La ligne rouge
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poussbois
quid
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La ligne rouge
Un de mes, sinon mon, film culte :
quid- Digressi(f/ve)
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Re: La ligne rouge
A l'évidence, c'est quelqu'un qui a quelque chose à dire sur la guerre. Il était sorti en même temps que le film de Spielberg "Save privat Ryan" et certains, dont Nick Nolte, avaient voulu opposer ces deux films. Je pense que c'était une erreur, ils se complètent parfaitement.
Si tu as aimé ce film, tu devrais alors aimer également la série produite également par Spielberg "Band of brothers". Là encore, il y a le culte du héros qui n'est pas présent dans la ligne rouge. Dans la ligne rouge, le héros américain le devient par hasard ou sur un coup de tête. Mais comme dans la ligne rouge, il y a cette tension mortifère incompréhensible pour ceux qui n'ont pas vécu de pareilles situations, et la description de cette communauté particulière. Les entretiens avec les anciens combattants qui pnoctuent la série sont particulièrement émouvants. Spielberg a plus recherché l'émotion comme à son habitude, alors que Malick était plus intéressé par une forme de transe psychologique, une sorte d'hallucination collective.
Si tu as aimé ce film, tu devrais alors aimer également la série produite également par Spielberg "Band of brothers". Là encore, il y a le culte du héros qui n'est pas présent dans la ligne rouge. Dans la ligne rouge, le héros américain le devient par hasard ou sur un coup de tête. Mais comme dans la ligne rouge, il y a cette tension mortifère incompréhensible pour ceux qui n'ont pas vécu de pareilles situations, et la description de cette communauté particulière. Les entretiens avec les anciens combattants qui pnoctuent la série sont particulièrement émouvants. Spielberg a plus recherché l'émotion comme à son habitude, alors que Malick était plus intéressé par une forme de transe psychologique, une sorte d'hallucination collective.
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Le Nord, c'est par là.
poussbois- Digressi(f/ve)
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Re: La ligne rouge
Je me souviens, il est pas mal " Ligne rouge ". Le " soldat Ryan " est plus conventionnel. Pour le débarquement on évoque toujours la même plage sur cinq : "Omaha ". Parce qu'à Omaha, ça s'est mal passé, très mal passé, rien ne se passe comme prévu. A Omaha, les américains ne feront aucun prisonnier. Un mitrailleur allemand s'en est tiré, en se rendant aux prisonniers américains qu'il gardait. Le point d'orgue du " soldat Ryan ", ce n'est pas cette tragédie connue d'avance, c'est l'épisode dans le petit village. Une excellente représentation de l'engagement de première ligne.
On oublie trop souvent " Les Sentiers de la gloire " de Kubrick, avec Kirk Douglas, en noir et blanc. Pour Diên Biên Phu, il y a celui de Pierre Schœndœrffer, qui était dans la cuvette. Il s'y met en scène, au cessez le feu, c'est le jeune photographe des armées qui déroule la pellicule de son appareil à la lumière.
On oublie trop souvent " Les Sentiers de la gloire " de Kubrick, avec Kirk Douglas, en noir et blanc. Pour Diên Biên Phu, il y a celui de Pierre Schœndœrffer, qui était dans la cuvette. Il s'y met en scène, au cessez le feu, c'est le jeune photographe des armées qui déroule la pellicule de son appareil à la lumière.
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" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
C'est à pas de colombes que les Déesses s'avancent.
neopilina- Digressi(f/ve)
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Re: La ligne rouge
DBP de Schoendoerffer, c'est pas mon préféré. Trop d'acteurs amateurs, on a du mal à y croire et un petit côté documentaire auquel je n'ai pas accroché. Par contre, la précision historique y est impressionnante. Mon père avait un copain toubib des armées qui y était et il a confirmé que c'était particulièrement bien rendu.
De Schœndœrffer, dans le même genre que la ligne rouge, je verrais plutôt la 317éme section. Merci de nous y avoir fait pensé, Néo, c'est vraiment dans la même lignée.
Ces films ont le même côté percutant que toutes les chronique : un enchainement d'évènements, présentés de façon factuel et presque froide, mais dont la force est de nous faire encore mieux ressentir les choses de façon très personnelle, alors que le côté démonstratif de Spielberg nous entraine dans une émotion encadrée. C'est pour moi la principale différence.
