L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
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L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
Bonjour,
suite à un devoir de français dans lequel, je dois écrire un article d'Encyclopédie sur l'esclavage, j'ai décidé de partir en raisonnement (philosophique un poil sur la fin).
Je vous invite donc à débattre avec moi sur les points qui ne vont pas (ça me corrige les erreurs essentielles) et débattre sur nos avis respectifs. Je précise aussi que d'après la charte, ce sujet est dans cette case car je ne sais dans quelle catégorie le placer. Si un administrateur souhaite le déplacer, qu'il en soit ainsi !
L’esclavage a eu de nombreuses considérations et il existe toujours même après de nombreux traités, nombreuses lois et aides humanitaires qui s’efforcent de le supprimer de la société Républicaine, censée être une cité parfaite, laborieuse, libre et égalitaire : donc sans esclaves.
L’esclavage est une très vieille pratique, un commerce barbare qui vise à détacher un individu de toute liberté et droits fondamentaux. Le premier à légitimer l’esclavage est un philosophe grec, Aristote qui à son époque était un fait qui allait de soi et ne provoquait aucun état d’âme. Seulement, il n’a jamais vraiment justifié cette pratique, il s’y est plutôt opposé comme l’ont démontrés les travaux de Richard Bodéus, un philosophe canadien spécialisé dans les théories aristotéliciennes. Un esclave était donc une propriété négociable pour un remboursement de dettes, ou un pillage de guerre. L’esclavage a peu à peu changé de considération et au Moyen-Age, le Servage devient l’esclavage « moderne ». Les Serfs avaient leur liberté, ils n’appartenaient à personne. En revanche ils étaient rattachés à un manse, une parcelle agricole qui était elle-même la propriété d’un noble ou d’une institution religieuse. Le maître de cette parcelle était appelé Seigneur. Il n’y avait donc qu’un intermédiaire (le manse) entre l’esclave et le maître. Leurs conditions étaient tout aussi précaires qu’à l’époque d’Aristote, car une fois rattachés à ce manse, les serfs ne pouvaient plus le quitter et leurs descendants y étaient assignés. Toutefois, le Seigneur et son serf étaient liés par un contrat, la seule vraie différence avec l’esclavage avec l’époque d’Aristote : le serf se devait d’exploiter la Terre pour son seigneur et le seigneur devait protection à son serf. L’esclavage sera pratiquement aboli au fil du temps, mais jamais officiellement. Lors de la découverte de l’Amérique, les Rois de chaque pays veulent détenir un bout de l’Amérique, car l’Amérique a un bon potentiel. Ils décident d’exterminer la population qui y réside : les Amérindiens. Les champs de coton et de canne à sucre n’ayant plus de main d’oeuvre, il faut alors l’importer. Des scientifiques « prouvent » alors que les Noirs sont une race inférieure, qu’ils ne sont pas des hommes. Ainsi la Traite Négrière commence. L’aspect religieux n’était pas remis en compte car ils n’avaient pas d’âme. Ce sera possiblement la pire considération de l’esclavage. Certains ne seront même pas vendus par un tiers mais seulement pillés pour être vendus en Amérique ou en Europe. Les principaux opposants à ce régime et cet usage seront les philosophes des Lumières. Le XVIIIe siècle sera ainsi une période de révolte littéraire. Certains se réuniront pour unifier tous les savoirs du monde en un écrit : L’Encyclopédie. L’esclavage sera d’ailleurs décrit comme une horreur, un commerce infâme. L’Esclavage a été aboli depuis, en 1792 au Danemark, en 1848 en France et en 1865 aux Etats Unis d’Amérique. Pour autant l’Esclavage est toujours présent dans les esprits et dans le monde au XXIe siècle.
