CLIMAT
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CLIMAT
par Saint-Ex Sam 22 Juil 2023 - 15:53
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La question, c'est que chacun exprime sa volonté de «vertu climatique», mais que personne ne s'attaque au vrai problème, qui est celui de la complexité phénoménale du choix entre la récession et le développement ...
Exemple : on fait tout pour que les automobiles consomme moins de carburant fossile, mais parallèlement on fait tout pour que le nombre d'automobiles en circulation éclate tous les plafonds.
Autre exemple : on fait tout pour développer l'automobile électrique, mais on fait tout aussi pour que l'électricité soit produite presque partout dans le monde au moyen de carburant fossile, comme le gas-oil et le charbon.
Le nucléaire, qui est la meilleure source de production écologiste d'électricité, est boudée par qui, par les écologistes !
Et il y a la question des pays pauvres, qui n'ont par définition pas les moyens de se payer autre chose que la production d'énergie par combustion du bois.
Il y a par dessus tout ça un déterminisme des oppositions entre les pays qui ne peuvent pas se sentir, (des pays en guerre comme l'Ukraine et la Russie, il y en sans arrêt depuis longtemps dans le monde. Pour ces pays, l'écologie est le moindre de leur soucis)
Mais je suis d'accord, il faut travailler avec pour objectif de faire entendre raison aux plus récalcitrants. C'est toujours mieux que rien ...
Par ailleurs.
La simultanéité des causes naturelles et anthropiques se constate avec l'élévation du niveau des océans.
La cause anthropique se comprend par l'élévation des températures provoquée par la production humaine de gaz à effet de serre, élévation de température qui se transmet aux océans, qui sont ainsi conduits à se dilater et donc à augmenter de volume et donc en hauteur. La cause anthropique se comprend aussi par la même élévation de température provoquée par la même production humaine de gaz à effet de serre, élévation de température qui se transmet aussi aux glaciers occupant la partie émergée de la croute terrestre, c'est-à-dire les glaciers de l'Antarctique et du Groenland, en gros. La fonte de ces glaciers provoque leur écoulement dans les océans et contribue donc à l'élévation desdits océans. Mais, et c'est intéressant, cette écoulement provoque un autre phénomène, de nature imperceptible mais réel, à savoir l'élévation des terres sur lesquelles ne s'appuie plus le poids des glaciers, parallèlement à un enfoncement des fonds marins sur lesquels s'appuie le poids de l'eau des glaciers ayant fondu.
Ce phénomène est le même que celui du principe d'Archimède, avec une différence d'importance en ce sens que la magma sur lequel «flotte» les plaques tectoniques se caractérise par une viscosité qui n'a rien à voir avec l'eau du principe d'Archimède. Il est probable que personne ne sera capable de mesurer de si tôt les variations en hauteur du niveau des océans et du fonds des mêmes océan. La viscosité du magma va retarder de quelques milliers d'années le phénomène.
Ce qui nous amène à la cause naturelle de cette variation de la hauteur des océans.
Ce qui est valable pour l'Antarctique et le Groenland est valable aussi pour les alternances des ères glaciaires et interglaciaires, dont les périodes se mesurent en temps géologiques et avec le même phénomène de viscosité du magma provoquant d'important retards de variation de hauteur des terres émergées et des fonds marins. La variation de hauteur des terres débarrassée depuis des milliers d'années du poids des gigantesques glaciers qui les occupaient associée à l'enfoncement des fonds marins provoqué par poids de l'eau écoulée de ces glaciers se poursuit aujourd'hui et elle est parfaitement mesurable. Les terres voisines de la baie d'Hudson s'élève d'à peu près 10 millimètres par an. Celles de la côte Est des États-Unis et du Canada s'enfoncent d'à peu près 1 ou 2 millimètres par an. (Nous avons de la chance, les terres du Québec Sud reste stationnaires. C'est là qu'on trouve le pivot de la sorte de balançoire continentale dont on constate aujourd'hui l'existence.) Notons que l'augmentation de la hauteur des côtes de la Baie d'Hudson n'intéresse pas grand monde. Ça s'explique, puisque pas grand monde n'y habite et que celle élévation n'a pas pour conséquence les catastrophes des tempêtes côtières que l'on connaît ailleurs, notamment sur la côte Est de l'Amérique du Nord, où la géographie est naturellement - et anthropiquement - modifiée par des tempêtes aujourd'hui destructrice de maisons bâties trop près de l'Atlantique ...
