La "dualité" du hasard
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La "dualité" du hasard
post 1/1
La "dualité" du hasard :
Le texte suivant présente la dualité du hasard dans le sens qu'il n'apparaisse pas en construisant le modèle suivant,
bien que toutefois c'est le hasard qui participe totalement à la construction de ce modèle:
On jete un dé (équilibré) de six faces et on obtiens par exemple 4.
On dira que la valeur obtenue constitue un fait exploitable et toujours dans l'exemple, il s'agit de donner 4 moutons à telle personne qui n'en a aucun.
Ce fait pour l'heureux bénéficiaire lui fait constater qu'il a 4 moutons et que pour tous ce fait sera tel que tous diront qu'il a 4 moutons.
à présent il s'agit, pour un ensemble de personnes de donner une quantité de moutons selon un tirage de dé.
Ainsi on crée de toute pièce un ensemble de personnes possédants des moutons dont la quantité varie au hasard (le jet de dé).
Ayant terminé à présent la distribution à l'ensemble de personne que l'on s'ai donné pour la construction du modèle présenté ici, on construit deux types de "COSMOS".
Le premier "COSMOS" est constitué d'un ensemble ne possédant qu'un seul élément (cet élément étant lui même un ensemble) et parlant de cet élément là,
il est l'ensemble de tous les individus avec chacun leur moutons
Dans le deuxième "COSMOS", il s'agit de l'ensemble de tous les individus avec chacun leur moutons.
Considérez bien que ces deux "COSMOS" tels que construits ici sont bien différents:
Le premier est un ensemble qui ne possède qu'un seul et unique élément tandis que le deuxième est un ensemble de personnes,
sa quantité d'éléments est donné par la quantité des personnes prises pour la construction de ce modèle
à présent on va encore refaire comme on a fait la première fois: on distribue des moutons au hasard et on place ces "faits" dans chacun des deux COSMOS
et selon la méthode précédente.
Ainsi lors de la deuxième distribution le premier "COSMOS" possède deux éléments (un seul lors de la première distribution),
tandis que le deuxième COSMOS possède toujours le même nombre d'éléments -la quantité des individus- mais lors de la seconde distribution
les individus possèdent plus de moutons que la première fois -un de étant numérote de 1 à 6 forcément il y en aura plus pour chacun des individus.
Puis on recommence ainsi de suite...on constate que dans le deuxième "COSMOS" le hasard tend à être de moins en moins apparent,
puisque à force les individus vont (le dé étant équilibré) avoir à peu près le même nombre de moutons
mais le premier COSMOS comment se présente t-il?
idem car en continuant ainsi on peut constater que chacun de ses sous ensembles sont à peu près identiques
puisque la construction ici respecte les faits mais peut on cependant dire qu'elle soit hasardeuse?
Cependant il y a un défaut dans ma construction (mais je le corrige ici)
Tous les cas où des distributions sont identiques ne sont pas comptabilisés: Il y a donc une perte de l'information.
On peut améliorer la construction telle qu'il y n'ai aucune perte et telle que donc on ne puisse pas se dire que tel sous ensemble est défini par le hasard:
Pour ce faire on peut attribuer à toute distribution un entier naturel (bijection de D vers N , D l'ensemble de toutes les distributions construites
et N l'ensemble des entiers naturels)
On admet, rien ne l'interdit, que l'on parle soit d'ensembles finis soit dénombrables (dans le cas contraire il faut encore modifier la construction),
de sorte que le cas où deux distributions sont identiques ne constitue plus de problème en terme de perte d'informations (viabilité du modèle)
Le hasard est bien "présent" puisque le modèle construit est "viable"
Remarque importante: Attribuer un entier naturel à chaque distribution ne suppose pas qu'on considère une relation d'ordre total sur cet ensemble.
Le fait d'attribuer une relation d'ordre total sur cet ensemble n'est pas une condition nécessaire dans la théorie des ensemble de Zermelo.
