L'Homme, entre la Bête et la Machine
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L'Homme, entre la Bête et la Machine
J'ai le sentiment qu'il existe une différence profonde dans la représentation de l'Homme entre ma génération et les suivantes d'un côté, et les générations précédentes de l'autre. J'ai conscience, bien sûr, du biais chronocentrique dont cet incipit pourrait témoigner. Il n'empêche, j'ai très souvent été frappé par l'importance que le concept de rationalité a pour mes ainés -et mes discussions ici en ont souvent été le reflet.
D'abord, je crois qu'il existe à ce propos une sorte de tradition philosophique. François Châtelet disait en somme que l'histoire de la philosophie se confond avec l'histoire de la raison. J'ose esquisser l'idée que la centralité de l'"homme rationnel" se comprend d'autant mieux qu'on identifie à quoi il s'oppose. D'abord, à l'homme du peuple, au plébéien. A l'homme de la foule, jouet des passions et des démagogues. Au pauvre, au prolétaire, abruti de travail et de misère. Au paysan, analphabète, pétri de traditions désuètes et de superstitions grotesques. A l'écervelé, qui manque de discipline et se laisse dominer par ses instincts. Au noceur, à l'ivrogne. A la crapule. Au criminel, qui de lui-même, se met au ban de la société des hommes. Au fond, à l'homme qui n'est pas vraiment un homme, j'entends un homme "fait", un homme accompli. L'homme irrationnel est un semi-homme, en somme. Il est sur le chemin de l'humanité pleine et entière, mais il n'y est pas encore parvenu. Il est resté un peu bête. Comme l'animal, il est dominé par ses "bas instincts", et lorsqu'il est en société, au milieu de ses semblables, il se fond dans la masse, dans le troupeau. L'homme rationnel, l'homme civilisé, l'Individu se comprend comme antithèse de la bête. Et il me semble que cette représentation a été dominante jusqu'à la génération qui précède la mienne. La littérature académique de la Guerre Froide regorge d'analyses visant à démontrer combien la rationalité est du côté occidental tandis que l'irrationalisme règne de l'autre côté du Rideau de Fer. Pendant que, de leur côté, les marxistes s'efforçaient de démontrer qu'il est plus rationnel de planifier la production industrielle que de la laisser à la sauvagerie du marché.
Je crois donc appartenir à une autre génération, une génération qui a grandi avec Darth Vador, Terminator et Wargames (le film). Qui est peut-être moins fascinée par la technologie, puisqu'elle est née avec les ordinateurs domestiques, voire avec internet. Et qui, en revanche, pourrait être davantage concernée par ses évolutions, et en particulier son impact sur l'Homme. Aussi loin que je me souvienne, mes BDs d'enfant étaient peuplées de cyborgs et de mutants, et l'humanité y combattait plus ou moins victorieusement, soit des armadas d'aliens technologiquement avancés, soit des armées de robots ultraperfectionnés. Des questions comme la capacité des robots à apprendre de leurs erreurs et à interagir émotionnellement avec les humains, le développement des compétences humaines par la technologie, l'apparition de nouvelles inégalités, tout à fait concrètes, physiques et cognitives, ainsi engendrées entre les individus, l'évolution du politique vers la gestion du "troupeau humain" assistée technologiquement, des questions cruciale de notre temps, interrogent radicalement les leçons des Lumières qui orientaient la réflexion philosophique en Occident depuis le XVIIIe siècle. L'homme est rationnel, certes, du moins il est partiellement rationnel. Et il est capable de construire des machines aux capacités de calcul si gigantesques que, non seulement elles dépassent déjà largement ses propres compétences cognitives, mais seront demain sans doute capables d'un développement autonome.