Pour finir ce raisonnement, notons que si l'humain commet l'erreur d'augmenter le volume des gaz a effet avec les conséquences malheureuses dont on constate les effets, il commet aussi ce qu'on pourrait qualifier d'erreur si la chose n'était pas inscrite au plus profond de sa nature, de son comportement, de sa génétique, à savoir le déterminisme d'une démographie galopante associé à l'appropriation des lieux pratiquement nécessaire à sa vie, mais qui vont sans doute s'avérer des plus dangereux pour lui, pauvre être si faible face à la nature qu'il esquinte en toute ingénuité ...
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La question, c'est que chacun exprime sa volonté de «vertu climatique», mais que personne ne s'attaque au vrai problème, qui est celui de la complexité phénoménale du choix entre la récession et le développement ...
Exemple : on fait tout pour que les automobiles consomme moins de carburant fossile, mais parallèlement on fait tout pour que le nombre d'automobiles en circulation éclate tous les plafonds.
Autre exemple : on fait tout pour développer l'automobile électrique, mais on fait tout aussi pour que l'électricité soit produite presque partout dans le monde au moyen de carburant fossile, comme le gas-oil et le charbon.
Le nucléaire, qui est la meilleure source de production écologiste d'électricité, est boudée par qui, par les écologistes !
Et il y a la question des pays pauvres, qui n'ont par définition pas les moyens de se payer autre chose que la production d'énergie par combustion du bois.
Il y a par dessus tout ça un déterminisme des oppositions entre les pays qui ne peuvent pas se sentir, (des pays en guerre comme l'Ukraine et la Russie, il y en sans arrêt depuis longtemps dans le monde. Pour ces pays, l'écologie est le moindre de leur soucis)
Mais je suis d'accord, il faut travailler avec pour objectif de faire entendre raison aux plus récalcitrants. C'est toujours mieux que rien ...
Par ailleurs.
La simultanéité des causes naturelles et anthropiques se constate avec l'élévation du niveau des océans.
La cause anthropique se comprend par l'élévation des températures provoquée par la production humaine de gaz à effet de serre, élévation de température qui se transmet aux océans, qui sont ainsi conduits à se dilater et donc à augmenter de volume et donc en hauteur. La cause anthropique se comprend aussi par la même élévation de température provoquée par la même production humaine de gaz à effet de serre, élévation de température qui se transmet aussi aux glaciers occupant la partie émergée de la croute terrestre, c'est-à-dire les glaciers de l'Antarctique et du Groenland, en gros. La fonte de ces glaciers provoque leur écoulement dans les océans et contribue donc à l'élévation desdits océans. Mais, et c'est intéressant, cette écoulement provoque un autre phénomène, de nature imperceptible mais réel, à savoir l'élévation des terres sur lesquelles ne s'appuie plus le poids des glaciers, parallèlement à un enfoncement des fonds marins sur lesquels s'appuie le poids de l'eau des glaciers ayant fondu.
Ce phénomène est le même que celui du principe d'Archimède, avec une différence d'importance en ce sens que la magma sur lequel «flotte» les plaques tectoniques se caractérise par une viscosité qui n'a rien à voir avec l'eau du principe d'Archimède. Il est probable que personne ne sera capable de mesurer de si tôt les variations en hauteur du niveau des océans et du fonds des mêmes océan. La viscosité du magma va retarder de quelques milliers d'années le phénomène.
Ce qui nous amène à la cause naturelle de cette variation de la hauteur des océans.
