la question est de savoir si l’événement composé a une identité à soi. Savoir si le présent (la présence) est un laps de temps, un morceau, un instant, stabilisant des entités -événementielles identiques à elle mêmes .
Si c'est le cas :quelle est la forme de cette stabilité?
..............................
Qu'il y ait ma pensée ou pas ne change rien strictement rien à la question de l' objet.
Maintenant que le présent soit ce que j' en pense, cela a des conséquences sur la compréhension de l'événementiel.
Et des conséquences drastiques ...ce parce que le présent est un mode a priori (transcendantal) de ma compréhension.
Dernière édition par hks le Jeu 16 Aoû 2018 - 23:36, édité 1 fois
hks- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
hks a écrit: […]le présent où je pense la lune n'est pas le même que le présent ou je ne la pense pas.
La lune n 'y est pas la même comme aucun étant, ma pensée y compris n'est le même.
Je reconnais là un je ne sais quoi d'héraclitéen. Mais ta façon de percevoir les choses m'est encore trop dogmatique. Pour affirmer deux présents différents, il te faut un espace de déploiement, et donc croire au moins en cet espace. Or rien ne nous y oblige : il est parfaitement possible, et même très plausible, de considérer un seul et même présent. Le souvenir, aussi proche ou lointain qu'il soit dans la perception, ne reste qu'une actualité. Affirmer : "j'ai vu la Lune" ne prouve rien quant à la teneur ontologique d'un présent passé, où tu aurais vu cette Lune.
Il n'y a qu'un seul présent, on ne peut en sortir.
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Emmanuel a écrit:Ah ça faisait longtemps qu'on ne me l'avait pas sortie, celle-là.Crosswind a écrit:Une chose est certaine Emmanuel, tu es un fameux croyant !
La dernière fois, c'est quand j'ai vu sous la plume de Simone Weil que « l'athée est le plus près de Dieu. »
Quelle surprise, pour un matérialiste radicalement athée comme moi ! ...
.
Croire ne signifie pas toujours croire en Dieu. Tu peux croire en d'autres métaphysiques, ce qui semble être ton cas (et ton droit le plus élémentaire !).
Seulement, j'ai du mal à croire. Personne ne sait ce qu'est la Lune, de quoi elle serait faite, si tant elle est bien un objet plus consistant qu'une simple expérience. Je m'étonne toujours de ce que, si proche de cette chère Peggy, tu montres une telle élémentarité dans ta compréhension des courants argumentés en philosophie de sciences.
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
hks a écrit:bien sûr que ma pensée via mon activité sur le monde peut plus ou moins le changer.Victor Emm a écrit:C'est le point de vue de quiconque considère qu'une simple pensée a une influence sur le monde.
Je n'ai rien dit de cette causalité ( influence ).
Dans Ta philosophie dualiste (éminemment dualiste) la pensée (chez toi matérielle, mais ce n'est pas le problème)
peut ou non causer sur le monde.
Ta pensée vue comme substantielle (le cerveau par exemple comme une substance) agit sur une autre matière substantielle.
On a le choc de deux substances , ce qui les modifie (plus ou moins) et comme à l’évidence le choc de ma pensée avec la lune ne modifie pas notablement pas la lune (évidemment);
ce n'est pas de ce côté qu'il faut aller chercher à comprendre que je dis.
Ce que tu comprends comme des chocs entre des substances, je le comprends comme un "événement actuel"
L'objet à considérer est un seul objet (l 'événement ou l' actuel)
D'actualisation en actualisation ( ou de présent en présent...de l'un à l'autre)
La lune comme moi-même qui la pense forment un événement qui n'est pas le même
en conséquence le présent où je pense la lune n'est pas le même que le présent ou je ne la pense pas.
La lune n'y est pas la même comme aucun étant, ma pensée y compris, n'est le même.
Ce que disais à axolotlhks a écrit:je ne demande pas si l'objet existe
évidemment pour moi qu'il existe un monde dit extérieur et auquel j'ai un accès véridique ( à la différence de la chose en soi de Kant)
mais je demande, néanmoins, si l'objet a une identité à soi ?
la question est de savoir si l’événement composé a une identité à soi. Savoir si le présent (la présence) est un laps de temps, un morceau, un instant, stabilisant des entités -événementielles identiques à elle mêmes .
