Re: SPINOZA vu par l'athéisme radicalement matérialiste <<<

[Saint-Ex]

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Allez, une petit couche de rigolade :

[inutile]

[Saint-Ex]

Mais je ne veux pas servir de transfert à sa haine vorace, alors je me retire.

N'oublie pas de cliquer sur le bouton suivant du site de Digression



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[Vanleers]

Mais je ne veux pas servir de transfert à sa haine vorace, alors je me retire.

Face à une personnalité narcissique, c'est l'attitude la plus appropriée.

[Saint-Ex]

Mais je ne veux pas servir de transfert à sa haine vorace, alors je me retire.

Face à une personnalité narcissique, c'est l'attitude la plus appropriée.

Ma personnalité est encore plus narcissique que tu ne pourras jamais t'imaginer à cause de l'amour, infini, phénoménal, incontestable que je porte à ma carcasse bien aimée de MOI et MOI et MOI ...

Mais si tu veux absolument te retirer toi aussi grâce à une forte volonté de ton être et de ton devenir déçus, n'hésite surtout pas à cliquer sur le bouton suivant du site de Digression





-------------- Il se trouve sur cette page, en tout petit, en bas, à droite. -------------------








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[Saint-Ex]

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[Saint-Ex]

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[Saint-Ex]

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[Saint-Ex]

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[Saint-Ex]

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ETC.

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[Saint-Ex]

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LE RIRE DE DÉMOCRITE
Démocrite est favorable à la démocratie:

« La pauvreté en régime démocratique l’emporte sur ce que chez les souverains ont appelle à tord le bonheur pour autant que la liberté l’emporte sur l’esclavage »


LA SALE FACE DE PLATON
Platon, précurseur du communisme, a horreur de la démocratie et veut contrôler le peuple avec des méthodes fascistes :

« Ce qui importe le plus, c'est qu'il n'y ait personne, ni homme ni femme, qui échappe à l'autorité d'un chef et qui s'accoutume, soit dans les combats sérieux, soit dans les jeux à agir seul et de son chef, mais que toujours, en paix comme en guerre, tout le monde ait les yeux sur le chef, le suive et se laisse gouverner par lui, jusque dans les plus petites choses ; que, par exemple, lorsqu'il le commande, on s'arrête, on marche, on s'exerce, on prenne un bain ou un repas, […] en un mot qu'on ne prenne pas l'habitude de faire quoi que ce soit seul, en dehors des autres, et qu'on ne cherche pas à connaître et qu'on ne sache absolument rien sans eux, mais qu'on vive tous et toujours, autant que possible, groupés dans une vie commune »

« Il faut extirper, de la vie entière de tout homme, l'indépendance »

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[Saint-Ex]

Comme cul et chemise, comme larrons en foire
J'ai vu se constituer tant d'associations
Mais il n'en reste qu'une au travers de l'histoire
Qui ait su nous donner toute satisfaction

Le sabre et le goupillon


L'un brandissant le glaive et l'autre le ciboire
Les peuples n'avaient plus à se poser de questions
Et quand ils s'en posaient c'était déjà trop tard
On se sert aussi bien pour tondre le mouton

Du sabre que du goupillon


Quand un abbé de cour poussait une bergère
Vers des chemins tremblants d'ardente déraison
La belle ne savait pas quand elle se laissait faire
Qu'ils condamnaient l'usage de la contraception

Le sabre et le goupillon


Et ça, ça voudrait s'approprier Spinoza, la pensée de Spinoza, les écrits de Spinoza,
et même les lunettes de Spinoza !

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[Saint-Ex]

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Évidement, l'athée radicalement matérialiste qui s'exprime comme suit n'est certainement pas un théologien maniant le platonisme et la scolastique avec le talent des exégètes interprétant Dieu et la religion à partir de leur extraordinaire érudition en la matière ! ...





De plus, le matérialisme radical et athée datant de 2500 ans est par définition dépassé, n'est-ce pas ?