Ce qui est valable pour l'Antarctique et le Groenland est valable aussi pour les alternances des ères glaciaires et interglaciaires, dont les périodes se mesurent en temps géologiques et avec le même phénomène de viscosité du magma provoquant d'important retards de variation de hauteur des terres émergées et des fonds marins. La variation de hauteur des terres débarrassée depuis des milliers d'années du poids des gigantesques glaciers qui les occupaient associée à l'enfoncement des fonds marins provoqué par poids de l'eau écoulée de ces glaciers se poursuit aujourd'hui et elle est parfaitement mesurable. Les terres voisines de la baie d'Hudson s'élève d'à peu près 10 millimètres par an. Celles de la côte Est des États-Unis et du Canada s'enfoncent d'à peu près 1 ou 2 millimètres par an. (Nous avons de la chance, les terres du Québec Sud reste stationnaires. C'est là qu'on trouve le pivot de la sorte de balançoire continentale dont on constate aujourd'hui l'existence.) Notons que l'augmentation de la hauteur des côtes de la Baie d'Hudson n'intéresse pas grand monde. Ça s'explique, puisque pas grand monde n'y habite et que celle élévation n'a pas pour conséquence les catastrophes des tempêtes côtières que l'on connaît ailleurs, notamment sur la côte Est de l'Amérique du Nord, où la géographie est naturellement - et anthropiquement - modifiée par des tempêtes aujourd'hui destructrice de maisons bâties trop près de l'Atlantique ...
Pour finir ce raisonnement, notons que si l'humain commet l'erreur d'augmenter le volume des gaz a effet avec les conséquences malheureuses dont on constate les effets, il commet aussi ce qu'on pourrait qualifier d'erreur si la chose n'était pas inscrite au plus profond de sa nature, de son comportement, de sa génétique, à savoir le déterminisme d'une démographie galopante associé à l'appropriation des lieux pratiquement nécessaire à sa vie, mais qui vont sans doute s'avérer des plus dangereux pour lui, pauvre être si faible face à la nature qu'il esquinte en toute ingénuité ...
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Jeu 27 Juil 2023 - 16:44
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Il y a certes actuellement des causes humaines, des causes anthropiques aux changements climatiques. Le GIEC s'exprime sur la question en tenant compte de l'avis de milliers et de milliers de scientifiques spécialistes du climat pour alerter le monde à ce propos. Mais il y existe aussi des causes tout ce qu'il y a de plus naturelles à ce changement.
Dans le cas de l'«Outer Bank» de la Caroline du Nord, où la destruction des maisons s'accélère, il existe une raison naturelle aux changement climatiques qui n'est pas assez mise en lumière et c'est la suivante :
Il existe dans la région côtière et marine de la Caroline du Nord une gigantesque masse de sable couvrant le fond marin sur des centaines de kilomètres carrés et sur laquelle s'exerce depuis la nuit des temps les effets de gigantesque tourbillons causés par le carambolage de deux courants marins. L'un, froid, descendant du Groienland et du Nord du Canada, l'autre, chaud, remontant de l'équateur et des Caraïbes.
La côte et le fond marin de cette région sont en perpétuelles déformations, re-formations, destruction, reconstitution de ce gigantesque amas de sable. L'histoire de plusieurs siècles du naufrage des bateaux longeant les côtes de la Caroline du Nord confirme cette perpétuelle action de la nature, car aucune carte des fonds océaniques n'a pu résister au temps et à la mobilité de la géométrie maritime, à cet endroit du monde, où les hauts fonds se sont formés par surprise et ont provoqué pendant des siècles l'échouage et le naufrage des bateaux par la même destruction qu'on voit avec les maisons actuelles.
L'Outer Bank de Caroline du Nord est une bande de sable émergée qui a été formée à cause de ce phénomène bien avant l'arrivée des premiers colons européens, qui ont cru à l'existence définitive d'un sol où pouvait s'installer une ville entière.
Les maisons de cette ville qui s'écroulent en mer ne sont que la conséquence de variation perpétuelle de la masse de sable de cet endroit sous les effets du carambolage entre le courant froid du nord et le courant chaud du sud.
C'est donc surtout la nature et pas uniquement l'homme qui provoque l'écroulement catastrophique des maisons que l'on constate aujourd'hui dans la région côtière de la Caroline du Nord.
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Il y a certes actuellement des causes humaines, des causes anthropiques aux changements climatiques. Le GIEC s'exprime sur la question en tenant compte de l'avis de milliers et de milliers de scientifiques spécialistes du climat pour alerter le monde à ce propos. Mais il y existe aussi des causes tout ce qu'il y a de plus naturelles à ce changement.