Si c'est le cas :quelle est la forme de cette stabilité?
..............................
Qu'il y ait ma pensée ou pas ne change rien strictement rien à la question de l' objet.
Maintenant que le présent soit ce que j' en pense, cela a des conséquences sur la compréhension de l'événementiel.
Et des conséquences drastiques ...ce parce que le présent est un mode a priori (transcendantal) de ma compréhension.
HKS
Tu ne me sembles penser que le sujet pensant que tu veux être (ici) et devenir (dans le temps). Point d'altérité, dans ce schéma. Le monde peut bien ne pas exister.
Par ailleurs tu pontifies bien vite sur un dualisme sorti je ne sais d'où pour me l'attribuer je ne sais ni comment ni pourquoi. Dans ma cause ayant un effet sur la lune, il y a par exemple la politique de Kennedy, il y a par exemple une fusées Saturne V, il y a par exemple l'empreinte du pied d'Armstrong dans la poussière lunaire, etc. Il n'y a pas de dualisme, avec tout ça, mais un enchaînement de causes et d'effets monistes-matériels jusqu'à l'os ...
.
Dernière édition par Emmanuel le Ven 17 Aoû 2018 - 17:27, édité 1 fois
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Crosswind a écrit: Je m'étonne toujours du fait que tu montres une telle élémentarité dans ta compréhension des courants argumentés en philosophie de sciences
En effet, plus élémentaire que ça, tu meurs :
Il est question de la lune, dans ce truc ...
.
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 05/08/2018
Re: PLATON
Entre 300 et 400 kgs de matériel géologique lunaire (dont de la poussière, tellement fine qu'elle est le cauchemar de toute mission lunaire même automatique) ont été rapportés par les différentes missions Apollo qui ont pu alunir. Les meilleurs labos (dont plusieurs français, dont un bien connu à Nancy, qui a aussi obtenu des échantillons de la sonde Hayabusa) du monde ont eu les échantillons qu'ils réclamaient, de telle sorte qu'on sait tellement bien de quoi est faite la Lune que plus personne n'en demande et que 80 % du total dort dans les dépôts de la N.A.S.A.
_________________
" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
C'est à pas de colombes que les Déesses s'avancent.
neopilina- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Victor
Il est évident que tu ne cherches pas à comprendre ce que dit autrui. Ce n'est pas un scoop.
Je t'ai pourtant bien expliqué ton dualisme. Parce que tu y es enfermé tu ne le vois pas.
Ta causalité efficiente est dualiste en ce que deux substances s' entrechoquent. c'est la théorie des chocs de Descartes.
Un corps, (le corps humain par exemple) choque un autre corps, (la lune par exemple). Une Substance ( matérielle) heurtant une autre substance matérielle. On a donc deux substances et donc un dualisme .
Il ne suffit pas du tout de penser un monisme matériel puisque tu y réintroduis un dualisme des substances matérielles.
Ma compréhension n'a rien à voir avec la somme des connaissances factuelles de la lune je dis ça pour neopilina.
Cela dit Crosswind est tout à fait dans le fil de compréhension philosophique ( et neopilina l'est aussi sur certains fils de discussion)
et je ne nomme personne de ceux qui ne me semblent pas y être.
Il est évident que tu ne cherches pas à comprendre ce que dit autrui. Ce n'est pas un scoop.
Je t'ai pourtant bien expliqué ton dualisme. Parce que tu y es enfermé tu ne le vois pas.
Ta causalité efficiente est dualiste en ce que deux substances s' entrechoquent. c'est la théorie des chocs de Descartes.
Un corps, (le corps humain par exemple) choque un autre corps, (la lune par exemple). Une Substance ( matérielle) heurtant une autre substance matérielle. On a donc deux substances et donc un dualisme .
Il ne suffit pas du tout de penser un monisme matériel puisque tu y réintroduis un dualisme des substances matérielles.
Ma compréhension n'a rien à voir avec la somme des connaissances factuelles de la lune je dis ça pour neopilina.
