Re: Apologie de Michel Onfray

[Dewey]

Je disais cela parce qu'il est allemand. Je suis aussi un peu perdu quand je lis Habermas.

[victor.digiorgi]

Grasset s'est fait beaucoup de fric avec Béachèle aussi. 

Et je me suis laissé dire qu'il y a des tas de gagneuses, à la Porte Champerret, qui michetonnent sur les Maréchaux et rapportent un tas de pognon à leurs maquereaux.

Comment tu le sais, t'es client ?

(t'achètes jamais de livres ?)

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 Et toi, tu as quelque chose contre les prostituées ? Et si mon corps hyper-raisonnable me disait qu'il faut aller se tirer une pute ? 
Mais pourquoi tu défends des propos qui ne visent qu'à compter le pognon qu'on fait, qu'à relever les compteurs ? 

Faudrait se recentrer, à mon avis, sur des questions philosophiques, qui se distinguent pour moi de celle des vendeurs. 
Celles-ci exigent qu'on prenne un peu de place (ne me dis pas que tu fais dans la brachylogie comme Nietzche, steuplè) et qu'on aborde "la chose même". 

Sur le détail biographique passionnant : non je n'achète plus trop, je suis dans une période de non-pognon, j'ai une bonne bibliothèque municipale animée par des petits fonctionnaires marxistes qui mettent en rayon des choses qui ne font pas d'argent. 
J'ai lu deux Ricoeur et un bouquin (pas bon) sur Weber, pour les dernières lectures. Et aussi le livre de Kristeva sur Arendt, qui est très bien (1) 
Tout ça pour 14 euros annuels. 
J'attaque un bouquin sur Benjamin (philosophe très important pour moi ) qui commence pas terrible non plus. 

(1) Faudrait le faire lire à Euterpe : il y a des choses fort intéressantes, et qui vont au-delà de la question de la coucherie et des problèmes de fion qui constituent son unique bagage intellectuel sur cette affaire. La bite de Heidegger nous passionne tous, naturellement, mais il n'avait pas qu'une bite, Heidegger.

Ô majesté, veuillez excuser le manant qui eu en ma personne l'heur de ne point ponctuer son adresse à votre grandeur des plus respectueux guignolos informatiques

   

Voilà qui est fait en étant par ailleurs doublé du plus vif souhait d'amitié et prospérité mutuelles, comme disait un vieux Japonais de mes amis ...

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[victor.digiorgi]

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Moi, je crois que si Courtial n'existait pas ni ceux qui le rejoignent totalement, eh ben la terre s'arrêterait net de tourner et l'univers entier serait définitivement fous tuent !

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[Dewey]

Et si tu n'existais pas le français aurait peut être une chance de survie.

[victor.digiorgi]

Mais pourquoi tu défends des propos qui ne visent qu'à compter le pognon qu'on fait, qu'à relever les compteurs ?

Mais pourquoi t'évertues-tu chapeau pointu à poser des questions d'une telle connerie ?

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[victor.digiorgi]

Et si tu n'existais pas le français aurait peut être une chance de survie.

Une virgule après « pas » et un trait d'union entre « peut » et « être », ça te permettrait d'être plus crédible ...

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[Philosophos]

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Moi, je crois que si Courtial n'existait pas ni ceux qui le rejoignent totalement, eh ben la terre s'arrêterait net de tourner et l'univers entier serait définitivement fous tuent !

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Il attire la lumière, c'est une star, comme Onfray ! Non, sérieusement, Courtial a une propension étonnante à la victimisation. J'ai eu l'occasion de repérer maintes fois son manège. Un cinéma à lui tout seul. Décrivons ce qu'il a fait ici pour qu'on ne parle plus d'Onfray mais de lui. D'abord, il pourrit Onfray, ensuite, naturellement, on vient défendre Onfray, mais nous sommes des cons puisque nous défendons un philosophe nul, à ce moment-là, il se retourne contre nous et se fait le défenseur d'Onfray, et c'est nous qui ne comprenons rien à Onfray.

Bref, l'important c'est que Courtial soit toujours le plus intelligent. Ce type est tellement imbu de sa personne qu'il est impossible d'avoir une conversation sérieuse avec lui. Comme ses arguments sont d'une platitude affligeante (j'ai rarement vu plus facile à réfuter), il use de l'insulte, de l'attaque personnelle, de mots vulgaires pour intimider, comme le ferait un flic. Et ça se veut philosophe. C'est triste. Encore un exemple de ce qu'une faiblesse de caractère empêche l'esprit de s'épanouir.

[Dewey]

Pour le tiret en effet, la virgule n'est pas une règle obligatoire dans ce cas.