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[Saint-Ex]

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Souhaitons que les atteints de citationite théologienne (tu es visé, Vanleers) et les rentre-dedans du dialogue monologue platonicien chargé de la haine qu'ils attribuent aux autres (tu es visé, Grégorirlande) s'informent d'une sagesse émergeant d'un respectueux échange entre un athée (Michel Onfray) et un Juif (le rabbin Azoulay) se tenant dans une synagogue remplie de monde.









-----------------------Ceux qui voudrait s'informer sur la chose pourront la voir ci-dessous :-----------------------


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Il y a dans ce dialogue entre l'athée Ofray et le rabbin Azoulay quelque chose qu'on trouve dans la correspondance ayant eu lieu en son temps avec l'athée Camus et le chrétien Mauriac.


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[Grégor]

Tu aurais fait un très bon pétainiste, je t’assure, tu as tous les outils de la propagande.

[Saint-Ex]

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Pour information :

Le colloque «La pensée juive dans la cité» a permis d'explorer les différentes facettes de cette pensée, qui inclue des valeurs et des croyances à portée universaliste mais aussi des rituels particuliers. La métaphysique juive est marquée par une relation dialectique entre la révélation et le génie intérieur humain, ce qui produit la parole talmudique. La théologie négative est très importante car le Judaïsme est capable de vivre dans la pluralité universaliste.

Ce colloque a eu lieu avec la participation de, entre autres, Michel Onfray, du Rabbin Michael Azoulay, de Rav Raphaël Sadin et d'Antoine Mercier.




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[Grégor]

On n'ira pas, quand on voit les [...] que tu racontes, on ne veut pas entrer dans cette secte haineuse.

[Bergame]

Bon, je ne m'occupais pas de ce topic, mais on va le nettoyer un peu.
J'engage les uns et les autres à se calmer, svp.

[alain]

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Évidement, l'athée radicalement matérialiste qui s'exprime comme suit n'est certainement pas un théologien maniant le platonisme et la scolastique avec le talent des exégètes interprétant Dieu et la religion à partir de leur extraordinaire érudition en la matière ! ...





De plus, le matérialisme radical et athée datant de 2500 ans est par définition dépassé, n'est-ce pas ?

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Le débat est excellent.
Je ne vois pas du tout, en ces deux hommes, de grands sages au delà des passions. Au contraire, je les sens tous les deux immergés dans leur passion. Ce qui est bien, c" est qu' ils réussissent apparemment, l' un et l' autre, à discuter calmement au nom d' une " amitié " et d' une entente de circonstance...Ils respectent les règles qu' ils se sont fixé dans le cadre de leur ouvrage commun.
Sur le fond, il me semble impossible de répondre à cette question de l' existence de Dieu autrement que par une croyance, étant entendu que l' athéisme est, à mon sens, également une croyance, livree aux mêmes passions que le déisme. La différence c' est juste l' objet de ces croyances. Le mouvement du cœur, je dirais, est le même, et ici on le voit bien.
La mise au point du théologien, sur ce sujet, me semble fort judicieuse.
On croit en fonction des expériences vécues de notre passé. Ce à quoi j' ajouterai que cette croyance est aussi modelée par ce qui se passe dans le présent. Elle peut même être inversée. Je crois que Onfray était d'abord en accord avec l" idee de Dieu et qu' il  l' a rejetée ensuite.
Je pense qu' il y a d'abord le " je crois " et ensuite le discours intellectuel qui tente de justifier la croyance. Il me semble que c' est exactement la démarche suivie ici. Bon, je ne suis pas certain que cette affirmation résisterait à une analyse plus poussée ... y compris à une auto analyse.
Je comprends très bien que, face aux illusions et désillusions de la vie, des événements  très marquants puissent changer des êtres fondamentalement. On peut très bien refuser Dieu à cause de ce que la vie inflige. L' accepter serait alors un simple compromis mou. Et pire encore, ce serait tenter de donner un sens à ce qui a été vécu de pire, comme la mort d' un être aimé, par exemple. Je veux dire qu' une telle injustice peut être perçue comme trahie par ce qui apparaîtrait alors comme une forme de complaisance : se consoler mollement à travers des " petites " croyances.
Il y a mille façons de se représenter Dieu mais aussi mille façons de se représenter son absence. Et pas de réponse ici bas, si ce n' est la réponse qui s' incarne dans notre existence et dans nos idées.
De même le problème de la transcendance ou de l' immanence. Onfray parle " d' arrières mondes ", suivant l' expression de Nietzsche. Je pense qu' il est en fait impossible de résoudre ce problème, d' un point de vue logique et intellectuel.
Qu' il y ait un arrière monde dont nous ne pouvons rien savoir où qu' il n' y en ait aucun, cela revient un peu au même puisque ce monde même dans lequel nous évoluons, ce monde immanent, nous est, en grande partie inaccessible. Le monde immanent ... nous transcende, en quelque sorte. On peut faire remarquer  que le monde immanent ne nous est inconnu que temporairement ...il nous sera in jour accessible. Sauf que, les partisans du monde transcendant, peuvent également dire la même chose.
Je pense que Onfray, comme Nietszche, est surtout agacé ( peut être révolté) par la main mise des religions sur le monde transcendant. En réalité, on peut très bien opter ( je ne dis pas: imaginer, parce que l' entreprise est alors beaucoup plus compliquée) pour une transcendance sans la religion. Sans religion ne signifie pas obligatoirement sans Dieu.
Il y aurait beaucoup à dire mais en tout cas le débat est vraiment de bonne tenue. Débat entre deux hommes, je dirais, de bonne volonté.