Cela dit Crosswind est tout à fait dans le fil de compréhension philosophique ( et neopilina l'est aussi sur certains fils de discussion)
et je ne nomme personne de ceux qui ne me semblent pas y être.
hks- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
neopilina a écrit:Entre 300 et 400 kgs de matériel géologique lunaire (dont de la poussière, tellement fine qu'elle est le cauchemar de toute mission lunaire même automatique) ont été rapportés par les différentes missions Apollo qui ont pu alunir. Les meilleurs labos (dont plusieurs français, dont un bien connu à Nancy, qui a aussi obtenu des échantillons de la sonde Hayabusa) du monde ont eu les échantillons qu'ils réclamaient, de telle sorte qu'on sait tellement bien de quoi est faite la Lune que plus personne n'en demande et que 80 % du total dort dans les dépôts de la N.A.S.A.
Et de quoi est fait ce matériau ? Et le matériau du matériau ? Et ainsi de suite ?
Si tu parviens à démontrer l'existence ontologique forte des particules élémentaires, mon bon Néo, sans te référer bien sûr aux termes utilisés dans les laboratoires, faute de mieux, je file te présenter au bureau des Nobels !
En philosophie des sciences, il est une vue communément admise qui pose les objets en général comme constitués par un contexte. Ce contexte peut être élaboré par axiomes, par plans, modèles, théories, et même... par le langage ! La galaxie peut être présentée en tant qu'objet. Puis une étoile peut être présentée en tant qu'objet. Un nuage de gaz, un trou noir, un système solaire, une planète, un satellite... Les objets ne sont que des constructions. Il n'est pas interdit de penser que l'on trouvera une "réalité" scientifique plus profonde qui remettra en cause la sphéricité apparente de la Lune, voire même son identité en tant qu'objet apparent (elle apparaît clairement ronde et unique, en réalité n'est qu'une partie d'un tout que la science prendra alors pour nouvel objet).
Tu es un empiriste obtu *, un peu, non ?
Sur ce, je vais me préparer mes pâtes-objets. **
* A prendre au sens : forcené ;-)
**Quid de la femme-objet ?
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
j'ai tout recopiéCrosswind a écrit:Je reconnais là un je ne sais quoi d'héraclitéen. Mais ta façon de percevoir les choses m'est encore trop dogmatique. Pour affirmer deux présents différents, il te faut un espace de déploiement, et donc croire au moins en cet espace. Or rien ne nous y oblige : il est parfaitement possible, et même très plausible, de considérer un seul et même présent. Le souvenir, aussi proche ou lointain qu'il soit dans la perception, ne reste qu'une actualité. Affirmer : "j'ai vu la Lune" ne prouve rien quant à la teneur ontologique d'un présent passé, où tu aurais vu cette Lune.
Il n'y a qu'un seul présent, on ne peut en sortir.
Je suis obligé de croire en un espace de déploiement ...parce que je suis actif,
pas une pensée désincarnée (la pensée est aussi une acte cela dit )
La pensée est spatiale, elle est espace.
Je reproche à Spinoza (qui a hélas suivi Descartes ) la distinction entre la pensée et l'espace(ou étendue) ...et même si Spinoza refuse la substantialisation cartésienne de 2 substances, ça reste ambigu chez Spinoza ....bref..
Je n'affirme pas deux présents différents ( comme tu le dis ) mais un seul et il est spatial...et non seulement ça...il est temporalisé.
là c'est une vue très rationnelle et épurée une vue théorique...laquelle substantialise LE présent (et en fait un étant comme les autres )Or rien ne nous y oblige : il est parfaitement possible, et même très plausible, de considérer un seul et même présent.
hks- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Le terme «autrui» ne désigne de mon point de vue et pour l'instant qu'un seul personnage. Change d'attitude envers ton Emmanuel préféré et ça changera.hks a écrit:Victor
Il est évident que tu ne cherches pas à comprendre ce que dit autrui. Ce n'est pas un scoop.
Et toi tu cherches à m'expliquer quelque chose qui ne se tient pas avec ton dualisme substantialiste.
Ça ne se tient pas, alors je ne cherche pas à le comprendre.