[Philosophos]

Pour le tiret en effet, la virgule n'est pas une règle obligatoire dans ce cas.

Euterpe te manque ! Un tiret rouge aurait été du plus bel effet au milieu de ta prose, fort médiocre au demeurant.

 

[Dewey]

Et au niveau de la crédibilité, quand je lis votre dévotion aveugle de maintenant envers Onfray, et ce que vous disiez avant et que je remets une fois de plus ici :

"Onfray n'est qu'un petit polémiste tout juste bon à amuser la galerie dans des talks-shows stupides du genre de On n'est pas couché sur France 2. La mode actuelle étant au petit plaisir, à la jouissance paisible de petit bourgeois (sans conséquences sur la santé), Onfray a repris (avec habileté, je le concède) des citations de toutes sortes chez les philosophes du passé, plus ou moins célèbres, qu'il a amalgamées autour de cette pensée du moment. Pour se donner du poids, il s'est imaginé (et présenté) luttant contre une sorte d'establishement, qui n'existe que dans sa tête (le personnage est un peu paranoïaque et très égocentré). Le côté anarchiste lui va donc comme un gant. Bien sûr, il revêt aussi à l'occasion l'habit de la gauche bien-pensante, distribuant des points de morale de-ci de-là. Enfin, la science lui apparaît comme la garante de la philosophie. C'est frappant dans sa critique de Freud, où il prône une psychanalyse scientifique, parce que Freud aurait été trop subjectif. Venant d'un thuriféraire de Nietzsche, on se prend à rêver (en plus de toutes ses autres inconséquences dans sa lecture de Nietzsche)."

Je me demande si l'on peut prendre une telle girouette au sérieux.

[Philosophos]

Sauf que je n'avais pas encore écouté Onfray, je me fiais à des petits cons comme toi, des petites merdes qui croient savoir quelque chose alors qu'elles sont juste bonnes à répéter comme des moutons les critiques élitistes d'un Courtial. Mais un reportage d'Envoyé spécial m'a montré qui était Onfray, je me suis alors dit qu'un homme d'une telle qualité morale ne pouvait pas être un mauvais philosophe. Depuis, j'écoute chaque jour une de ses conférences, et je ne manque aucune de ses interventions dans les média, télé, radio, internet. Il me resterait une tâche à accomplir : détruire ces cons. Mais c'est un vaste programme, comme disait De Gaulle !

[Dewey]

Ah donc tu émets une opinion que tu espères argumentée sans avoir pris la peine de l'écouter ? Qu'est ce qu'Onfray dirait alors ? Lui-même déclare qu'il faut se forger sa propre réflexion sans tenir compte de ce que les autres disent...
Comment est-ce possible ?

PS : quand on a un blog d'une telle nullité on ne se moque pas de la prose des autres, on perd en crédibilité.

[Philosophos]

Fallait pas le lire, crétin ! Je me demande pourquoi tu viens sur ce fil et sur mon blog, si je suis si nul, et si Onfray est si nul ?

Pour les idées et le style, je confirme, tu es une sous-merde. Je ne sais pas qui tu es sur Forumdephilosophie, mais ça doit être gratiné.

[victor.digiorgi]

Je suis parvenu à me fournir il y a deux-trois ans mon dernier volume de l'oeuvre complète Gallimard, qui contient 18 volumes, dont aucun n'est en desous des 400 pages. 
Plus de 7000 pages, si je compte bien

Moi, ton œuvre complète de Nietzsche par Gallimard, ça fait 25 ans que je l'ai dans ma bibliothèque, mais c'est juste pour impressionner mes amis et la galerie, car jeusse uize illétrê.

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[Courtial]

Et au niveau de la crédibilité, quand je lis votre dévotion aveugle de maintenant envers Onfray, et ce que vous disiez avant et que je remets une fois de plus ici :

"Onfray n'est qu'un petit polémiste tout juste bon à amuser la galerie dans des talks-shows stupides du genre de On n'est pas couché sur France 2. La mode actuelle étant au petit plaisir, à la jouissance paisible de petit bourgeois (sans conséquences sur la santé), Onfray a repris (avec habileté, je le concède) des citations de toutes sortes chez les philosophes du passé, plus ou moins célèbres, qu'il a amalgamées autour de cette pensée du moment. Pour se donner du poids, il s'est imaginé (et présenté) luttant contre une sorte d'establishement, qui n'existe que dans sa tête (le personnage est un peu paranoïaque et très égocentré). Le côté anarchiste lui va donc comme un gant. Bien sûr, il revêt aussi à l'occasion l'habit de la gauche bien-pensante, distribuant des points de morale de-ci de-là. Enfin, la science lui apparaît comme la garante de la philosophie. C'est frappant dans sa critique de Freud, où il prône une psychanalyse scientifique, parce que Freud aurait été trop subjectif. Venant d'un thuriféraire de Nietzsche, on se prend à rêver (en plus de toutes ses autres inconséquences dans sa lecture de Nietzsche)."