Dans le cas de l'«Outer Bank» de la Caroline du Nord, où la destruction des maisons s'accélère, il existe une raison naturelle aux changement climatiques qui n'est pas assez mise en lumière et c'est la suivante :
Il existe dans la région côtière et marine de la Caroline du Nord une gigantesque masse de sable couvrant le fond marin sur des centaines de kilomètres carrés et sur laquelle s'exerce depuis la nuit des temps les effets de gigantesque tourbillons causés par le carambolage de deux courants marins. L'un, froid, descendant du Groienland et du Nord du Canada, l'autre, chaud, remontant de l'équateur et des Caraïbes.
La côte et le fond marin de cette région sont en perpétuelles déformations, re-formations, destruction, reconstitution de ce gigantesque amas de sable. L'histoire de plusieurs siècles du naufrage des bateaux longeant les côtes de la Caroline du Nord confirme cette perpétuelle action de la nature, car aucune carte des fonds océaniques n'a pu résister au temps et à la mobilité de la géométrie maritime, à cet endroit du monde, où les hauts fonds se sont formés par surprise et ont provoqué pendant des siècles l'échouage et le naufrage des bateaux par la même destruction qu'on voit avec les maisons actuelles.
L'Outer Bank de Caroline du Nord est une bande de sable émergée qui a été formée à cause de ce phénomène bien avant l'arrivée des premiers colons européens, qui ont cru à l'existence définitive d'un sol où pouvait s'installer une ville entière.
Les maisons de cette ville qui s'écroulent en mer ne sont que la conséquence de variation perpétuelle de la masse de sable de cet endroit sous les effets du carambolage entre le courant froid du nord et le courant chaud du sud.
C'est donc surtout la nature et pas uniquement l'homme qui provoque l'écroulement catastrophique des maisons que l'on constate aujourd'hui dans la région côtière de la Caroline du Nord.
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Re: CLIMAT
par joseph1 Ven 28 Juil 2023 - 8:14
@ Saint ex.
Vous dites :
" Le nucléaire, qui est la meilleure source de production écologiste d'électricité, est boudée par qui, par les écologistes "
En effet. Pour mettre en œuvre une politique écologique il suffit de faire le contraire de ce que préconisent les écolos. Cela vaut pour le nucléaire, il nous faut des centrales contrairement aux vœux des écolos, mais il en est de même pour les barrages dont les projets de construction ont, il y a une cinquantaine d'années, été bloqués par ces mêmes écolos.
Vous dites :
" Le nucléaire, qui est la meilleure source de production écologiste d'électricité, est boudée par qui, par les écologistes "
En effet. Pour mettre en œuvre une politique écologique il suffit de faire le contraire de ce que préconisent les écolos. Cela vaut pour le nucléaire, il nous faut des centrales contrairement aux vœux des écolos, mais il en est de même pour les barrages dont les projets de construction ont, il y a une cinquantaine d'années, été bloqués par ces mêmes écolos.
joseph1- Digressi(f/ve)
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Lun 21 Aoû 2023 - 16:11
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La technique a produit les changements climatiques que nous constatons aujourd'hui sous la forme d'un réchauffement du climat partout dans le monde à cause de l'augmentation de l'effet de serre produit par le CO2 rejeté dans l'atmosphère par cette technique.
Aujourd'hui, cette même technique propose un espoir >>> pallier à ses errements passés grâce à une machine promettant de débarrasser l'atmosphère de l'excès de CO2 actuel.
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La technique a produit les changements climatiques que nous constatons aujourd'hui sous la forme d'un réchauffement du climat partout dans le monde à cause de l'augmentation de l'effet de serre produit par le CO2 rejeté dans l'atmosphère par cette technique.
Aujourd'hui, cette même technique propose un espoir >>> pallier à ses errements passés grâce à une machine promettant de débarrasser l'atmosphère de l'excès de CO2 actuel.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 22 Déc 2023 - 21:53
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Je viens de recevoir un article de SCIENCE sur la captation du CO2 prélevé directement dans l'air puis transformé en poudre en vue d'un stockage de longue durée destiné à une utilisation ultérieure dans des centrales électriques.