Cela dit, il y a dans l'humain un principe de réciprocité que tu me sembles ignorer avec une candeur simpliste à mort.
Si tu déclares ne pas me lire par principe, comment veux-tu que je te lise, moi ?
Par obligation ? ...
Change d'attitude envers ton Emmanuel préféré et ça changera
hks a écrit:[color=#000099]Je t'ai pourtant bien expliqué ton dualisme. Parce que tu y es enfermé tu ne le vois pas.
Ta causalité efficiente est dualiste en ce que deux substances s' entrechoquent. c'est la théorie des chocs de Descartes.
Un corps, (le corps humain par exemple) choque un autre corps, (la lune par exemple). Une Substance ( matérielle) heurtant une autre substance matérielle. On a donc deux substances et donc un dualisme .
Il ne suffit pas du tout de penser un monisme matériel puisque tu y réintroduis un dualisme des substances matérielles.
Lorsque je prends mon café, il y a moi, le café, l'eau, le lait, la tasse, la cuillère, le sucre, mon chat qui miaule, la table sur laquelle je pose ma tasse de café, la chaise sur laquelle je m'assied, le concerto italien de bach interprété par Gleen Gould, etc.
Ça te fait combien de dualismes, ça, dans ton entendement d'érudit cartésien ?
Parce que pour l'inculte notoire que je suis, il y a dans la situation que je te donnes toutes les variantes possibles et imaginables de la relation entre chacun des insécables démocritéens du matérialisme radical de l'antiquité grecque, mon p'tit vieux.
C'est pareil avec Kennedy, Saturn V et Armstrong. C'est une relation entre chacun des insécables démocritéens du matérialisme radical de l'antiquité grecque, mon p'tit vieux.
Je le répète pour que tu comprennes bien la branche matérialiste radicale de la philosophie que je fais mienne depuis toujours.
Y peut aller se faire voir chez les grecs, ton Descartes.
Dernière édition par Emmanuel le Ven 17 Aoû 2018 - 17:29, édité 1 fois
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Crosswind a écrit:neopilina a écrit:Entre 300 et 400 kgs de matériel géologique lunaire (dont de la poussière, tellement fine qu'elle est le cauchemar de toute mission lunaire même automatique) ont été rapportés par les différentes missions Apollo qui ont pu alunir. Les meilleurs labos (dont plusieurs français, dont un bien connu à Nancy, qui a aussi obtenu des échantillons de la sonde Hayabusa) du monde ont eu les échantillons qu'ils réclamaient, de telle sorte qu'on sait tellement bien de quoi est faite la Lune que plus personne n'en demande et que 80 % du total dort dans les dépôts de la N.A.S.A.
Et de quoi est fait ce matériau ? Et le matériau du matériau ? Et ainsi de suite ?
Si tu parviens à démontrer l'existence ontologique forte des particules élémentaires, mon bon Néo, sans te référer bien sûr aux termes utilisés dans les laboratoires, faute de mieux, je file te présenter au bureau des Nobels !
En philosophie des sciences, il est une vue communément admise qui pose les objets en général comme constitués par un contexte. Ce contexte peut être élaboré par axiomes, par plans, modèles, théories, et même... par le langage ! La galaxie peut être présentée en tant qu'objet. Puis une étoile peut être présentée en tant qu'objet. Un nuage de gaz, un trou noir, un système solaire, une planète, un satellite... Les objets ne sont que des constructions. Il n'est pas interdit de penser que l'on trouvera une "réalité" scientifique plus profonde qui remettra en cause la sphéricité apparente de la Lune, voire même son identité en tant qu'objet apparent (elle apparaît clairement ronde et unique, en réalité n'est qu'une partie d'un tout que la science prendra alors pour nouvel objet).
Tu es un empiriste obtu *, un peu, non ?
Sur ce, je vais me préparer mes pâtes-objets. **
* A prendre au sens : forcené ;-)
**Quid de la femme-objet ?
neopilina saura se défendre, mais il me semble qu'il a le droit de s'expliquer dans le domaine de la réalité macroscopique qui est celui de tout le monde sur terre et sur la lune. Non ?
.
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Je l'ai lu ton texte sur Platon.