[Saint-Ex]

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Évidement, l'athée radicalement matérialiste qui s'exprime comme suit n'est certainement pas un théologien maniant le platonisme et la scolastique avec le talent des exégètes interprétant Dieu et la religion à partir de leur extraordinaire érudition en la matière ! ...



De plus, le matérialisme radical et athée datant de 2500 ans est par définition dépassé, n'est-ce pas ?

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Je trouve que Michel Onfray porte un regard juste et éclairé sur la pensée de Spinoza.

Je m'attache à défendre la pensée et les actions matérialistes radicales et athées de Michel Onfray pour la bonne raison que ma pensée et mes actions sont aussi matérialistes radicales et athées que la sienne.

Cette pensée matérialiste et athée a été établie il y a 2500 ans en même temps que la pensée idéaliste et soucieuse des dieux.

Les deux protagonistes emblématiques et arbitrairement choisis de chacune de ses deux façons de voir le monde sont d'une part Démocrite et d'autre part Platon.

Démocrite (avec Leucippe, Aristipe et Épicure) est à l'origine de la pensée matérialiste. tandis que Platon (avec son Socrate et tous ses amis) est à l'origine de la pensée idéaliste.

J'affirme que ces deux pensées courent le monde occidental depuis 2500 ans, durée au cours de laquelle celle de l'idéalisme platonicien a écrasé ou tenté d'écraser celle du matérialisme démocritéen.

Sauf que pendant qu'on enseignait surtout l'idéalisme dans le monde occidental, ce qui a fait l'ossature de la philosophie traditionnelle qui a toujours été présentée comme la seule au monde, le matérialisme s'est doucement déroulé de son côté en prenant depuis quelque siècles la forme et l'esprit de la science moderne dévastatrice de la pensée idéaliste.

Alors, Toniov, lorsque Grégorirlande me propose un dialogue platonicien, moi, qui suit un matérialiste prétendant bien connaître la masse de malhonnêteté, de tours de passe-passe et le délire démentiel constituant le fond de tous les dialogue de Platon, qui sont en réalité des monologues à orientation idéaliste des plus insupportables, je ne vois pas comment j'aurais pu accepter la proposition de notre Grégorirlande préféré.

S'en est suivie une bataille d'imbécilités à laquelle je ne voulais surtout pas participer.

Sauf que je reprends ici et maintenant une tentative de dialogue avec l'âme sage que tu es de mon point de vue sur Digression, Toniov.