Certes, le thème de la dialectique de la raison n'est pas nouveau. Mais l'Ecole de Francfort envisageait la raison dans la perspective de la domination de l'homme par l'homme. La Machine était encore une métaphore pour le Capital et la Bureaucratie. D'abord, il se pourrait bien que le terme soit, dans l'avenir, à prendre un peu plus au pied de la lettre. Et surtout, ces réflexions hyperboliques ne sont plus l'apanage de quelques barbus esthético-marxistes :
D'abord, je crois qu'il existe à ce propos une sorte de tradition philosophique. François Châtelet disait en somme que l'histoire de la philosophie se confond avec l'histoire de la raison. J'ose esquisser l'idée que la centralité de l'"homme rationnel" se comprend d'autant mieux qu'on identifie à quoi il s'oppose. D'abord, à l'homme du peuple, au plébéien. A l'homme de la foule, jouet des passions et des démagogues. Au pauvre, au prolétaire, abruti de travail et de misère. Au paysan, analphabète, pétri de traditions désuètes et de superstitions grotesques. A l'écervelé, qui manque de discipline et se laisse dominer par ses instincts. Au noceur, à l'ivrogne. A la crapule. Au criminel, qui de lui-même, se met au ban de la société des hommes. Au fond, à l'homme qui n'est pas vraiment un homme, j'entends un homme "fait", un homme accompli. L'homme irrationnel est un semi-homme, en somme. Il est sur le chemin de l'humanité pleine et entière, mais il n'y est pas encore parvenu. Il est resté un peu bête. Comme l'animal, il est dominé par ses "bas instincts", et lorsqu'il est en société, au milieu de ses semblables, il se fond dans la masse, dans le troupeau. L'homme rationnel, l'homme civilisé, l'Individu se comprend comme antithèse de la bête. Et il me semble que cette représentation a été dominante jusqu'à la génération qui précède la mienne. La littérature académique de la Guerre Froide regorge d'analyses visant à démontrer combien la rationalité est du côté occidental tandis que l'irrationalisme règne de l'autre côté du Rideau de Fer. Pendant que, de leur côté, les marxistes s'efforçaient de démontrer qu'il est plus rationnel de planifier la production industrielle que de la laisser à la sauvagerie du marché.
Je crois donc appartenir à une autre génération, une génération qui a grandi avec Darth Vador, Terminator et Wargames (le film). Qui est peut-être moins fascinée par la technologie, puisqu'elle est née avec les ordinateurs domestiques, voire avec internet. Et qui, en revanche, pourrait être davantage concernée par ses évolutions, et en particulier son impact sur l'Homme. Aussi loin que je me souvienne, mes BDs d'enfant étaient peuplées de cyborgs et de mutants, et l'humanité y combattait plus ou moins victorieusement, soit des armadas d'aliens technologiquement avancés, soit des armées de robots ultraperfectionnés. Des questions comme la capacité des robots à apprendre de leurs erreurs et à interagir émotionnellement avec les humains, le développement des compétences humaines par la technologie, l'apparition de nouvelles inégalités, tout à fait concrètes, physiques et cognitives, ainsi engendrées entre les individus, l'évolution du politique vers la gestion du "troupeau humain" assistée technologiquement, des questions cruciale de notre temps, interrogent radicalement les leçons des Lumières qui orientaient la réflexion philosophique en Occident depuis le XVIIIe siècle. L'homme est rationnel, certes, du moins il est partiellement rationnel. Et il est capable de construire des machines aux capacités de calcul si gigantesques que, non seulement elles dépassent déjà largement ses propres compétences cognitives, mais seront demain sans doute capables d'un développement autonome.
Certes, le thème de la dialectique de la raison n'est pas nouveau. Mais l'Ecole de Francfort envisageait la raison dans la perspective de la domination de l'homme par l'homme. La Machine était encore une métaphore pour le Capital et la Bureaucratie. D'abord, il se pourrait bien que le terme soit, dans l'avenir, à prendre un peu plus au pied de la lettre. Et surtout, ces réflexions hyperboliques ne sont plus l'apanage de quelques barbus esthético-marxistes :
"Je suis de ceux qui s'inquiètent de la super-intelligence. Dans un premier temps, les machines accompliront de nombreuses tâches à notre place et ne seront pas super-intelligentes. Cela devrait être positif si nous gérons ça bien. Plusieurs décennies plus tard cependant, l'intelligence sera suffisamment puissante pour poser des problèmes. Je suis d'accord avec Elon Musk et d'autres, et je ne comprends pas pourquoi les gens ne sont pas inquiets", a déclaré Bill Gates.
Elon Musk joue depuis quelques temps le rôle du Cassandre de l'intelligence artificielle. "Je pense que nous devrions être très prudents. Si je devais deviner ce qui représente la plus grande menace pour notre existence, je dirais probablement l'intelligence artificielle. Je suis de plus en plus enclin à penser qu'il devrait y avoir une régulation, à un niveau national ou international, simplement pour être sûr que nous ne sommes pas en train de faire quelque chose de stupide. Avec l'intelligence artificielle, nous invoquons un démon." L'entrepreneur, adepte des projets futuristes dont la faisabilité n'est pas toujours aussi réaliste que celle de ses voitures électriques, passe parfois pour un doux dingue. Mais il n'est pas le seul à tirer la sonnette d'alarme.
