"Métastructure"
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"Métastructure"
L'espace créé par le mouvement devient par lui même une "zone transcendantale"( il faut que je trouve autre chose, mais c'est je crois le plus proche de l'idée). L'être n'est soumis a rien qu'un but dont il ne peut finalement pas maîtriser la destiné.
Si je prends l'exemple d'un voyage en train qui est le plus parlant je crois:
Le sommeil prend furtivement le wagon. Le silence est pensant. Il y règne une atmosphère étrange. Les gens sont enfermés dans leur volonté. Comme entre deux mouvements, comme dans un mouvement transitoire. Défaitiste et victorieux ils doutent. Le mouvement transitoire laisse place chez eux à un semblant d'ennui. Il s'occupe un peu. On dort, on lit, on fait semblant, certains esquisses la réflexion, la pensée. Le trait est caractéristique. On regarde au loin, au bout de cette temporalité. Les regards changent. Heureux, malheureux, indifférent tout ces sentiments se mêlent. On décrète la vitesse comme un consensus. Que cette transition soit courte, que je sorte vite de l'ennui. Si elle venait à durer, il faudrait s'établir. La réalité en viendrait à être rompu dans un mouvement type de perception.
Bon bref j'abrége le mouvement arrêté, interviens une zone de réflexion hors des structures. Puisqu'en mouvement, mais pas à l'arrêt. Les schémas changent et influent indirectement sur la structure. En sommes l'espace créé permet une forme de "transcendance atemporelle" (mais ça n'est pas vraiment le terme).
Je clarifierai plus tard, c'est brouillon et trop simpliste.
Si je prends l'exemple d'un voyage en train qui est le plus parlant je crois:
Le sommeil prend furtivement le wagon. Le silence est pensant. Il y règne une atmosphère étrange. Les gens sont enfermés dans leur volonté. Comme entre deux mouvements, comme dans un mouvement transitoire. Défaitiste et victorieux ils doutent. Le mouvement transitoire laisse place chez eux à un semblant d'ennui. Il s'occupe un peu. On dort, on lit, on fait semblant, certains esquisses la réflexion, la pensée. Le trait est caractéristique. On regarde au loin, au bout de cette temporalité. Les regards changent. Heureux, malheureux, indifférent tout ces sentiments se mêlent. On décrète la vitesse comme un consensus. Que cette transition soit courte, que je sorte vite de l'ennui. Si elle venait à durer, il faudrait s'établir. La réalité en viendrait à être rompu dans un mouvement type de perception.
Bon bref j'abrége le mouvement arrêté, interviens une zone de réflexion hors des structures. Puisqu'en mouvement, mais pas à l'arrêt. Les schémas changent et influent indirectement sur la structure. En sommes l'espace créé permet une forme de "transcendance atemporelle" (mais ça n'est pas vraiment le terme).
Je clarifierai plus tard, c'est brouillon et trop simpliste.
lekhan- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 125
Date d'inscription : 01/09/2007
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