Al-hajjaj à Al-Basra
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Al-hajjaj à Al-Basra
Lorsqu’Al-hajjaj Bnou youssef Attakafi a battu terriblement les gens d’Alkoufa, il est allé droit rapidement vers Albasra, il a lancé ce discours terrifiant devant ceux du Basra :
Ô indigènes de Basra, vous avez appris mon discours à Al-koufa, et je ne répète pas pour vous, plutôt j’ajoute.
Ô indigènes ! Pour le fatigué d’entre vous, j’ai son remède, pour celui qui se hâte pour sa fin, je lui dois de l’achever, pour celui dont la tête lui est lourde, je porterai pour lui sa lourdeur, pour celui dont la vie est longue, je lui ôterai le reste ;
Le satin a un spectre, et le Sultan a une épée ! Alors, celui dont la foi est affaiblie, certes devenue juste sa punition, celui que le péché a abaissé, certes sa crucification le lèvera, celui qui trouve étroite sa santé, il trouvera vaste sa mise à mort, celui avancé par sa langue, avancera son corps par l’écoulement de son sang. Je préviens sans jamais revoir, j’avertis sans jamais pardonner et je menace sans jamais donner de grâce.
C’est que la faiblesse de votre dévouement vous a corrompu. Quant à moi, ma fermeté et ma volonté m’ont retiré mon fouet et l’ont changé en épée, or sa maîtrise est entre mes mains, son revers est sur mon dos, et sa pointure est sur le coup de celui qui me défie. Je jure dieu ! Si j’ordonne à quelqu’un de sortir de cette porte et qu’il sorte de l’autre porte, que je lui coupe la tête.
Ô gens de dissidence et d’hypocrisie ! J’ai entendu une prière qui n’est pas celle de grâce, mais celle de menace ; n’arrête-t-on pas de cela, ne pense-t-on pas à soi-même, à épargner son sang, ne regarde-t-on pas à son sort et se méfie-t-on. Je jure dieu, que je risque de vous affliger un massacre qui serait model inédit pour ce qui était d’auparavant et leçon d’éducation inédit de tout ce qui en va venir !
Ô indigènes de Basra, vous avez appris mon discours à Al-koufa, et je ne répète pas pour vous, plutôt j’ajoute.
Ô indigènes ! Pour le fatigué d’entre vous, j’ai son remède, pour celui qui se hâte pour sa fin, je lui dois de l’achever, pour celui dont la tête lui est lourde, je porterai pour lui sa lourdeur, pour celui dont la vie est longue, je lui ôterai le reste ;
Le satin a un spectre, et le Sultan a une épée ! Alors, celui dont la foi est affaiblie, certes devenue juste sa punition, celui que le péché a abaissé, certes sa crucification le lèvera, celui qui trouve étroite sa santé, il trouvera vaste sa mise à mort, celui avancé par sa langue, avancera son corps par l’écoulement de son sang. Je préviens sans jamais revoir, j’avertis sans jamais pardonner et je menace sans jamais donner de grâce.
C’est que la faiblesse de votre dévouement vous a corrompu. Quant à moi, ma fermeté et ma volonté m’ont retiré mon fouet et l’ont changé en épée, or sa maîtrise est entre mes mains, son revers est sur mon dos, et sa pointure est sur le coup de celui qui me défie. Je jure dieu ! Si j’ordonne à quelqu’un de sortir de cette porte et qu’il sorte de l’autre porte, que je lui coupe la tête.
Ô gens de dissidence et d’hypocrisie ! J’ai entendu une prière qui n’est pas celle de grâce, mais celle de menace ; n’arrête-t-on pas de cela, ne pense-t-on pas à soi-même, à épargner son sang, ne regarde-t-on pas à son sort et se méfie-t-on. Je jure dieu, que je risque de vous affliger un massacre qui serait model inédit pour ce qui était d’auparavant et leçon d’éducation inédit de tout ce qui en va venir !
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Boutros
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