Je n'ai pas écrit que je ne voulais pas lire tes textes ...
Je veux bien retirer ma remarque puisqu'elle fait polémique
(je l' efface ...on verra bien si toi, tu effaces tout ce qui y a trait)
....................................................................................................
C 'est bien la pluralité des insécables qui me chagrine.
Ainsi La relation duelle entre deux insécables , relation de choc réitérée à linfini :
moi et le café,
le café et l'eau,
le lait et la tasse etc... autant de duels qu'il y a de chocs entre des insécables.
matérialisme pour matérialisme il n'y a pas obligation de penser la matière comme un composé d' insécables.
Je vois très bien la branche matérialiste sur laquelle tu es assis,
l'atomisme c' est une des branches.
Je n'ai pas écrit que je ne voulais pas lire tes textes ...
Je veux bien retirer ma remarque puisqu'elle fait polémique
(je l' efface ...on verra bien si toi, tu effaces tout ce qui y a trait)
....................................................................................................
C 'est bien la pluralité des insécables qui me chagrine.
Ainsi La relation duelle entre deux insécables , relation de choc réitérée à linfini :
moi et le café,
le café et l'eau,
le lait et la tasse etc... autant de duels qu'il y a de chocs entre des insécables.
matérialisme pour matérialisme il n'y a pas obligation de penser la matière comme un composé d' insécables.
Je vois très bien la branche matérialiste sur laquelle tu es assis,
l'atomisme c' est une des branches.
hks- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
.
La relation entre les insécables démocritéens ne se jouent pas exclusivement sur le mode du choc. Il y a certes des chocs entre eux, mais il y aussi entre eux des relations d'indifférence totale ou de bonne entente.
Il ne s'agit pas de penser la matière à partir des insécables, mais de constater que la matières est faites d'insécables. Qu'on la pense ou non, ça revient au même. Elle est ainsi, la matière.
Mais si on la pense, on en conclue que les dieux ne s'occupe certainement pas de nous et qu'il faut nous débrouiller tout seuls pour construire un sens à la vie, ainsi qu'une éthique digne de ce nom.
Mon chat s'entend très bien avec Gleen Gloud, mais il est indifférent à l'existence-même du sucre que je met dans mon café. Que le sucre soit ou non dissous dans ma tasse, dont il se fout complètement, ça ne lui fait ni chaud ni froid. Mais moi, j'ai une relation d'amitié réelle avec le su ... Etc. ...
Ne te fais pas de soucis pour la branche où tu m'imagines assis je ne sais pas pourquoi. Je ne suis assis sur aucune branche.
Je suis debout sur le sol.
Mon père, il était petit.
Il était petit, mais philosophe.
Il disait :
« La bonne longueur pour les pattes, c'est quand les pieds touchent le sol. ».
Je veux dire par là que même si l'atomisme n'a plus la même signification que du temps de la Grèce antique, puisque maintenant l'insécable physique se trouve à l'échelon de l'ère de Planck, la notion d'insécable se trouve dans l'essence de toute chose. Je peux certes casser un objet ou un sujet, je ne peux pas casser l'essence imaginée de cet objet ou de ce sujet, qui était réellement la sienne avant que je ne le casse. Cette essence est du domaine exclusif de l'existence physiquement sécable mais essentiellement entière de l'objet ou du sujet.
.
La relation entre les insécables démocritéens ne se jouent pas exclusivement sur le mode du choc. Il y a certes des chocs entre eux, mais il y aussi entre eux des relations d'indifférence totale ou de bonne entente.
Il ne s'agit pas de penser la matière à partir des insécables, mais de constater que la matières est faites d'insécables. Qu'on la pense ou non, ça revient au même. Elle est ainsi, la matière.
Mais si on la pense, on en conclue que les dieux ne s'occupe certainement pas de nous et qu'il faut nous débrouiller tout seuls pour construire un sens à la vie, ainsi qu'une éthique digne de ce nom.
Mon chat s'entend très bien avec Gleen Gloud, mais il est indifférent à l'existence-même du sucre que je met dans mon café. Que le sucre soit ou non dissous dans ma tasse, dont il se fout complètement, ça ne lui fait ni chaud ni froid. Mais moi, j'ai une relation d'amitié réelle avec le su ... Etc. ...