L’ESCLAVAGE DE NOS JOURS
Actuellement, l’Esclavage se base simplement sur la vulnérabilité de la personne, en fonction principalement de son accès à l’éducation. Cela permet ainsi une emprise totale sur la personne. On pourrait croire que l’esclavage n’est qu’une forme de travail qui peut servir de remboursement de dettes mais les conditions pour être esclave sont multiples et les conditions de vie sont ignobles. L’esclavage pour dettes est d’ailleurs un type de cette pratique qui touche des millions de personnes dans le monde. Contre une somme d’argent souvent peu conséquente, l’esclave doit travailler dans des conditions épouvantables pouvant aller à des journées entières dans un désert sans eau. Les esclaves sont souvent incapables d’honorer cette même dette, qui se répercute donc sur leurs descendants. Ce système est notamment présent en Asie. Seulement beaucoup travaillent aussi sous la menace. Une fois privés d’identité, les esclaves deviennent un propriété, l’équivalent d’un objet. Les enfant sont les principales victimes même si hommes et femmes ne sont pas épargnés. Ils peuvent ainsi travailler dans des champs, mendier de manière forcée ou encore servir comme domestique. Les jeunes femmes ou fillettes sont dans notre ère les plus grandes victimes de l’esclavage. Mariage, prostitution, viol constituent l’essence même de leur esclavage. On estime à 215 millions, le nombre d’enfants qui travaillent de manière forcée. La France n’est pas exclue de cet usage. Il touche principalement les enfants et jeunes femmes. Ils sont souvent émigrés d’Asie ou d’Afrique et espèrent trouver en France une vie meilleure. Il s’agit souvent d’ignorants de la langue française et des droits fondamentaux. Ce sont souvent les voisins ou l’entourage proche comme la maître ou le maître des enfants du patron. La plupart des exploiteurs viennent chercher les victimes dans leur en promettant l’éducation pour un enfant et l’emploi pour un adulte. Les mineurs sont amenés ainsi en France, et doivent parfois dès l’âge de sept ou huit ans s’occuper des tâches de la maison comme le ménage, le repas et s’occuper des enfants. Dans les pays occidentaux, la situation est bien plus dramatique. Au Maroc, les fillettes sont les bonnes, des enfants domestiqués, et exploités par de nombreuses familles. Au Liban, il n’y a pas de poste à pourvoir pour une bonne. On les achète sur le marché noir, un marché qui constitue l’esclavage moderne. Les pays du Golf Persique ont une approche qui s’assimile bien plus à de l’esclavage « traditionnel » : les esclaves asservissent les besoins de leurs maîtres. L’esclavage moderne est en corrélation avec les écrits d’Aristote. L’esclavage relève d’une philosophie purement économique et non morale. Son texte « Politiques I » contient des analyses de la société et on peut mettre en relation ses dires avec les faits actuels. Les acteurs économiques sont donc : la famille (les ménages), l’esclave et son maître (l’ouvrier et son patron). Il considère l’esclavage comme une science (de la possession) et amène à considérer cette pratique comme obligatoire pour une société qui se veut stable, même s’il réfute ses arguments au fur et à mesure. Il amène en revanche l’explication de la considération d’un esclave au chapitre 4 en expliquant que si les instruments sont capables d’effectuer des ordres sans problème, l’esclave est donc un instrument, d’où le commerce qui s’y joue autour. La principale différence entre la société d’Aristote et celle actuelle est qu’Aristote considérait « la vie [comme] action et non production. C’est pourquoi l’esclave est un serviteur destiné à l’action » (Pol.I chap 4) alors que les esclaves modernes sont d’ordre productifs. Le seul argument rationnel d’une opposition à l’esclavage est l’unité humaine alors qu’à notre société actuelle, les droits fondamentaux forment des arguments indémontables. Aristote se rapproche finalement de l’esclavage moderne. Le point de départ de sa réflexion est que l’on à pas le choix. Pour une société stable (à son époque du moins) il faut bien des esclaves comme il faut la mort, la maladie, la guerre …etc. L’esclavage fait donc partie de « l’Equilibre Naturel ». Seulement dans notre société moderne, on a le choix. C’est donc la faute de ceux qui exploitent cet usage, et ceux qui ne font rien pour l’empêcher. Chaque personne a donc le choix d’être exploiteur, exploité, complice ou engagé contre cette pratique infâme.