Par contre si le modèle présenté ici utiliserait ce type de relation alors celui-ci ne pourrait pas faire apparaitre cette dualité du hasard:
Dans le fait que sur le modèle présenté ici le hasard semble avoir complètement disparu alors qu'il participe totalement à cette construction
La "dualité" du hasard :
Le texte suivant présente la dualité du hasard dans le sens qu'il n'apparaisse pas en construisant le modèle suivant,
bien que toutefois c'est le hasard qui participe totalement à la construction de ce modèle:
On jete un dé (équilibré) de six faces et on obtiens par exemple 4.
On dira que la valeur obtenue constitue un fait exploitable et toujours dans l'exemple, il s'agit de donner 4 moutons à telle personne qui n'en a aucun.
Ce fait pour l'heureux bénéficiaire lui fait constater qu'il a 4 moutons et que pour tous ce fait sera tel que tous diront qu'il a 4 moutons.
à présent il s'agit, pour un ensemble de personnes de donner une quantité de moutons selon un tirage de dé.
Ainsi on crée de toute pièce un ensemble de personnes possédants des moutons dont la quantité varie au hasard (le jet de dé).
Ayant terminé à présent la distribution à l'ensemble de personne que l'on s'ai donné pour la construction du modèle présenté ici, on construit deux types de "COSMOS".
Le premier "COSMOS" est constitué d'un ensemble ne possédant qu'un seul élément (cet élément étant lui même un ensemble) et parlant de cet élément là,
il est l'ensemble de tous les individus avec chacun leur moutons
Dans le deuxième "COSMOS", il s'agit de l'ensemble de tous les individus avec chacun leur moutons.
Considérez bien que ces deux "COSMOS" tels que construits ici sont bien différents:
Le premier est un ensemble qui ne possède qu'un seul et unique élément tandis que le deuxième est un ensemble de personnes,
sa quantité d'éléments est donné par la quantité des personnes prises pour la construction de ce modèle
à présent on va encore refaire comme on a fait la première fois: on distribue des moutons au hasard et on place ces "faits" dans chacun des deux COSMOS
et selon la méthode précédente.
Ainsi lors de la deuxième distribution le premier "COSMOS" possède deux éléments (un seul lors de la première distribution),
tandis que le deuxième COSMOS possède toujours le même nombre d'éléments -la quantité des individus- mais lors de la seconde distribution
les individus possèdent plus de moutons que la première fois -un de étant numérote de 1 à 6 forcément il y en aura plus pour chacun des individus.
Puis on recommence ainsi de suite...on constate que dans le deuxième "COSMOS" le hasard tend à être de moins en moins apparent,
puisque à force les individus vont (le dé étant équilibré) avoir à peu près le même nombre de moutons
mais le premier COSMOS comment se présente t-il?
idem car en continuant ainsi on peut constater que chacun de ses sous ensembles sont à peu près identiques
puisque la construction ici respecte les faits mais peut on cependant dire qu'elle soit hasardeuse?
Cependant il y a un défaut dans ma construction (mais je le corrige ici)
Tous les cas où des distributions sont identiques ne sont pas comptabilisés: Il y a donc une perte de l'information.
On peut améliorer la construction telle qu'il y n'ai aucune perte et telle que donc on ne puisse pas se dire que tel sous ensemble est défini par le hasard:
Pour ce faire on peut attribuer à toute distribution un entier naturel (bijection de D vers N , D l'ensemble de toutes les distributions construites
et N l'ensemble des entiers naturels)
On admet, rien ne l'interdit, que l'on parle soit d'ensembles finis soit dénombrables (dans le cas contraire il faut encore modifier la construction),
de sorte que le cas où deux distributions sont identiques ne constitue plus de problème en terme de perte d'informations (viabilité du modèle)
Le hasard est bien "présent" puisque le modèle construit est "viable"
Remarque importante: Attribuer un entier naturel à chaque distribution ne suppose pas qu'on considère une relation d'ordre total sur cet ensemble.