Ne te fais pas de soucis pour la branche où tu m'imagines assis je ne sais pas pourquoi. Je ne suis assis sur aucune branche.
Je suis debout sur le sol.
Mon père, il était petit.
Il était petit, mais philosophe.
Il disait :
« La bonne longueur pour les pattes, c'est quand les pieds touchent le sol. ».
Je veux dire par là que même si l'atomisme n'a plus la même signification que du temps de la Grèce antique, puisque maintenant l'insécable physique se trouve à l'échelon de l'ère de Planck, la notion d'insécable se trouve dans l'essence de toute chose. Je peux certes casser un objet ou un sujet, je ne peux pas casser l'essence imaginée de cet objet ou de ce sujet, qui était réellement la sienne avant que je ne le casse. Cette essence est du domaine exclusif de l'existence physiquement sécable mais essentiellement entière de l'objet ou du sujet.
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Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Emmanuel a écrit:
neopilina saura se défendre, mais il me semble qu'il a le droit de s'expliquer dans le domaine de la réalité macroscopique qui est celui de tout le monde sur terre et sur la lune. Non ?
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Je n'envisage pas nos discussions sous la forme d'un combat, mais d'un échange en vue d'une meilleure compréhension de mes limites cognitives. Quoi qu'il en soit, certes, il argumente comme il l'entend, oui. Quelque chose t'inciterait à penser le contraire ?
Mais à se limiter au monde macroscopique implique de définir la limite entre ce qui est macro de ce qui ne l'est pas. Bon courage, là non plus personne ne peut opposer autre chose qu'une certaine forme d'arbitraire.
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
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Je n'entends pas « se défendre » dans le sens du combat, pas plus que le petit garçon arabe devenu juif sous l'influence de sa mère adoptive, dans « La vie devant soi » de Romain Gary, ne l'entendait pour parler des prostituées de son quartier, qui, comme il disait, se défendaient. (Faisaient bien leur métier.)
Cela dit, je ne vois pas pourquoi on ne développerait pas ses idées à l'échelle du macroscopique, ce que tu fais, sans parler de la limite séparant cette échelle de celle du microscopique de la physique quantique. (Mais ou peut le faire, ce n'est pas interdit non plus.) (On peut aussi parler de la cuisine au four chauffé à la pierre de lune préalablement chauffée elle-même au four solaire.)
.
Je n'entends pas « se défendre » dans le sens du combat, pas plus que le petit garçon arabe devenu juif sous l'influence de sa mère adoptive, dans « La vie devant soi » de Romain Gary, ne l'entendait pour parler des prostituées de son quartier, qui, comme il disait, se défendaient. (Faisaient bien leur métier.)
Cela dit, je ne vois pas pourquoi on ne développerait pas ses idées à l'échelle du macroscopique, ce que tu fais, sans parler de la limite séparant cette échelle de celle du microscopique de la physique quantique. (Mais ou peut le faire, ce n'est pas interdit non plus.) (On peut aussi parler de la cuisine au four chauffé à la pierre de lune préalablement chauffée elle-même au four solaire.)
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Dernière édition par Emmanuel le Ven 17 Aoû 2018 - 18:29, édité 2 fois
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
hks a écrit:
Je suis obligé de croire en un espace de déploiement ...parce que je suis actif,
pas une pensée désincarnée (la pensée est aussi une acte cela dit )
La pensée est spatiale, elle est espace.
Je réponds, faisant ainsi écho à une autre de nos discussions, que l'on ne peut croire en un espace, mais que cet espace est la condition de déploiement de l'activité (sur un mode très kantien). D'ailleurs, toujours en parlant de cet espace, suis-je seulement capable de ne plus y croire? J'ai beau essayer, j'en suis incapable sur un mode empirique. Seule la raison me permet d'espérer franchir cette barrière. Et ma raison dit : sitôt deux objets mis en œuvre, même en pensée, il leur faut un espace de déploiement spatial et temporel, et sitôt une pensée qui se sait pensée, dans ma pensée, il lui faut un espace de déploiement uniquement temporel. Donc je peux te rejoindre, à la condition de reformuler : le déploiement spatial est une nécessité pour certaines activités de pensée réflexive ; le déploiement temporel est une nécessité pour toute réflexivité. Pourquoi cette précision ? Car s'il me semble possible de s'affranchir de l'espace (toute pensée n'use pas d'objets étendus), toute pensée réflexive nécessite un déploiement dans le temps.
hks a écrit:Je n'affirme pas deux présents différents ( comme tu le dis ) mais un seul et il est spatial...et non seulement ça...il est temporalisé.