Je terminerais en mentionnant que c’est en donnant la parole à l’esclave que le citoyen libre s’engage réellement. La liberté première est l’expression. Elle est l’essence même de notre société.
A vos plumes !
suite à un devoir de français dans lequel, je dois écrire un article d'Encyclopédie sur l'esclavage, j'ai décidé de partir en raisonnement (philosophique un poil sur la fin).
Je vous invite donc à débattre avec moi sur les points qui ne vont pas (ça me corrige les erreurs essentielles) et débattre sur nos avis respectifs. Je précise aussi que d'après la charte, ce sujet est dans cette case car je ne sais dans quelle catégorie le placer. Si un administrateur souhaite le déplacer, qu'il en soit ainsi !
Esclavage : Pratique qui consiste à priver un individu de sa liberté.
L’esclavage a eu de nombreuses considérations et il existe toujours même après de nombreux traités, nombreuses lois et aides humanitaires qui s’efforcent de le supprimer de la société Républicaine, censée être une cité parfaite, laborieuse, libre et égalitaire : donc sans esclaves.
L’esclavage est une très vieille pratique, un commerce barbare qui vise à détacher un individu de toute liberté et droits fondamentaux. Le premier à légitimer l’esclavage est un philosophe grec, Aristote qui à son époque était un fait qui allait de soi et ne provoquait aucun état d’âme. Seulement, il n’a jamais vraiment justifié cette pratique, il s’y est plutôt opposé comme l’ont démontrés les travaux de Richard Bodéus, un philosophe canadien spécialisé dans les théories aristotéliciennes. Un esclave était donc une propriété négociable pour un remboursement de dettes, ou un pillage de guerre. L’esclavage a peu à peu changé de considération et au Moyen-Age, le Servage devient l’esclavage « moderne ». Les Serfs avaient leur liberté, ils n’appartenaient à personne. En revanche ils étaient rattachés à un manse, une parcelle agricole qui était elle-même la propriété d’un noble ou d’une institution religieuse. Le maître de cette parcelle était appelé Seigneur. Il n’y avait donc qu’un intermédiaire (le manse) entre l’esclave et le maître. Leurs conditions étaient tout aussi précaires qu’à l’époque d’Aristote, car une fois rattachés à ce manse, les serfs ne pouvaient plus le quitter et leurs descendants y étaient assignés. Toutefois, le Seigneur et son serf étaient liés par un contrat, la seule vraie différence avec l’esclavage avec l’époque d’Aristote : le serf se devait d’exploiter la Terre pour son seigneur et le seigneur devait protection à son serf. L’esclavage sera pratiquement aboli au fil du temps, mais jamais officiellement. Lors de la découverte de l’Amérique, les Rois de chaque pays veulent détenir un bout de l’Amérique, car l’Amérique a un bon potentiel. Ils décident d’exterminer la population qui y réside : les Amérindiens. Les champs de coton et de canne à sucre n’ayant plus de main d’oeuvre, il faut alors l’importer. Des scientifiques « prouvent » alors que les Noirs sont une race inférieure, qu’ils ne sont pas des hommes. Ainsi la Traite Négrière commence. L’aspect religieux n’était pas remis en compte car ils n’avaient pas d’âme. Ce sera possiblement la pire considération de l’esclavage. Certains ne seront même pas vendus par un tiers mais seulement pillés pour être vendus en Amérique ou en Europe. Les principaux opposants à ce régime et cet usage seront les philosophes des Lumières. Le XVIIIe siècle sera ainsi une période de révolte littéraire. Certains se réuniront pour unifier tous les savoirs du monde en un écrit : L’Encyclopédie. L’esclavage sera d’ailleurs décrit comme une horreur, un commerce infâme. L’Esclavage a été aboli depuis, en 1792 au Danemark, en 1848 en France et en 1865 aux Etats Unis d’Amérique. Pour autant l’Esclavage est toujours présent dans les esprits et dans le monde au XXIe siècle.