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Je viens de recevoir un article de SCIENCE sur la captation du CO2 prélevé directement dans l'air puis transformé en poudre en vue d'un stockage de longue durée destiné à une utilisation ultérieure dans des centrales électriques.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Sam 23 Déc 2023 - 12:37
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Je viens de recevoir un autre article de SCIENCE sur la captation du CO2.
Pour lutter contre le changement climatique, des entreprises enfouissent leurs déchets végétaux en mer. Le carbone présent dans les débris ligneux issus de la foresterie ou de l’agriculture pourrait rester séquestré au fond de la mer pendant des siècles.
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Je viens de recevoir un autre article de SCIENCE sur la captation du CO2.
Pour lutter contre le changement climatique, des entreprises enfouissent leurs déchets végétaux en mer. Le carbone présent dans les débris ligneux issus de la foresterie ou de l’agriculture pourrait rester séquestré au fond de la mer pendant des siècles.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 29 Déc 2023 - 19:06
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Je viens de recevoir un article de SCIENCE sur la question de la possibilité de lutte contre le réchauffement anthropique de la planète.
L'hydrogène caché.
La Terre détient-elle de vastes réserves d’un carburant renouvelable et sans carbone ?
(Des infiltrations d'hydrogène sont visibles sur l'image de la côte de la Caroline du Nord - ci-dessus - obtenue par radar laser.)
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Je viens de recevoir un article de SCIENCE sur la question de la possibilité de lutte contre le réchauffement anthropique de la planète.
L'hydrogène caché.
La Terre détient-elle de vastes réserves d’un carburant renouvelable et sans carbone ?
(Des infiltrations d'hydrogène sont visibles sur l'image de la côte de la Caroline du Nord - ci-dessus - obtenue par radar laser.)
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 26 Jan 2024 - 16:55
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Les mesures de la totalité du carbone organique produit par les sables bitumineux canadiens révèlent des lacunes dans la déclaration des émissions.
La pollution de l'air causée par les composés organiques gazeux générés par l'extraction pétrochimique est généralement estimée à l'aide de mesures d'un sous-ensemble : les composés organiques volatils.
Les scientifiques ont montré que cette approche peut largement sous-estimer la véritable ampleur du problème.
Des mesures aériennes des concentrations totales de carbone organique en phase gazeuse au-dessus de la région des sables bitumineux de l'Athabasca, en Alberta, au Canada, ont révélé que les émissions de cette seule région étaient beaucoup plus importantes que les estimations faites sur la base de l'éventail limité des mesures actuelles.
Les composés non déclarés comprenaient d’abondants précurseurs de la pollution atmosphérique secondaire qui doivent être inclus dans la surveillance et la déclaration de la pollution par le carbone organique.
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Les mesures de la totalité du carbone organique produit par les sables bitumineux canadiens révèlent des lacunes dans la déclaration des émissions.
La pollution de l'air causée par les composés organiques gazeux générés par l'extraction pétrochimique est généralement estimée à l'aide de mesures d'un sous-ensemble : les composés organiques volatils.
Les scientifiques ont montré que cette approche peut largement sous-estimer la véritable ampleur du problème.
Des mesures aériennes des concentrations totales de carbone organique en phase gazeuse au-dessus de la région des sables bitumineux de l'Athabasca, en Alberta, au Canada, ont révélé que les émissions de cette seule région étaient beaucoup plus importantes que les estimations faites sur la base de l'éventail limité des mesures actuelles.
Les composés non déclarés comprenaient d’abondants précurseurs de la pollution atmosphérique secondaire qui doivent être inclus dans la surveillance et la déclaration de la pollution par le carbone organique.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Sam 27 Jan 2024 - 19:29
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Un article de SCIENTIFIC AMERICAN m'informe d'une solution pouvant être apportée au problème de l'absence de vent ou de soleil propre aux énergies renouvelables :
Construire une multitude de micro-barages hydroélectriques alimentés en eau grâce à un pompage permis par l'énergie renouvelable en vue d'employer l'énergie ainsi stockée aux heures de calme des vents ou du soleil.
Un tel procédé pourrait être mis en œuvre conjointement avec les bassines de stockage des eaux d'arrosage des cultures. Une bassine en bas dont l'eau serait pompée vers une bassine en haut, qui alimenterait selon les besoins des turbines génératrices d'électricité en se vidant vers la bassine d'en bas, et ainsi de suite.