Pour m'aider à comprendre : lorsque tu énonces, forcément au présent, une phrase au mode du passé, considères-tu que cette action dite passée s'est réellement déroulée, au sens aussi présente que le présent qui sert à énoncer cette phrase au passé ? Par exemple : "j'ai bu un verre d'eau, il y a une heure" signifie-t-il (A) qu'un seul et même présent vécu "joue" d'une spatialité en quelque sorte sous-temporalisée, dans une construction permanente du passé et du futur (dont on serait bien en peine d'expliquer le comment du pourquoi), qui se fonde sur une réalité présente intangible, asymptotiquement vide, un concept de conscience extrême, mais dont les espaces contigus, passés et futurs - mais toujours seulement présents ! -, dotés d'une caractéristique nouvelle que j'appellerais la réalisticité, suffiraient à penser avoir vécu sans en réalité ne jamais vivre autre chose qu'une limite à cette réalisticité ? Dans cette optique un brin complexe je l'admets, l'existence du temps ontologique est bien sûr niée, tout autant que l'existence ontologique de l'espace. Ne reste qu'un fond diffus métaphysique, et l'espérance de s'en tirer par le sens et le langage. Cette position a ma préférence personnelle, car elle évacue tout dogme, mais je pense qu'elle ne peut être tienne) (B) que la référence au passé au sein de l'expérience vécue pointe une autre expérience vécue, différence principalement caractérisée par la reconnaissance d'une modification d'un espace d'arrangement. Mais dans ce cas, comment justifies-tu la distance entre deux expériences vécues différenciées si tu n'acceptes pas de les disperser sur une échelle de temps ? Comment te représentes-tu une échelle spatiale sans échelle temporelle? Une échelle temporelle peut se concevoir sans contenu, c'est en quelque sorte l'idée de potentiel : il peut bien ne rien y avoir, excepté le temps, aux temps [t1, t2, ...tn], mais il reste la possibilité de concevoir quelque chose au temps tn+1. Par exemple un Big Bang. Ou qu'une enclume me tombe sur le crâne là, maintenant.
hks a écrit:
là c'est une vue très rationnelle et épurée une vue théorique...laquelle substantialise LE présent (et en fait un étant comme les autres )
Ah non. L'unique présent ne repose sur aucune substance. Ce serait bien le cas si je tentais d'expliquer ce présent. Ce que je me garde bien de faire.
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Emmanuel a écrit:.
Cela dit, je ne vois pas pourquoi on ne développerait pas ses idées à l'échelle du macroscopique sans parler de la limite séparant cette échelle de celle du microscopique de la physique quantique. (Mais ou peut le faire, ce n'est pas interdit non plus.)
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Sous peine de ridicule ?
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 29/07/2014
Re: PLATON
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C'est ç'la oui ...
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C'est ç'la oui ...
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Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 05/08/2018
Re: PLATON
Emmanuel a écrit:.
Il ne s'agit pas de penser la matière à partir des insécables, mais de constater que la matières est faites d'insécables. Qu'on la pense ou non, ça revient au même. Elle est ainsi, la matière.
On tient notre second prix Nobel.
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Victor Emm a écrit:Il ne s'agit pas de penser la matière à partir des insécables, mais de constater que la matière est faites d'insécables.
Quel constat ?
Oui j'exagère en matière de chocs , il y a des chocs amoureux et des atomes crochus ...enfin tout ce qu'on peut imaginer de relations externes entre les insécables.
bien sûr qu'une philosophie de l'identique à soi (que ce soit des atomes ou des corps composé d'atome insécables est plus facile à penser. Si facile qu'il n'y a plus besoin de penser du tout.