Je me demande si l'on peut prendre une telle girouette au sérieux.

Bon texte, résumant bien l'essentiel. 
Il est de vous ? Ou alors qui en est l'auteur ?

[Dewey]

De philosophos quand il était Liber et intelligent.

[victor.digiorgi]

Pour le tiret en effet, la virgule n'est pas une règle obligatoire dans ce cas.

Et en plus tu affirmes que pour écrire, il faut ignorer la musique ...

(Écoute comme ça aurait été con, à l'oreille, si j'avais omis la virgule d'apposition)

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[Dewey]

Je comprends philosophos que tu sois énervé. Quand on n'a pas de répartie on est forcément amoindri. Pour essayer de ne pas être totalement défait tu insultes et vocifères mais ce n'est pas grave cela va passer. perdre son amour-propre n'est pas fatal, c'est juste dégradant.

[Philosophos]

Je suis parvenu à me fournir il y a deux-trois ans mon dernier volume de l'oeuvre complète Gallimard, qui contient 18 volumes, dont aucun n'est en desous des 400 pages. 
Plus de 7000 pages, si je compte bien

Moi, ton œuvre complète de Nietzsche par Gallimard, ça fait 25 ans que je l'ai dans ma bibliothèque, mais c'est juste pour impressionner mes amis et la galerie, car jeusse uize illétrê.

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Oui, je suis étonné qu'il ait attendu d'avoir 50 balais pour acquérir le dernier tome de cette collection, lui le prof de philo auteur de manuels scolaires. Et ça prétend enseigner pour le bac !

Cette collection n'est plus grosse que les volumes publiés par Nietzsche que parce qu'elle inclut les fragments posthumes classés par ordre chronologique, donc grosso modo par livre publié par Nietzsche, plus des notes. Il n'y a rien de plus que dans les autres éditions. Mais Courtial l'a tellement peu lue, cette édition, qu'il ne sait même pas ce qui s'y trouve.

[victor.digiorgi]

Oui, je suis étonné qu'il ait attendu d'avoir 50 balais pour acquérir le dernier tome de cette collection, lui le prof de philo auteur de manuels scolaires. Et ça prétend enseigner pour le bac !

Cette collection n'est plus grosse que les volumes publiés par Nietzsche que parce qu'elle inclut les fragments posthumes classés par ordre chronologique, donc grosso modo par livre publié par Nietzsche, plus des notes. Il n'y a rien de plus que dans les autres éditions. Mais Courtial l'a tellement peu lu, cette édition, qu'il ne sait même pas ce qui s'y trouve.

C'est d'ailleurs pour ça qu'il pose à ce con de Victor la question de savoir d'où celui-ci sort comme un con que Nietzsche avait VU l'éternel retour du même.

Notre professeur, lui, il ne l'avait pas vu, tellement il lit de bêl chôses.

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[Philosophos]

Justement, ça montre qu'il lit plus les commentateurs de Nietzsche que Nietzsche lui-même !

[victor.digiorgi]

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Je le comprends !

J'ai aussi dans ma bilbiothèque à peut près 200 livres de commentateurs de Nietzsche, mais je ne vais tout de même pas les lire, en plus ...


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[Philosophos]

Sur les à-côtés de Nietzsche, j'ai lu Charles Andler (biographe et commentateur, surtout de la période Humain trop humain-Aurore), Podach (sur la folie de Nietzsche), les biographes Janz, Halévy, les lettres à Malwida, celles à Lou et Rée, les notes approfondies de Marc Sautet dans ses éditions du Livre de Poche, le petit livre burlesque Nietzsche et le démon de midi, qui imagine Nietzsche victime d'une Lou transformée en Lolita. Voilà, c'est à peu près tout, et c'est déjà pas mal. Pour le reste, je trouve que Nietzsche se suffit à lui-même. J'ai fait exprès de privilégier des commentateurs du XIXe et début XXe. Les Wotling et compagnie, dehors !