Du coup, mon film culte perso, c'est clairement le Crabe Tambour, toujours de Schoendoerffer et toujours sur la guerre, enfin, en partie. Et puis, il y a probablement les plus belles scènes de mer du cinéma.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, voici l'adresse. Je l'ai calé sur une des plus belles scènes mais la beauté esthétique des images est encore décuplée quand on connaît le contexte :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=gIAIAO6BOD8#t=103m20s
bon, le calage des vidéos Youtube, c'est un art que je ne maitrise pas. Si ça ne marche pas à cause de la pub, merci de copier l'adresse dans votre barre d'adresse et si ça ne fonctionne toujours pas, allez à 1h43'20" :)
De Schœndœrffer, dans le même genre que la ligne rouge, je verrais plutôt la 317éme section. Merci de nous y avoir fait pensé, Néo, c'est vraiment dans la même lignée.
Ces films ont le même côté percutant que toutes les chronique : un enchainement d'évènements, présentés de façon factuel et presque froide, mais dont la force est de nous faire encore mieux ressentir les choses de façon très personnelle, alors que le côté démonstratif de Spielberg nous entraine dans une émotion encadrée. C'est pour moi la principale différence.
Du coup, mon film culte perso, c'est clairement le Crabe Tambour, toujours de Schoendoerffer et toujours sur la guerre, enfin, en partie. Et puis, il y a probablement les plus belles scènes de mer du cinéma.
Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, voici l'adresse. Je l'ai calé sur une des plus belles scènes mais la beauté esthétique des images est encore décuplée quand on connaît le contexte :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=gIAIAO6BOD8#t=103m20s
bon, le calage des vidéos Youtube, c'est un art que je ne maitrise pas. Si ça ne marche pas à cause de la pub, merci de copier l'adresse dans votre barre d'adresse et si ça ne fonctionne toujours pas, allez à 1h43'20" :)
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poussbois- Digressi(f/ve)
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Localisation : Petites Antilles
Date d'inscription : 18/07/2012
Re: La ligne rouge
« Band of brothers », j'ai suivi assidûment la série. J'ai vraiment bien aimé. Le fait que ce soit une série a permis de vraiment s'attarder sur le déroulement, de prendre le temps, de faire découvrir la psychologie des personnages sans devoir en faire trop.
Dans « La ligne rouge », on est transporté en même temps que les personnages. Comme dans « Band of brother », on ressent l'éloignement des personnages avec leurs références. Ils sont loin de chez eux, isolés confrontés à quelque chose d'ahurissant. Ils sont « border line », ils cherchent à se raccrocher, à trouver un sens là où tout les repères s 'évanouissent. C'est comme dans un rêve, ou on a l'impression que quelque chose cloche, mais c'est le réel. Du coup les contrastes semblent dégager quelque chose d'essentiel. Le contraste entre la logique implacable de la guerre et l'absurde, entre l'imperturbabilité et la constance de la nature, et l'effondrement des repères et le désarroi des soldats. Comme un impératif de choisir son camp, être un soldat ou un Homme. Impératif de trouver rapidement le sens, mais également une opportunité de pouvoir peut-être le toucher.
Le film ne se veux pas forcément réaliste, car il offre un recul dans l'instant que ne devaient pas avoir forcément les soldats. Le temps est élastique, il y règne à la fois le calme et le sentiment de durée lié à la nature impassible, et le manque de temps pour réfléchir lié à l'impératif du combat. Il faut aller vite. Il faut trouver l'avantage rapidement sous peine de ne pouvoir justifier les morts. Mais la nature semble dire "tu as le temps, prend le temps de choisir".
Ce film est en haut de ma liste, notamment parce-qu'il parle de la guerre, cette guerre caractéristique du siècle passé où tous les codes des champs de batailles ont volé en éclat, où la guerre est devenue sans limite, irraisonnable, un monstre hors de contrôle, un gouffre vertigineux où l'Homme fût jeté. Mais également il montre qu'un repère ultime est là, impassible, ne cessant de donner. Et se donnant ultimement comme repère mais pas comme juge.
Dans « La ligne rouge », on est transporté en même temps que les personnages. Comme dans « Band of brother », on ressent l'éloignement des personnages avec leurs références. Ils sont loin de chez eux, isolés confrontés à quelque chose d'ahurissant. Ils sont « border line », ils cherchent à se raccrocher, à trouver un sens là où tout les repères s 'évanouissent. C'est comme dans un rêve, ou on a l'impression que quelque chose cloche, mais c'est le réel. Du coup les contrastes semblent dégager quelque chose d'essentiel. Le contraste entre la logique implacable de la guerre et l'absurde, entre l'imperturbabilité et la constance de la nature, et l'effondrement des repères et le désarroi des soldats. Comme un impératif de choisir son camp, être un soldat ou un Homme. Impératif de trouver rapidement le sens, mais également une opportunité de pouvoir peut-être le toucher.
Le film ne se veux pas forcément réaliste, car il offre un recul dans l'instant que ne devaient pas avoir forcément les soldats. Le temps est élastique, il y règne à la fois le calme et le sentiment de durée lié à la nature impassible, et le manque de temps pour réfléchir lié à l'impératif du combat. Il faut aller vite. Il faut trouver l'avantage rapidement sous peine de ne pouvoir justifier les morts. Mais la nature semble dire "tu as le temps, prend le temps de choisir".