Le fait d'attribuer une relation d'ordre total sur cet ensemble n'est pas une condition nécessaire dans la théorie des ensemble de Zermelo.
Par contre si le modèle présenté ici utiliserait ce type de relation alors celui-ci ne pourrait pas faire apparaitre cette dualité du hasard:
Dans le fait que sur le modèle présenté ici le hasard semble avoir complètement disparu alors qu'il participe totalement à cette construction
saphiraméthyste- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 108
Date d'inscription : 29/11/2014
Re: La "dualité" du hasard
on peut facilement modéliser cette expérience sur un tableur (excel par exemple), en utilisant une fonction qui génère un nombre aléatoire...
puzzl- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 67
Localisation : Arles
Date d'inscription : 23/06/2014
Re: La "dualité" du hasard
saphiraméthyste a écrit:post 1/1
le hasard semble avoir complètement disparu alors qu'il participe totalement à cette construction
Merci pour ce post, ayant une formation en mathématiques, j'apprécie fortement !
Voici mon commentaire,
qui confirme la proposition "le hasard passe inaperçu, à un stade élevé de récurrence".
Plus on remonte à la source, moins on peut retrouver comment s'est faite la construction depuis un temps avancé. Il y trop d'éléments, donc trop de façons dont la construction a pu se combiner. Le hasard ne disparaît tout de même pas, puisque si la série continue, il réapparaîtra à chaque nouvelle fois que l'on tire le dé, si cela continue. Mais le risque alors est de ne plus voir de changement dans l'ensemble, puisque qu'à un stade très avancé de récurrence, l'ensemble étant tellement gigantesque qu'une nouvelle apparition se fond dans la masse, d'où il résulte que le hasard passe inaperçu, étant lié à une nouvelle apparition elle-même difficile à déceler.
_________________
La vérité n'est que la simple découverte du monde
Re: La "dualité" du hasard
La fonction Alea d'excel n'est pas une vraie fonction aléatoire, c'est un algorithme qui construit une distribution qui ressemble à une distribution aléatoire. C'est tellement vrai que, dans excel notamment mais dans d'autres logiciels également, on peut obtenir deux séries identiques si on ne refait pas un calage aléatoire (manuel forcé, ou plus généralement basé sur l'horloge) entre les séries.
Bref, l'aléatoire en programmation est impossible à obtenir.
Pour en revenir au sujet d'améthyste dont on se demande un peu s'il ne s'est pas trompé de forum, je ne vois pas trop l'intérêt de cette construction.
Tout d'abord, je me base sur des souvenirs, je peux me tromper, mais il me semble bien qu'il y a une erreur probabiliste : "puisque à force les individus vont (le dé étant équilibré) avoir à peu près le même nombre de moutons". Je n'ai plus trop les moyens mathématiques de faire la courbe de distribution, mais je dirais qu'on tend plus vers une courbe de Gauss centrée sur 3.5 avec des éléments qui auront peu de moutons, d'autres baucoup, et une majorité qui aura 3.5 fois le nb de tirage.
Ensuite, que les tirage aléatoires successifs amènent du sens, oui, ce n'est pas nouveau, et je ne vois pas l'intérêt de ta construction. Tous les évènements aléatoires qui se reproduisent dans les mêmes conditions un grand nombre de fois suivent une loi statistique (loi normales, de poisson, binomiale, etc.). Pas la peine de créer des Cosmos pour s'en convaincre. Ou alors, j'ai raté une étape...
Bref, l'aléatoire en programmation est impossible à obtenir.
Pour en revenir au sujet d'améthyste dont on se demande un peu s'il ne s'est pas trompé de forum, je ne vois pas trop l'intérêt de cette construction.