Le célèbre physicien Stephen Hawking, à qui l'on doit des avancées théoriques significatives dans le domaine des trous noirs et de la création de l'univers, se montre lui aussi pessimiste. "Réussir à créer une intelligence artificielle serait le plus grand événement dans l'histoire de l'homme. Mais ce pourrait aussi être le dernier", prévient-il. Ou encore : "L'impact à court terme de l'intelligence artificielle dépend de qui la contrôle. Et, à long terme, de savoir si elle peut être tout simplement contrôlée".
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...que vont charmant masques et bergamasques...
Bergame- Persona
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kercoz- Digressi(f/ve)
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Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Message insultant, supprimé. Dernier avertissement avant radiation.
saphiraméthyste- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 29/11/2014
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
SuppriméRadié définitivement
saphiraméthyste- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 108
Date d'inscription : 29/11/2014
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Ben les gars ? Qu'est-ce qui se passe ? Je ne pensais pas que mon texte fût si polémique !?
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Bergame- Persona
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Date d'inscription : 03/09/2007
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Rien du tout qui te visât.
Notre ex-ami ayant trollé ton sujet je lui ai signifié que ça ne se faisait pas ce qui a déclenché une série d'insultes adressées je ne sais pourquoi à quelqu'un de récemment décédé.
D'où avertissement, récidive, puis sanction.
Notre ex-ami ayant trollé ton sujet je lui ai signifié que ça ne se faisait pas ce qui a déclenché une série d'insultes adressées je ne sais pourquoi à quelqu'un de récemment décédé.
D'où avertissement, récidive, puis sanction.
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euthyphron- Digressi(f/ve)
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Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
J'aime bien ton texte Bergame, rien à redire, sauf peut-être pour ce qui est de la génération. Une génération n'est pas moins bête que l'autre.
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La vérité n'est que la simple découverte du monde
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
La bétise n' a rien a faire là. Cette relativité de perception liée à la génération est pertinente. Mais tu fais ( ou indique) une notion de "valeur" qualitative qui me parait subjectivée.( par exemple) Même si le comportemental "ancien" peut nous paraitre primaire ou bestial, ça peut être un "effet d' optique".....du point de vue de la dépendance ( aliénation) au système ces générations étaient bien moins impactées que nous le sommes et que ne le seront les générations suivantes.
Comme toujours , je traite ces problème de mon "point de vue" qui implique la structure des groupes. La réduction de l' individu à une entité isolée,virtuelle me parait être et la clef de cette réflexion et la catastrophe inéluctable de cette dynamique.
On peut aussi traiter cette dynamique du point de vue "organiciste" : l' individu perd progressivement son autonomie et sa liberté au profit d' un méta organisme .( Spencer et Durkheim ont suivi cette piste )
Comme toujours , je traite ces problème de mon "point de vue" qui implique la structure des groupes. La réduction de l' individu à une entité isolée,virtuelle me parait être et la clef de cette réflexion et la catastrophe inéluctable de cette dynamique.
On peut aussi traiter cette dynamique du point de vue "organiciste" : l' individu perd progressivement son autonomie et sa liberté au profit d' un méta organisme .( Spencer et Durkheim ont suivi cette piste )
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TIMSHEL
kercoz- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 01/07/2014
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Justement si, tu en es la preuve vivante !kercoz a écrit:La bétise n' a rien a faire là.
(je taquine, hein !)
... et puis c'est pas ce que j'ai dit, j'ai dit moins bête. Mets des lunettes. Je faisais écho à Bergame, dans le sens de bête, primaire, ce qui n'empêche pas d'être un minimum futé ?
Bergame a écrit:Il est resté un peu bête. Comme l'animal, il est dominé par ses "bas instincts", et lorsqu'il est en société, au milieu de ses semblables, il se fond dans la masse, dans le troupeau. L'homme rationnel, l'homme civilisé, l'Individu se comprend comme antithèse de la bête.
Ce serait bien de répondre pas à côté de la plaque, parce que à la lecture, tu es fatiguant, si à chaque fois faut tout t'expliquer ?
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La vérité n'est que la simple découverte du monde
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Bergame a écrit:D'abord, je crois qu'il existe à ce propos une sorte de tradition philosophique. François Châtelet disait en somme que l'histoire de la philosophie se confond avec l'histoire de la raison. J'ose esquisser l'idée que la centralité de l'"homme rationnel" se comprend d'autant mieux qu'on identifie à quoi il s'oppose. D'abord, à l'homme du peuple, au plébéien. A l'homme de la foule, jouet des passions et des démagogues. Au pauvre, au prolétaire, abruti de travail et de misère. Au paysan, analphabète, pétri de traditions désuètes et de superstitions grotesques. A l'écervelé, qui manque de discipline et se laisse dominer par ses instincts. Au noceur, à l'ivrogne. A la crapule. Au criminel, qui de lui-même, se met au ban de la société des hommes. Au fond, à l'homme qui n'est pas vraiment un homme, j'entends un homme "fait", un homme accompli. L'homme irrationnel est un semi-homme, en somme. Il est sur le chemin de l'humanité pleine et entière, mais il n'y est pas encore parvenu. Il est resté un peu bête. Comme l'animal, il est dominé par ses "bas instincts", et lorsqu'il est en société, au milieu de ses semblables, il se fond dans la masse, dans le troupeau. L'homme rationnel, l'homme civilisé, l'Individu se comprend comme antithèse de la bête.