L’ESCLAVAGE DE NOS JOURS
Actuellement, l’Esclavage se base simplement sur la vulnérabilité de la personne, en fonction principalement de son accès à l’éducation. Cela permet ainsi une emprise totale sur la personne. On pourrait croire que l’esclavage n’est qu’une forme de travail qui peut servir de remboursement de dettes mais les conditions pour être esclave sont multiples et les conditions de vie sont ignobles. L’esclavage pour dettes est d’ailleurs un type de cette pratique qui touche des millions de personnes dans le monde. Contre une somme d’argent souvent peu conséquente, l’esclave doit travailler dans des conditions épouvantables pouvant aller à des journées entières dans un désert sans eau. Les esclaves sont souvent incapables d’honorer cette même dette, qui se répercute donc sur leurs descendants. Ce système est notamment présent en Asie. Seulement beaucoup travaillent aussi sous la menace. Une fois privés d’identité, les esclaves deviennent un propriété, l’équivalent d’un objet. Les enfant sont les principales victimes même si hommes et femmes ne sont pas épargnés. Ils peuvent ainsi travailler dans des champs, mendier de manière forcée ou encore servir comme domestique. Les jeunes femmes ou fillettes sont dans notre ère les plus grandes victimes de l’esclavage. Mariage, prostitution, viol constituent l’essence même de leur esclavage. On estime à 215 millions, le nombre d’enfants qui travaillent de manière forcée. La France n’est pas exclue de cet usage. Il touche principalement les enfants et jeunes femmes. Ils sont souvent émigrés d’Asie ou d’Afrique et espèrent trouver en France une vie meilleure. Il s’agit souvent d’ignorants de la langue française et des droits fondamentaux. Ce sont souvent les voisins ou l’entourage proche comme la maître ou le maître des enfants du patron. La plupart des exploiteurs viennent chercher les victimes dans leur en promettant l’éducation pour un enfant et l’emploi pour un adulte. Les mineurs sont amenés ainsi en France, et doivent parfois dès l’âge de sept ou huit ans s’occuper des tâches de la maison comme le ménage, le repas et s’occuper des enfants. Dans les pays occidentaux, la situation est bien plus dramatique. Au Maroc, les fillettes sont les bonnes, des enfants domestiqués, et exploités par de nombreuses familles. Au Liban, il n’y a pas de poste à pourvoir pour une bonne. On les achète sur le marché noir, un marché qui constitue l’esclavage moderne. Les pays du Golf Persique ont une approche qui s’assimile bien plus à de l’esclavage « traditionnel » : les esclaves asservissent les besoins de leurs maîtres. L’esclavage moderne est en corrélation avec les écrits d’Aristote. L’esclavage relève d’une philosophie purement économique et non morale. Son texte « Politiques I » contient des analyses de la société et on peut mettre en relation ses dires avec les faits actuels. Les acteurs économiques sont donc : la famille (les ménages), l’esclave et son maître (l’ouvrier et son patron). Il considère l’esclavage comme une science (de la possession) et amène à considérer cette pratique comme obligatoire pour une société qui se veut stable, même s’il réfute ses arguments au fur et à mesure. Il amène en revanche l’explication de la considération d’un esclave au chapitre 4 en expliquant que si les instruments sont capables d’effectuer des ordres sans problème, l’esclave est donc un instrument, d’où le commerce qui s’y joue autour. La principale différence entre la société d’Aristote et celle actuelle est qu’Aristote considérait « la vie [comme] action et non production. C’est pourquoi l’esclave est un serviteur destiné à l’action » (Pol.I chap 4) alors que les esclaves modernes sont d’ordre productifs. Le seul argument rationnel d’une opposition à l’esclavage est l’unité humaine alors qu’à notre société actuelle, les droits fondamentaux forment des arguments indémontables. Aristote se rapproche finalement de l’esclavage moderne. Le point de départ de sa réflexion est que l’on à pas le choix. Pour une société stable (à son époque du moins) il faut bien des esclaves comme il faut la mort, la maladie, la guerre …etc. L’esclavage fait donc partie de « l’Equilibre Naturel ». Seulement dans notre société moderne, on a le choix. C’est donc la faute de ceux qui exploitent cet usage, et ceux qui ne font rien pour l’empêcher. Chaque personne a donc le choix d’être exploiteur, exploité, complice ou engagé contre cette pratique infâme.