Tout d'abord, je me base sur des souvenirs, je peux me tromper, mais il me semble bien qu'il y a une erreur probabiliste : "puisque à force les individus vont (le dé étant équilibré) avoir à peu près le même nombre de moutons". Je n'ai plus trop les moyens mathématiques de faire la courbe de distribution, mais je dirais qu'on tend plus vers une courbe de Gauss centrée sur 3.5 avec des éléments qui auront peu de moutons, d'autres baucoup, et une majorité qui aura 3.5 fois le nb de tirage.
Ensuite, que les tirage aléatoires successifs amènent du sens, oui, ce n'est pas nouveau, et je ne vois pas l'intérêt de ta construction. Tous les évènements aléatoires qui se reproduisent dans les mêmes conditions un grand nombre de fois suivent une loi statistique (loi normales, de poisson, binomiale, etc.). Pas la peine de créer des Cosmos pour s'en convaincre. Ou alors, j'ai raté une étape...
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Le Nord, c'est par là.
poussbois- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 1616
Localisation : Petites Antilles
Date d'inscription : 18/07/2012
Re: La "dualité" du hasard
Bonsoir,
En fait deux choses sont à différencier (j'ai été trop bref dans ma description) :
la première chose est que oui en fait comme vous le dites justement (là vous parlez du second "COSMOS" présenté ici) en répétant infiniment l'opération et comme le dé est équilibré effectivement tous les individus auront à peu près la même quantité de moutons
Cependant il n'est pas possible de dire à telle itération de l'opération combien possède, à l'unité près (exacte), tel individu on ne peux qu'en donner une estimation. C'est dans ce second "COSMOS" que l'on a cette approche habituelle envers le hasard.
Ici le hasard se présente tel qu'il est, la problématique reste qu'à toute itération il est impossible de décrire à l'unité près la situation de ce "COSMOS" on peut juste dire qu'en répétant l'itération à l'infini les individus auront le même nombre de moutons mais l'observation exacte est impossible car cette observation s'effectue sur une itération donnée et non sur l'infinité des itérations
ce "COSMOS" là est vu comme un ensemble de n individus -la quantité des individus auxquels on distribue des moutons- et chacun de ces individus sont vus comme étants un ensemble d'une quantitée donnée de moutons (ceux que cet individu là possède)
Enfin une derniere chose concernant ce premier point : ce deuxième "COSMOS" ne souffre d'aucune perte d'information:
tout mouton attribué est comptabilisé
la deuxième chose est que par contre dans le premier "COSMOS" présenté ici et bien qu'il n'y ai là encore aucune perte d'information, la notion de hasard disparait complètement puisque la situation de ce "COSMOS" ne dépend plus des distributions de moutons à chaque itération
ici la situation du "COSMOS" est vu comme étant un ensemble possédant la quantité d'itération au moment de son observation et chacune de ces itérations sont vues comme étant un ensemble de n individus-
l'observation ici ne se fait plus sur la quantité exacte de moutons que possède tel individu à telle itération car ici on retrouvera toujours le même individu dans plusieurs de ces sous ensembles (chaque itération étant un ensemble dont les éléments sont les individus)
c'est un peu comme si ici on observerait sur une itération donnée un individu pouvant avoir différentes quantités de moutons -ce qui n'est pas possible dans les faits
cette impossibilité rend donc caduque l'idée de voir dans toute observation de ce premier "COSMOS" la quantité de mouton que possède tel individu à telle itération donnée
les deux "COSMOS" sont produit par une même source "le jet d'un dé" mais leur observation diffèrent
dans celui dont vous parlez -le second "COSMOS" on y observe ce que l'on appelle communément l'action du hasard" mais dans l'autre on y observe qu'une simple loi purement déterministe, celle qui fait qu'à chaque itération on ne peut qu'observer la quantité d'itération de l'expérimentation depuis le debut qu'elle a commencé
d'où cette dualité...