Ce film est en haut de ma liste, notamment parce-qu'il parle de la guerre, cette guerre caractéristique du siècle passé où tous les codes des champs de batailles ont volé en éclat, où la guerre est devenue sans limite, irraisonnable, un monstre hors de contrôle, un gouffre vertigineux où l'Homme fût jeté. Mais également il montre qu'un repère ultime est là, impassible, ne cessant de donner. Et se donnant ultimement comme repère mais pas comme juge.
quid- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 04/08/2012
Re: La ligne rouge
Tout à fait, la nature est un personnage à part entière.
Contraste, décalage, temps élastique, c'est très bien résumé. Par contre, je serais bien moins optimiste que toi. Le choix est moins entre être un homme ou un soldat qu'entre conserver son humanité ou basculer définitivement vers l'animalité. Ceux qui survivent sont ceux qui arrivent à accepter cette cruauté animale mais aussi à en revenir.
Quant à la nature, je l'ai toujours vu du côté funeste du film. Pas un funeste inquiétant, mais un linceul éternel, tranquille. C'est le temps suspendu d'une forme d'éternité qui dépasse l'agitation puérile de ces troupes en guerre. D'où cette mélancolie qui sert de fil rouge à ce film. La mélancolie qui serait le regret de ne plus participer de cette éternité, de faire partie de l'agitation. Le risque, mais est-ce un risque à éviter, le film pose clairement la question, est de désirer suffisamment fortement rejoindre ce temps suspendu qu'on en oublierait de vivre.
L'appétence de sa propre conservation disparait pour rejoindre une nature éternelle. C'est d'un côté très panthéiste, mais à bien y regarder tout à fait anti-spinoza comme positionnement ontologique.
Contraste, décalage, temps élastique, c'est très bien résumé. Par contre, je serais bien moins optimiste que toi. Le choix est moins entre être un homme ou un soldat qu'entre conserver son humanité ou basculer définitivement vers l'animalité. Ceux qui survivent sont ceux qui arrivent à accepter cette cruauté animale mais aussi à en revenir.
Quant à la nature, je l'ai toujours vu du côté funeste du film. Pas un funeste inquiétant, mais un linceul éternel, tranquille. C'est le temps suspendu d'une forme d'éternité qui dépasse l'agitation puérile de ces troupes en guerre. D'où cette mélancolie qui sert de fil rouge à ce film. La mélancolie qui serait le regret de ne plus participer de cette éternité, de faire partie de l'agitation. Le risque, mais est-ce un risque à éviter, le film pose clairement la question, est de désirer suffisamment fortement rejoindre ce temps suspendu qu'on en oublierait de vivre.
L'appétence de sa propre conservation disparait pour rejoindre une nature éternelle. C'est d'un côté très panthéiste, mais à bien y regarder tout à fait anti-spinoza comme positionnement ontologique.
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Le Nord, c'est par là.
poussbois- Digressi(f/ve)
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Localisation : Petites Antilles
Date d'inscription : 18/07/2012
Re: La ligne rouge
Que nous raconte l'Iliade ? Six jours et une nuit de combats, la Dolonie, Chant X, énigmatique et sombre à souhait, de la guerre de Troie, la colère d'Achille, après l'affront d'Agamemnon, et surtout après la mort du cher et tendre cousin, Patrocle, plus les funérailles de celui-ci, et onze jours entre XXIII et XIV, où Achille promène le corps d'Hector derrière son char avant de le restituer. Achille, ivre de rage, de fureur, tuera des adversaires désarmés, à genoux, suppliants, etc.
L'Iliade nous chante sans tarder l'hybris. Ensuite notre poète envoie le Héros, en la personne d'Ulysse, franchement mieux équipé du coté de la ruse, de l'intelligence, c'est clairement dit, faire un petit tour dans la Mer du Couchant, mais en désespoir de cause, pour mettre un terme à l'hybris, derniers mots de l'Odyssée, il faudra encore faire appel au Dieu, rien de moins qu'Athéna pour qu'Ulysse cesse de trucider. Sans omettre la prophétie de Tirésias qui nous dit de la façon la plus explicite qui soit que notre homme est loin d'en avoir terminé.
P.S. Il faut que je revois " Ligne rouge ", manifestement !