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Un article de SCIENTIFIC AMERICAN m'informe d'une solution pouvant être apportée au problème de l'absence de vent ou de soleil propre aux énergies renouvelables :
Construire une multitude de micro-barages hydroélectriques alimentés en eau grâce à un pompage permis par l'énergie renouvelable en vue d'employer l'énergie ainsi stockée aux heures de calme des vents ou du soleil.
Un tel procédé pourrait être mis en œuvre conjointement avec les bassines de stockage des eaux d'arrosage des cultures. Une bassine en bas dont l'eau serait pompée vers une bassine en haut, qui alimenterait selon les besoins des turbines génératrices d'électricité en se vidant vers la bassine d'en bas, et ainsi de suite.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Lun 29 Jan 2024 - 13:51
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Le volume des bassines en question devront être plus importants que celui des bassines des campagnes françaises servant de réserves d'eau d'arrosage des cultures.
L'exemple suivant montre deux micro-lacs d'eau retenus par deux petits barrages, chaque installation étant construite sur une hauteurs assez différente de celle de l'autre pour qu'une pression suffisante soit exercée par gravité sur la turbine des génératrices ou des alternateurs destinés à produire une électricité suffisante en cas de panne du réseau principal par manque de vent ou d'ensoleillement.
Lorsque le réseau principal est bien alimenté en vent ou en ensoleillement, il est employé pour pomper relativement lentement et donc sans consommation électrique excessive les eaux du micro-lac inférieur ver le micro-lac supérieur en vue d'une éventuelle utilisation future.
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Le volume des bassines en question devront être plus importants que celui des bassines des campagnes françaises servant de réserves d'eau d'arrosage des cultures.
L'exemple suivant montre deux micro-lacs d'eau retenus par deux petits barrages, chaque installation étant construite sur une hauteurs assez différente de celle de l'autre pour qu'une pression suffisante soit exercée par gravité sur la turbine des génératrices ou des alternateurs destinés à produire une électricité suffisante en cas de panne du réseau principal par manque de vent ou d'ensoleillement.
Lorsque le réseau principal est bien alimenté en vent ou en ensoleillement, il est employé pour pomper relativement lentement et donc sans consommation électrique excessive les eaux du micro-lac inférieur ver le micro-lac supérieur en vue d'une éventuelle utilisation future.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Mar 6 Fév 2024 - 14:02
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Une exploration de la fusion laser directe laisse entrevoir la possibilité de production d'une énergie nucléaire des plus simples.
Certaines expériences suggèrent qu'avec des faisceaux laser suffisamment puissants, la technique de « l'action directe » devrait produire un gain d'énergie.
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Une exploration de la fusion laser directe laisse entrevoir la possibilité de production d'une énergie nucléaire des plus simples.
Certaines expériences suggèrent qu'avec des faisceaux laser suffisamment puissants, la technique de « l'action directe » devrait produire un gain d'énergie.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Jeu 8 Fév 2024 - 17:07
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Une nouvelle méthode de fabrication du fer pourrait réduire les émissions de carbone grâce à l'électricité
En extrayant le fer sans dioxyde de carbone, le nouveau procédé pourrait même être négatif en carbone, du moins pour une certaine partie de la production mondiale de ce métal.
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Une nouvelle méthode de fabrication du fer pourrait réduire les émissions de carbone grâce à l'électricité
En extrayant le fer sans dioxyde de carbone, le nouveau procédé pourrait même être négatif en carbone, du moins pour une certaine partie de la production mondiale de ce métal.
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Re: CLIMAT
par Kercos Jeu 8 Fév 2024 - 17:25
Saint-Ex a écrit:.
Je viens de recevoir un autre article de SCIENCE sur la captation du CO2.
Pour lutter contre le changement climatique, des entreprises enfouissent leurs déchets végétaux en mer. Le carbone présent dans les débris ligneux issus de la foresterie ou de l’agriculture pourrait rester séquestré au fond de la mer pendant des siècles.