Je terminerais en mentionnant que c’est en donnant la parole à l’esclave que le citoyen libre s’engage réellement. La liberté première est l’expression. Elle est l’essence même de notre société.
A vos plumes !
Stanislas- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 24/09/2016
Re: L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
Je précise simplement, que ce texte fait trois pages en taille réelle.
Stanislas- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 10
Date d'inscription : 24/09/2016
Re: L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
Tu as 14 ans, c'est ça ? Ton texte est pas mal.
Pour bien commenter, j'aimerais savoir quelle connaissance tu as précisément du texte d'Aristote que tu commentes longuement et surtout quelles sont tes justifications derrière tes affirmations telles que : << même s’il réfute ses arguments au fur et à mesure >>.
Sinon, je dirais qu'il faudrait peut-être que tu ne te réduises pas à l'ordre chronologique dans l'énoncé de ton propos, et en particulier il faudrait commencer ton texte par une véritable introduction. Par ailleurs, c'est classique, mais il faudrait nuancer ton propos, en particulier quand tu parles de l'esclavage de nos jours, en parlant comme si c'était indubitablement de l'esclavage parce qu'il en est ainsi, alors que tu n'as pas même défini, introduit, présenté vraiment seulement, le mot d'esclavage. De façon générale, l'auteur d'un tel article se doit de respecter une certaine humilité. Ou bien tu présentes un réquisitoire, un appel, quelque chose, ce qui ne correspond pas vraiment au travail demandé ; et ce, même si celui-ci n'empêche pas de prendre position d'une certaine façon, mais, comme je disais, avec humilité.
Pour bien commenter, j'aimerais savoir quelle connaissance tu as précisément du texte d'Aristote que tu commentes longuement et surtout quelles sont tes justifications derrière tes affirmations telles que : << même s’il réfute ses arguments au fur et à mesure >>.
Sinon, je dirais qu'il faudrait peut-être que tu ne te réduises pas à l'ordre chronologique dans l'énoncé de ton propos, et en particulier il faudrait commencer ton texte par une véritable introduction. Par ailleurs, c'est classique, mais il faudrait nuancer ton propos, en particulier quand tu parles de l'esclavage de nos jours, en parlant comme si c'était indubitablement de l'esclavage parce qu'il en est ainsi, alors que tu n'as pas même défini, introduit, présenté vraiment seulement, le mot d'esclavage. De façon générale, l'auteur d'un tel article se doit de respecter une certaine humilité. Ou bien tu présentes un réquisitoire, un appel, quelque chose, ce qui ne correspond pas vraiment au travail demandé ; et ce, même si celui-ci n'empêche pas de prendre position d'une certaine façon, mais, comme je disais, avec humilité.
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Rêveur- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 24/03/2014
Re: L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
Bonjour Rêveur,
j'ai 14 ans c'est exact. Je tires d'une lecture d'un sujet ici même sur la vision d'Aristote sur l'esclavage à son époque. J'ai donc fait le lien avec mes connaissances acquises grâce au site imposé pour les recherches (l'esclavage moderne). Je vois ce que tu veux dire en terme d'introduction, il est vrai que je ne suis pas très fort pour en faire, en revanche, je dois replacer un peu le contexte. On s'est basé sur un texte : celui du Chevalier de Jaucourt qui expose plus sa pensée plutôt qu'un article et c'était justement le défi : réaliser un sujet d'invention en faisant une argumentation déguisé...
Je vais retravailler l'introduction et tenter d'enlever comme tu le dis cet effet un peu : l'esclavage ça existe et c'est comme ça. Merci pour tes informations et bonne journée.
j'ai 14 ans c'est exact. Je tires d'une lecture d'un sujet ici même sur la vision d'Aristote sur l'esclavage à son époque. J'ai donc fait le lien avec mes connaissances acquises grâce au site imposé pour les recherches (l'esclavage moderne). Je vois ce que tu veux dire en terme d'introduction, il est vrai que je ne suis pas très fort pour en faire, en revanche, je dois replacer un peu le contexte. On s'est basé sur un texte : celui du Chevalier de Jaucourt qui expose plus sa pensée plutôt qu'un article et c'était justement le défi : réaliser un sujet d'invention en faisant une argumentation déguisé...