L'Iliade nous chante sans tarder l'hybris. Ensuite notre poète envoie le Héros, en la personne d'Ulysse, franchement mieux équipé du coté de la ruse, de l'intelligence, c'est clairement dit, faire un petit tour dans la Mer du Couchant, mais en désespoir de cause, pour mettre un terme à l'hybris, derniers mots de l'Odyssée, il faudra encore faire appel au Dieu, rien de moins qu'Athéna pour qu'Ulysse cesse de trucider. Sans omettre la prophétie de Tirésias qui nous dit de la façon la plus explicite qui soit que notre homme est loin d'en avoir terminé.
P.S. Il faut que je revois " Ligne rouge ", manifestement !
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" Tout Étant produit par moi m'est donné (c'est son statut philosophique), a priori, et il est Mien (cogito, conscience de Soi, libéré du Poêle) ". " Savoir guérit, forge. Et détruit tout ce qui doit l'être ", ou, équivalents, " Tout l'Inadvertancier constitutif doit disparaître ", " Le progrès, c'est la liquidation du Sujet empirique, notoirement névrotique, par la connaissance ". " Il faut régresser et recommencer, en conscience ". Moi.
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neopilina- Digressi(f/ve)
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Re: La ligne rouge
J' ai beaucoup aimé Mildred Pierce minisérie d'époque produite par HBO qui a valu à Kate Winslet de nombreux prix, dont un Emmy et un ...
hks- Digressi(f/ve)
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Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: La ligne rouge
The Handmaid's Tale : La Servante écarlate (The Handmaid's Tale) est une série télévisée américaine créée par Bruce Miller diffusée depuis avril 2017 sur la plateforme de vidéo à la demande Hulu1,2 et au Canada sur Bravo! et CraveTV3. Elle est l'adaptation du roman La Servante écarlate écrit par Margaret Atwood en 1985.
pur chef d' oeuvre
pur chef d' oeuvre
hks- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 12509
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: La ligne rouge
« La Casa de Papel », c’est l’histoire d’un syndrome de Stockholm télévisuel. Celle de millions de spectateurs tombés amoureux de preneurs d’otages espagnols au masque de Salvador Dali. En quatre petits mois, cette série ibérique est devenue un véritable phénomène planétaire, au point de se hisser au premier rang des séries en langue non-anglaise les plus regardées sur Netflix, selon les résultats du premier trimestre publiés par la plateforme mardi. Mais comment est-elle devenue si populaire ?
http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/la-casa-de-papel-une-serie-espagnole-devenue-phenomene-planetaire-19-04-2018-7673568.php
Mais comment est-elle devenue si populaire ?
O BELLA CIAO, BELLA CIAO, BELLA CIAO, CIAO, CIAO!
http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/la-casa-de-papel-une-serie-espagnole-devenue-phenomene-planetaire-19-04-2018-7673568.php
Mais comment est-elle devenue si populaire ?
O BELLA CIAO, BELLA CIAO, BELLA CIAO, CIAO, CIAO!
hks- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 12509
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: La ligne rouge
hks a écrit:
O BELLA CIAO, BELLA CIAO, BELLA CIAO, CIAO, CIAO!
on arrête un peu avec ce genre de message svp .
Vanleers- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 4214
Date d'inscription : 15/01/2017
Re: La ligne rouge
Qu'est- ce qui ne vous plait pas dans mon message ? hein franchement. Je parle d'une série télévisée. Ce n'est pas interdit que je sache.
D'une série dont l'emblème est cette chanson italienne .
Où est le problème ?
Cette chanson vous déplaît ? A moins que vous ne la connaissiez pas.
Apparemment vous n'avez pas vu cette série.
Affaire de goûts et de couleurs, mais on est précisément dans un fil de goûts et de couleurs...et vous n'êtes pas obligé d' y poster.
..............................................................................
Maintenant quand vous, Vanleers, dites plusieurs fois de suite à axolotl qu' il fait dans le blabla ...une fois ça va ...mais pas plus.
D'une série dont l'emblème est cette chanson italienne .
Où est le problème ?
Cette chanson vous déplaît ? A moins que vous ne la connaissiez pas.
Apparemment vous n'avez pas vu cette série.
Affaire de goûts et de couleurs, mais on est précisément dans un fil de goûts et de couleurs...et vous n'êtes pas obligé d' y poster.
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Maintenant quand vous, Vanleers, dites plusieurs fois de suite à axolotl qu' il fait dans le blabla ...une fois ça va ...mais pas plus.
Dernière édition par hks le Mer 25 Juil 2018 - 19:11, édité 2 fois (Raison : is on est dans une fil de gout et de couoeurs)
hks- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 12509
Localisation : Hauts de Seine
Date d'inscription : 04/10/2007
Re: La ligne rouge
Pourquoi s' en prendre à la musique bretonne ?
https://www.youtube.com/watch?v=cU1zguUfy0A
https://www.youtube.com/watch?v=cU1zguUfy0A
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TIMSHEL
kercoz- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 01/07/2014
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