..................................................................................................................................
la notion d'insécable se trouve dans l'essence de toute chose.
Tu exprimes un jugement.
des jugements Kant (par exemple) en exprime
« tous les corps sont étendus » (jugement analytique)
« tous les corps sont pesants » (jugement synthétique)
à un autre moment : tous les corps sont divisibles ou changeants
remarque étonnante Il y a ici dans le texte de la première et de la seconde édition, au lieu de theilbar (divisible) veränderlich (changeant) ; mais, comme le fait remarquer Rosenkranz, c’est évidemment là un erratum.
mais bref
........
tu te places en deçà : tu dis non pas qu'une chose (un corps) est insécable (indivisible),
mais qu' elle est composée in fine d' insécables.
autrement dit : Une chose est composée de parties qui elles ne sont pas composées.
deux régimes d'existence dans la matière:
1)le composé les objets macroscopiques
2)et les insécables.on peut inverser l' ordre
et qu'est- ce qu'on constate ? On constate des divisions successives, de plus en plus fines. On ne constate pas de l'indivision mais des divisions
on peut dire que l'on divise ce qui est techniquement divisible.
Et le saint Graal c'est l'indivisible.
hks- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
Démocrite prix Nobel. Oui, pourquoi pas. À titre posthume, alors. Difficile.Crosswind a écrit:On tient notre second prix Nobel.Emmanuel a écrit:.
Il ne s'agit pas de penser la matière à partir des insécables, mais de constater que la matières est faites d'insécables. Qu'on la pense ou non, ça revient au même. Elle est ainsi, la matière.
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Re: PLATON
hks a écrit:Si facile qu'il n'y a plus besoin de penser du tout.
???
Je pense à réécrire les livres disparus de Démocrite en les mettant à jour suivant ce qui se pense de mieux dans le monde du 21e siècle.
Je pense à quelque chose comme ça, entre autres.
.
Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 05/08/2018
Re: PLATON
Emmanuel a écrit:hks a écrit:Si facile qu'il n'y a plus besoin de penser du tout.
???
Je pense à réécrire les livres disparus de Démocrite en les mettant à jour suivant ce qui se pense de mieux dans le monde du 21e siècle.
Quel raisonnement t'amène à cette conviction, je veux dire dans une ontologie de l'insécable alors même que la crise de l'atomisme n'a jamais été si prégnante ?
Crosswind- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 29/07/2014
Re: PLATON
.
Nous avons en quelques interventions le prototype social parfait de l'immaturité, sur ce forum.
Récapitulatif :
A ) L'un dit « Il fait jour »
B ) L'autre dit « Tu ne dis pas à quelle heure tombe la nuit »
C ) Je dis « Pour dire qu'il fait jour, nul n'est besoin de connaître l'heure à laquelle tombe la nuit »
D ) Le premier dit alors « L'autre peut me demander l'heure de la tombée de la nuit comme il veut »
C ) Un troisième me dit « Tu ne penses pas »
C'est très caricaturé, mais c'est comme ça quand même.
Y a pas à dire, y a de l'intelligence, là, c'est sûr ...
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Nous avons en quelques interventions le prototype social parfait de l'immaturité, sur ce forum.
Récapitulatif :
A ) L'un dit « Il fait jour »
B ) L'autre dit « Tu ne dis pas à quelle heure tombe la nuit »
C ) Je dis « Pour dire qu'il fait jour, nul n'est besoin de connaître l'heure à laquelle tombe la nuit »
D ) Le premier dit alors « L'autre peut me demander l'heure de la tombée de la nuit comme il veut »
C ) Un troisième me dit « Tu ne penses pas »
C'est très caricaturé, mais c'est comme ça quand même.
Y a pas à dire, y a de l'intelligence, là, c'est sûr ...
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Emmanuel- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 05/08/2018
Re: PLATON
Et tu ne participes pas du tout à cette caricature. Non, non.
_________________
"Let us chace our imagination to the heavens, or to the utmost limits of the universe ; we never really advance a step beyond ourselves, nor can conceive any kind of existence..." D. Hume
Crosswind- Digressi(f/ve)
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hks- Digressi(f/ve)
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