Je vais retravailler l'introduction et tenter d'enlever comme tu le dis cet effet un peu : l'esclavage ça existe et c'est comme ça. Merci pour tes informations et bonne journée.
Stanislas- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 10
Date d'inscription : 24/09/2016
Re: L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
Stanislas a écrit:Je tires d'une lecture d'un sujet ici même sur la vision d'Aristote sur l'esclavage à son époque.
Hum... Ce serait bien quand même de lire le texte même d'Aristote. Pas toutes les Politiques, mais au moins le livre I, ou même simplement une liste des extraits concernés que tu auras trouvée quelque part. Je peux te la faire si tu veux.
En passant, récemment j'ai dû commenter un texte d'Aristote où il montre que toute cité est naturelle, et en passant que l'esclavage est naturel (Politiques I,1). Je peux t'envoyer mon travail si tu veux. Et du coup, dans mes recherches, j'ai trouvé ce lien : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/FE/13/esclavage.htm Je ne l'ai consulté que brièvement parce que l'objectif était avant tout de retrouver une information précise (avait-il bien rencontré un tyran ancien esclave, et si oui qui histoire de préciser la référence, et avant ou après la rédaction des Politiques), mais je m'y attarderai plus longuement plus tard, ça a l'air intéressant. En tout cas je t'invite à y jeter un coup d’œil ou même à le lire.
Stanislas a écrit: J'ai donc fait le lien avec mes connaissances acquises grâce au site imposé pour les recherches (l'esclavage moderne)
Donc on vous a demandé de consulter un site internet pour y puiser des informations, c'est ça ? Quel site ?
Stanislas a écrit:Je vois ce que tu veux dire en terme d'introduction, il est vrai que je ne suis pas très fort pour en faire, en revanche, je dois replacer un peu le contexte. On s'est basé sur un texte : celui du Chevalier de Jaucourt qui expose plus sa pensée plutôt qu'un article et c'était justement le défi : réaliser un sujet d'invention en faisant une argumentation déguisé...
Donc là tu présentes ton travail en tant que tel. Mais prends un peu de temps pour réfléchir à une introduction au sein du texte. L'essentiel, je dirais, c'est de cibler le sujet, éventuellement de définir l'esclavage sinon de commencer par rechercher ce que ça peut être ; et puis de donner les grandes lignes de ce qu'on peut en dire, de pourquoi on en parle, etc., bref quelque chose de général par opposition à la suite qui donne les détails. Un peu comme une introduction wikipédia, quoi : ce n'est pas une introduction très recherchée, en général, ça introduit simplement, sans autre vraie prétention (sauf peut-être pour les quelques très bons articles ; la qualité dépend des auteurs et du sujet, et certaines pages reçoivent des étoiles).
Stanislas a écrit:Je vais retravailler l'introduction et tenter d'enlever comme tu le dis cet effet un peu : l'esclavage ça existe et c'est comme ça.
Ce n'est pas exactement ça, quoique ta phrase puisse peut-être mal exprimer ce que tu veux dire. L'effet est : ça c'est de l'esclavage parce que je le dis. Forcément il faut avoir une certaine conviction quand on écrit, mais cherche bien à justifier, et pose-toi des questions sur ce que tu as écrit : "Est-ce que ça c'est vrai ? est-ce fondé ?"...
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Rêveur- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 1549
Localisation : ailleurs
Date d'inscription : 24/03/2014
Re: L'esclavage : son histoire par rapport à l'esclavage moderne
J'avais un message hier mais je vois qu'il n'est pas apparu.
Bref je te remercies en tout cas de ton aide car je le recopie pour demain.
Je retravaille cela maintenant :)
Bonne soirée.
Bref je te remercies en tout cas de ton aide car je le recopie pour demain.
Je retravaille cela maintenant :)
Bonne soirée.
Stanislas- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 10
Date d'inscription : 24/09/2016
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