Alors voilà :

Je n'ai pas bien compris ta déclaration suivante.
(Qui sont les deux hommes dont tu parles ?)

«Le débat est excellent.
Je ne vois pas du tout, en ces deux hommes, de grands sages au delà des passions.»

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[alain]

Ah c' était un peu plus haut ... je voulais parler du dialogue entre Azoulay et Onfray.
Je me suis trompé dans le raccordement entre ton message et ma réponse.
En fait je parlais de la vidéo, que j' ai visionné en entier.

[Grégor]

Je vois que tu ne peux t’empêcher de parler de moi. Mais avec moi tu t’y refuses.

[Saint-Ex]

Je vois que tu ne peux t’empêcher de parler de moi. Mais avec moi tu t’y refuses.

En effet je parle de toi, mais je parle de toi en ces termes :

«lorsque Grégorirlande me propose un dialogue platonicien, moi, qui suit un matérialiste prétendant bien connaître la masse de malhonnêteté, de tours de passe-passe et le délire démentiel constituant le fond de tous les dialogue de Platon, qui sont en réalité des monologues à orientation idéaliste des plus insupportables, je ne vois pas comment j'aurais pu accepter la proposition de notre Grégorirlande préféré ... S'en est suivie une bataille d'imbécilités à laquelle je ne voulais surtout pas participer.»

Je refuse de te parler tant que tu n'auras pas compris qu'on ne dit rien de négatif, voire d'insultant sur Michel Onfray en ma présence, qu'on ne tente pas de m'entraîner dans un dialogue platonicien dont je connais tous les tenants et les aboutissements et qu'on ne répond pas aux réponses que j'adresse à tes questions sur le ton interrogateur d'un embobinage platonicien, ce qui, tu l'auras remarqué constitue paradoxalement une manière incontestable de te parler.

En attendant, je n'ai pas envie de relancer la bataille d'imbécilités à laquelle je ne voulais surtout pas participer et à laquelle il m'a semblé que tu avais la ferme volonté de te vautrer.

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[Saint-Ex]

Ah c' était un peu plus haut ... je voulais parler du dialogue entre Azoulay et Onfray.
Je me suis trompé dans le raccordement entre ton message et ma réponse.
En fait je parlais de la vidéo, que j' ai visionné en entier.

Je place cette vidéo ci-dessous pour que chacun en profite et constate que Michel Onfray n'est pas l'imbécile que croient les platoniciens obtus.

Ceux qui voudraient s'informer sur le dialogue entre l'athée Onfray et le rabbin Azoulay pourront le voir ci-dessous :





Il y a dans ce dialogue entre l'athée Ofray et le rabbin Azoulay quelque chose qu'on trouve dans la correspondance ayant eu lieu en son temps avec l'athée Camus et le chrétien Mauriac.

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[Grégor]

Tu as surtout peur de moi. Que je puisse briser ton rêve de toute puissance.

[Saint-Ex]

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Je place cette autre vidéo ci-dessous pour que chacun en profite et constate que Michel Onfray n'est pas l'imbécile que croient les platoniciens obtus.

Il s'agit d'une discussion des plus sages, des plus intelligentes, des plus respectueuses entre un psychanalyste freudien et lacanien de renom en la personne de Jacques-Alain Miller, qui pousse quand même une petite colère sur un point de détail et qui s'empare du temps de parole de son interlocuteur pour en parler longuement, et Michel Onfray venant de publier son livre sur Freud.

Cette discussion avait été organisée par le canal télévisé « PhilosophieS TV ».



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[Saint-Ex]

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Stephan Bureau est un journaliste très célèbre au Canada et aux États-Unis.

Il entretient depuis 15 ans une relation de forte amitié avec Michel Onfray.

Ci-dessous le vidéo d'un entretien entre Bureau et Onfray à propos de diverses pensées de notre philosophe français toujours bien accueilli partout au Canada et aux États-Unis.

(Nul n'est prophète en son pays.)

L'entretien a eu lieu à l'Office de la délégation du Québec à Paris.




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