Comme Diogène, il veut des chimères nues, des idées libres, de la rage crue. Ce fort festin qui fait son ordinaire, Michel Onfray le sert tous les lundis soir, au Centre dramatique national (CDN) de Normandie, de 18 à 20 heures, à mille convives affamés. L'Université populaire (UP) de Caen, c'était une utopie, un rêve gratuit et beau, caressé par une poignée de fous. Accès libre, professeurs bénévoles, pas d'examens, pas de présence obligatoire, pas de diplômes. La quintessence de la liberté. Huit ans plus tard, la foule s'y presse, de plus en plus nombreuse. De drôles d'étudiants, souvent chenus, avides de ces nourritures terrestres qui leur apprennent la ferveur.

Thierry Lecoquierre, 50 ans, se rappelle encore ce jour d'été où il a arrêté sa voiture sur le bord de la route, pour mieux écouter. Sur France Culture, un professeur de philosophie lui parlait du mythe de Jésus. Après cette retransmission, le médecin a cogité pendant dix jours. C'était il y a six ans. Depuis, il a changé plusieurs fois ses gardes, ses consultations, ses vacances, pour ne pas manquer une seule des conférences d'Onfray à Caen. Il l'a suivi dans tous ses lieux, au Musée des beaux-arts, bientôt trop petit, puis à la fac, et maintenant dans la grande salle du théâtre d'Hérouville-Saint-Clair. "Je n'en ai raté qu'une, quand je me suis fait opérer !"

Ce serait inquiétant, si le docteur Lecoquierre ne gardait sa réserve : "Je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'il dit. Il m'énerve à la télé. Ses billets d'humeur, je ne les lis pas." Mais, le lundi en fin d'après-midi, le médecin et une dizaine d'adeptes du covoiturage quittent Le Havre, en deux ou trois véhicules, pour rallier la proche banlieue de Caen, à quelque 50 km. "J'aime cette excitation intellectuelle. Ses cours me font réfléchir sur ma pratique médicale. Sur ma vie privée", explique-t-il. Montaigne, Spinoza, Nietzsche, à chaque fois une "bombe" dans sa vie.

Dans cette troupe havraise, un ingénieur, un météorologue, un professeur de théâtre, parfois "un copain plombier qui ne lit que des revues techniques d'automobile" et à qui les cours avaient "beaucoup plu". Ces fidèles de l'UP et de la "contre-histoire de la philosophie" qui s'y écrit échangent des e-mails, des lectures, des dîners. Seule la psychanalyste du groupe a décliné l'invitation pour cette année... Freud est au programme, et "elle ne voulait pas que l'on touche à son idole", ironise gentiment Thierry Lecoquierre. Car Michel Onfray, qui se revendique hédoniste, nietzschéen de gauche, libertaire, athée, s'est aussi taillé une réputation en décapitant les statues. Précisément celle de Sigmund Freud, qu'il démolit avec vigueur chaque semaine depuis novembre 2009 et jusqu'en mai 2010.

La suite ici : http://danactu-resistance.over-blog.com/article-michel-onfray-incroyable-succes-de-son-universite-populaire-45446047.html

[neopilina]

Un bon Maître enseigne à brouter les lauriers du Maître ( Nietzsche aurait du choisir une autre plante, la feuille de laurier ne se consomme pas elle est toxique.).
Nous avons 16 invités, j'espère qu'ils ne sont pas tous a-mateurs de crêpage de chignons !

[victor.digiorgi]

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Ceux qui ressortent, dans mon lot, ce sont ceux-là :

Nietzshce est la probité, de Louis Godbout (tu vas rire, c'est aux éditions Liber, de Montréal).

What Nietzsche REALLY said, de Robert Solomon et Kathleen Higgins.

Nietzsche, un continent perdu, de Bernard Edleman,

et surtout

Nietzsche contre Heidegger, de François Laruelle.

Mais demain, j'aurai changé d'avis et d'autres commentaires auront ma préférence.

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[Philosophos]

Un bon Maître enseigne à brouter les lauriers du Maître ( Nietzsche aurait du choisir une autre plante, la feuille de laurier ne se consomme pas elle est toxique.).

Du laurier-rose, parce que sinon, j'ai du souci à me faire après tous les bouquets garnis que j'ai utilisés.

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Ceux qui ressortent, dans mon lot, ce sont ceux-là :

Nietzshce est la probité, de Louis Godbout (tu vas rire, c'est aux éditions Liber, de Montréal).

What Nietzsche REALLY said, de Robert Solomon et Kathleen Higgins.

Nietzsche, un continent perdu, de Bernard Edleman,

et surtout

Nietzsche contre Heidegger, de François Laruelle.

Mais demain, j'aurai changé d'avis et d'autres commentaires auront ma préférence.

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On est productif sur Nietzsche, de l'autre côté de l'Atlantique ! Je ne connais pas ces écrivains.

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