Toujours, dramatiquement très vrai ( Passons l'anthropomorphisation de cette pauvre bête, tout le monde a compris. ). L'homme est et sera toujours ce qu'il en fait à partir de ce qu'il est ( Lapalissade ? ). Ce qui nous conduit au comment, au pourquoi, etc., c'est à dire à la connaissance, et notoirement, à la métaphysique et à la philosophie !
Vite fait, avant que les Terminators de Skynet rappliquent, . On peut toujours s'interroger sur le " fantôme dans la machine ", le problème le plus brulant reste ce que nous sommes encore, aujourd'hui.
P.S. à kercoz,
Oublies la néoténie. Beaucoup plus simplement : notre espèce n'a jamais été totalement sevrée, si j'ose dire. Le " malaise " dans la civilisation, la Bête en nous, etc., s'y opposent. On n'est pas fini, . On va essayer d'en rire ... Un peu de sérieux : il faut cheminer !
Dernière édition par neopilina le Jeu 5 Fév 2015 - 2:12, édité 2 fois
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" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
C'est à pas de colombes que les Déesses s'avancent.
neopilina- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 8364
Date d'inscription : 31/10/2009
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
moi Bergame j' ai l'impression que ma génération est celle qui est la plus inquiétée par le monde cyborg. ... je dirais largement autant que par la menace écologique.
Déjà les machines super intelligentes inquiètent , certes, mais les machines couplées avec du vivant (cyborg) !!! les manipulations génétiques, les nano technologies.
Et puis la possibilité effective de produire des humains d' une intelligence ( capacité cognitive ) nettement supérieure à la notre. Comment on gère cela ?
enfin bref... la réalité dépassant la fiction
On va faire quoi ?
là on est les néandertaliens
Déjà les machines super intelligentes inquiètent , certes, mais les machines couplées avec du vivant (cyborg) !!! les manipulations génétiques, les nano technologies.
Et puis la possibilité effective de produire des humains d' une intelligence ( capacité cognitive ) nettement supérieure à la notre. Comment on gère cela ?
enfin bref... la réalité dépassant la fiction
On va faire quoi ?
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hks- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
illusion d' optique simple mais assez efficace.
Une série bio génétique à l'usage des néandertaliens.(
Ça ne regarde pas tellement de séries un "disgressif "... apparemment... personne n'en parle .
Une série bio génétique à l'usage des néandertaliens.(
Ça ne regarde pas tellement de séries un "disgressif "... apparemment... personne n'en parle .
hks- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 04/10/2007
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
hks a écrit:Ça ne regarde pas tellement de séries un "disgressif "... apparemment... personne n'en parle .
Je reconnais que j'en regarde très peu (un petit peu Game of Thrones, que m'a fait connaître mon petit frère, mais qui, malgré l'attrait de l'anti manichéisme, n'enchante évidemment pas un rêveur...ou du moins désenchante avec ça... ; un peu aussi Kaamelot qui est vraiment drôle ! ). En revanche, je connais plusieurs animes...mais je ne sais pas si ça intéresserait ici... J'ai écrit un sujet sur Liberté Philo...
Sinon, "l'illusion d'optique" n'est pas mal, mais le profil de la femme ressemble trop à un Picasso...
Dernière édition par Rêveur le Ven 13 Fév 2015 - 23:50, édité 1 fois
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Le vent se lève, il faut tenter de vivre (Valéry)
For the night is long that never finds the day (Macbeth)
Rêveur- Digressi(f/ve)
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Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 24/03/2014
Re: L'Homme, entre la Bête et la Machine
Ça fait vraiment peu effectivement ...mais personne n'est obligé non plus . en fait je n'ai vu que le profil ... pendant un certain temps. Ce qui rétrospectivement m' étonne.
Je m'explique cela ainsi : le profil est complet ( en tant que profil ).
Je m'explique cela ainsi : le profil est complet ( en tant que profil ).
hks- Digressi(f/ve)
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Localisation : Hauts de Seine
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