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Là c'est du n'importe quoi . Depuis plus de 30 ans je pratique le jardinage avec du BRF inspiré des travaux de l'université LAVAL ( Pr Lemieux)...Les déchets organiques doivent retourner au sol :
http://andre.emmanuel.free.fr/brf/articles/brf7.pdf
https://normandie.chambres-agriculture.fr/fileadmin/user_upload/National/FAL_commun/publications/National/Casdar/1-guide_technique_valo_bois_elevage.pdf
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Jeu 8 Fév 2024 - 18:06
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Qu'on se trompe ou pas, il y a de la recherche tous azimut sur la question du surplus de carbone dans l'atmosphère.
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Qu'on se trompe ou pas, il y a de la recherche tous azimut sur la question du surplus de carbone dans l'atmosphère.
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_________________
Le matérialisme scientifique est une philosophie.
Le matérialisme scientifique n’est autre que la philosophie logiquement appropriée à l’activité scientifique.
Au nom de l'art, de la science et de la philosophie, ainsi soit-il.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 9 Fév 2024 - 17:13
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NOUVELLES DE LA SCIENCE
Un jury a accordé un million de dollars à un climatologue dans une affaire de diffamation
Le célèbre climatologue Michael Mann vient de remporter un dédommagement d'un million de dollars dans son procès en diffamation de longue date contre deux blogueurs de droite qui avaient comparé son travail à une opération d'agression criminelle.
L’affaire durait depuis 12 ans et concernait des travaux que Mann avait commencés il y a plus d’un quart de siècle et qui consistaient en un relevé des températures au cours des derniers millénaires à partir des cernes des arbres, aboutissant à un graphique spectaculaire en forme de « bâton de hockey ».
Mann s'est montré un combattant pugnace en ligne contre ceux qui cherchent à confondre ou à minimiser les réalités du changement climatique, et la somme qu'il a remportée en conclusion de ce procès pourrait montrer que même les médias sociaux ont des limites en matière de comportement.
Mais, disent les observateurs, cela pourrait aussi risquer de dissuader la critique publique de la science.
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NOUVELLES DE LA SCIENCE
Un jury a accordé un million de dollars à un climatologue dans une affaire de diffamation
Le célèbre climatologue Michael Mann vient de remporter un dédommagement d'un million de dollars dans son procès en diffamation de longue date contre deux blogueurs de droite qui avaient comparé son travail à une opération d'agression criminelle.
L’affaire durait depuis 12 ans et concernait des travaux que Mann avait commencés il y a plus d’un quart de siècle et qui consistaient en un relevé des températures au cours des derniers millénaires à partir des cernes des arbres, aboutissant à un graphique spectaculaire en forme de « bâton de hockey ».
Mann s'est montré un combattant pugnace en ligne contre ceux qui cherchent à confondre ou à minimiser les réalités du changement climatique, et la somme qu'il a remportée en conclusion de ce procès pourrait montrer que même les médias sociaux ont des limites en matière de comportement.
Mais, disent les observateurs, cela pourrait aussi risquer de dissuader la critique publique de la science.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Mer 27 Mar 2024 - 13:08
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De jeunes entreprises visent à freiner le changement climatique en extrayant le dioxyde de carbone de l'océan et non de l'air.
Les projets visant à utiliser les énergies renouvelables pour traiter l’eau de mer pourraient être moins chers et plus faciles que le captage de l’air.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 29 Mar 2024 - 19:05
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Pour capturer le dioxyde de carbone, de nombreuses entreprises se tournent vers les océans, qui absorbent déjà 30 % de tout le CO2 rejeté chaque année par l’activité humaine. Les gaz à effet de serre sont 150 fois plus concentrés dans l’eau de mer que dans l’air. Selon ces entreprises, cela devrait rendre le captage du CO2 moins coûteux et plus facile, en particulier lorsqu'elles peuvent installer leurs capteurs de CO2 dans les usines de dessalement, de traitement des eaux usées et autres infrastructures en rapport avec l’eau.
Les entreprises de captation océanique mettent en œuvre différents procédés chimiques, et la plupart sont conçues pour fonctionner à l’électricité renouvelable pour capter le CO2 de l’eau de mer.
Par exemple, Captura, une jeune entreprise californienne, achemine de l’eau de mer vers un réacteur qui utilise l’électricité pour convertir une partie de cette eau en acide. L’acide réagit avec le bicarbonate présent dans le restant de cette eau, ce qui permet la captation du CO2, qu'on enfouit ensuite sous le fond marin. Une base chimique est ensuite ajoutée pour neutraliser l'acide de l’eau de mer ainsi décarbonée,qui est renvoyée dans l’océan, où elle peut extraire davantage de CO2 de l’atmosphère.
Nicholas Ward, océanographe au Pacific Northwest National Laboratory qui travaille avec Ebb Carbon, une autre entreprise californienne, affirme qu'il est possible d'accélérer substantiellement la vitesse d'absorption du dioxyde de carbone par les océans.
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Pour capturer le dioxyde de carbone, de nombreuses entreprises se tournent vers les océans, qui absorbent déjà 30 % de tout le CO2 rejeté chaque année par l’activité humaine. Les gaz à effet de serre sont 150 fois plus concentrés dans l’eau de mer que dans l’air. Selon ces entreprises, cela devrait rendre le captage du CO2 moins coûteux et plus facile, en particulier lorsqu'elles peuvent installer leurs capteurs de CO2 dans les usines de dessalement, de traitement des eaux usées et autres infrastructures en rapport avec l’eau.
Les entreprises de captation océanique mettent en œuvre différents procédés chimiques, et la plupart sont conçues pour fonctionner à l’électricité renouvelable pour capter le CO2 de l’eau de mer.
Par exemple, Captura, une jeune entreprise californienne, achemine de l’eau de mer vers un réacteur qui utilise l’électricité pour convertir une partie de cette eau en acide. L’acide réagit avec le bicarbonate présent dans le restant de cette eau, ce qui permet la captation du CO2, qu'on enfouit ensuite sous le fond marin. Une base chimique est ensuite ajoutée pour neutraliser l'acide de l’eau de mer ainsi décarbonée,qui est renvoyée dans l’océan, où elle peut extraire davantage de CO2 de l’atmosphère.
Nicholas Ward, océanographe au Pacific Northwest National Laboratory qui travaille avec Ebb Carbon, une autre entreprise californienne, affirme qu'il est possible d'accélérer substantiellement la vitesse d'absorption du dioxyde de carbone par les océans.
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Sam 6 Avr 2024 - 20:25
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Une nouvelle technologie verte permet de récupérer l’énergie des gouttes de pluie et de l’humidité
Des dispositifs « hydrovoltaïques » pourraient fournir en permanence une énergie propre à condition d'être mis en œuvre sur de vastes installations.
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Une nouvelle technologie verte permet de récupérer l’énergie des gouttes de pluie et de l’humidité
Des dispositifs « hydrovoltaïques » pourraient fournir en permanence une énergie propre à condition d'être mis en œuvre sur de vastes installations.
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Captation du CO2
par Saint-Ex Sam 13 Avr 2024 - 15:02
Membranes de tamis moléculaire en polymère mécaniquement stables avec fonction commutable à haute faculté de séparation du CO2
PAR HONGJU LEE, TAE-HYUN BAE
Une membrane polymère a progressivement et naturellement évolué vers une membrane de tamis polymère moléculaire mécaniquement stable et pouvant efficacement extraire le CO2 des fluides carbonés.
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Dernière édition par Saint-Ex le Sam 13 Avr 2024 - 15:44, édité 1 fois (Raison : GRAMMAIRE)
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Sam 13 Avr 2024 - 15:42
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De rien, HKS, tu sais bien que je suis curieux de tout, d'absolument TOUT (sauf de l'idéalisme
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De rien, HKS, tu sais bien que je suis curieux de tout, d'absolument TOUT (sauf de l'idéalisme
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Saint-Ex- Digressi(f/ve)
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Re: CLIMAT
par Saint-Ex Ven 19 Avr 2024 - 17:00
Une audacieuse mission du type « James Bond » vise à forer la glace Antarctique pour tenter de comprendre l’avenir de l’élévation du niveau des mers
Pour chercher à comprendre la mécanique des glaciers les plus vulnérables de l'Antarctique, les climatologues extraient des carottes de glace des côtes isolées et battues par les intempéries.
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Saint-Ex- Digressi(f/ve)
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