En fait deux choses sont à différencier (j'ai été trop bref dans ma description) :
la première chose est que oui en fait comme vous le dites justement (là vous parlez du second "COSMOS" présenté ici) en répétant infiniment l'opération et comme le dé est équilibré effectivement tous les individus auront à peu près la même quantité de moutons
Cependant il n'est pas possible de dire à telle itération de l'opération combien possède, à l'unité près (exacte), tel individu on ne peux qu'en donner une estimation. C'est dans ce second "COSMOS" que l'on a cette approche habituelle envers le hasard.
Ici le hasard se présente tel qu'il est, la problématique reste qu'à toute itération il est impossible de décrire à l'unité près la situation de ce "COSMOS" on peut juste dire qu'en répétant l'itération à l'infini les individus auront le même nombre de moutons mais l'observation exacte est impossible car cette observation s'effectue sur une itération donnée et non sur l'infinité des itérations
ce "COSMOS" là est vu comme un ensemble de n individus -la quantité des individus auxquels on distribue des moutons- et chacun de ces individus sont vus comme étants un ensemble d'une quantitée donnée de moutons (ceux que cet individu là possède)
Enfin une derniere chose concernant ce premier point : ce deuxième "COSMOS" ne souffre d'aucune perte d'information:
tout mouton attribué est comptabilisé
la deuxième chose est que par contre dans le premier "COSMOS" présenté ici et bien qu'il n'y ai là encore aucune perte d'information, la notion de hasard disparait complètement puisque la situation de ce "COSMOS" ne dépend plus des distributions de moutons à chaque itération
ici la situation du "COSMOS" est vu comme étant un ensemble possédant la quantité d'itération au moment de son observation et chacune de ces itérations sont vues comme étant un ensemble de n individus-
l'observation ici ne se fait plus sur la quantité exacte de moutons que possède tel individu à telle itération car ici on retrouvera toujours le même individu dans plusieurs de ces sous ensembles (chaque itération étant un ensemble dont les éléments sont les individus)
c'est un peu comme si ici on observerait sur une itération donnée un individu pouvant avoir différentes quantités de moutons -ce qui n'est pas possible dans les faits
cette impossibilité rend donc caduque l'idée de voir dans toute observation de ce premier "COSMOS" la quantité de mouton que possède tel individu à telle itération donnée
les deux "COSMOS" sont produit par une même source "le jet d'un dé" mais leur observation diffèrent
dans celui dont vous parlez -le second "COSMOS" on y observe ce que l'on appelle communément l'action du hasard" mais dans l'autre on y observe qu'une simple loi purement déterministe, celle qui fait qu'à chaque itération on ne peut qu'observer la quantité d'itération de l'expérimentation depuis le debut qu'elle a commencé
d'où cette dualité...
saphiraméthyste- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 108
Date d'inscription : 29/11/2014
Re: La "dualité" du hasard
Bonsoir
j'ai été trop bref dans ma description je modifie mon dernier post pour plus de clarté dans mon propos
j'ai été trop bref dans ma description je modifie mon dernier post pour plus de clarté dans mon propos
saphiraméthyste- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 108
Date d'inscription : 29/11/2014
Re: La "dualité" du hasard
Le réel use de toutes les stratégies pour se manifester.
Ici : Le plus petit cube parfait le symbolisme puissant du 63 se voit comme le nez au milieu du visage.
Hélas la dissonance cognitive arrive à la rescousse de sorte qu'il soit possible de tout nier, en bloc.
"Je ne crois pas aux fantômes mais j'en air peur". "Je sais bien mais tout de même ..."
Pourquoi d'emblée rejeter en bloc ce qui dérange la doxa confortable ?
Allez zou, on botte en touche. ... " Ça j'peux pas vous dire s'pas, je peux pas, j'n'en peux plus ..." - Louis de Funès.
Mystère de l'angoisse existentielle qui n'autorise à voir que ce qui conforte l'égo dans son cheminement ... hasardeux.
Il n' y a pas de hasarun ni de hasartrois. Seule la dualité se laisse berner par la prégnance de l'immédiat.
Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous.
La dualité 42 issue d'une source issue du néant 0
21042 : carrément un message prophétique
"Vingt et un mille quarante deux" = 21042 (a=63, b=126, ...)
Dois-je aligner toutes les lettres et leur correspondance numérale, dont l'addition, pour rappel, fait bel et bien 21042 ?
Il y a pratiquement 20 ans que j'attends un avis d'ordre métaphysique concernant ce phénomène hallucinant.
Rien, nothing, calme plat. Comment fonctionne le cerveau humain ?
Quelle est la probabilité d'un tel phénomène ? Est-elle seulement évaluable ?
Parler de hasard, c'est avoir un sérieux problème.
Allez zou : poubelle. Nan mais qu'est-ce qui peut déc°nner ce tyyype ! Complètement zinzin !
Ici : Le plus petit cube parfait le symbolisme puissant du 63 se voit comme le nez au milieu du visage.
Hélas la dissonance cognitive arrive à la rescousse de sorte qu'il soit possible de tout nier, en bloc.
"Je ne crois pas aux fantômes mais j'en air peur". "Je sais bien mais tout de même ..."
Pourquoi d'emblée rejeter en bloc ce qui dérange la doxa confortable ?
Allez zou, on botte en touche. ... " Ça j'peux pas vous dire s'pas, je peux pas, j'n'en peux plus ..." - Louis de Funès.
Mystère de l'angoisse existentielle qui n'autorise à voir que ce qui conforte l'égo dans son cheminement ... hasardeux.
Il n' y a pas de hasarun ni de hasartrois. Seule la dualité se laisse berner par la prégnance de l'immédiat.
Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous.
La dualité 42 issue d'une source issue du néant 0
21042 : carrément un message prophétique
"Vingt et un mille quarante deux" = 21042 (a=63, b=126, ...)
Dois-je aligner toutes les lettres et leur correspondance numérale, dont l'addition, pour rappel, fait bel et bien 21042 ?
Il y a pratiquement 20 ans que j'attends un avis d'ordre métaphysique concernant ce phénomène hallucinant.
Rien, nothing, calme plat. Comment fonctionne le cerveau humain ?
Quelle est la probabilité d'un tel phénomène ? Est-elle seulement évaluable ?
Parler de hasard, c'est avoir un sérieux problème.
Allez zou : poubelle. Nan mais qu'est-ce qui peut déc°nner ce tyyype ! Complètement zinzin !
enerlibr- Digressi(f/ve)
- Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 02/09/2024
Re: La "dualité" du hasard
Avant d'en juger, j'aimerais bien essayer de comprendre, personnellement.
Je comprends donc que tu parles de l'addition des correspondances numérales des lettres de l'alphabet latin. Avec a=63, b=126, c=252 je suppose, etc. on obtient finalement 21042. C'est bien cela ?
Admettons.
Mais qu'est-ce qui justifie que tu commences par poser a=63 ?
Je comprends donc que tu parles de l'addition des correspondances numérales des lettres de l'alphabet latin. Avec a=63, b=126, c=252 je suppose, etc. on obtient finalement 21042. C'est bien cela ?
Admettons.
Mais qu'est-ce qui justifie que tu commences par poser a=63 ?
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...que vont charmant masques et bergamasques...
Bergame- Persona
- Nombre de messages : 5358
Date d'inscription : 03/09/2007
Re: La "dualité" du hasard
Déjà, merci de ne pas m'éjecter comme vecteur de pensées non politiquement correctes sur base d'a priori irréfutable.
Ensuite, lors de rares réponses sur ce sujet, je suis toujours bluffé par l'apparente ignorance relativement à ce dont question ici,
à savoir le sens immédiat délivré par certains nombres, pas tous.
Alors, petite leçon de choses (humour) : 63 est d'un symbolisme puissant. Pourquoi le jeu de l'oie comporte-t-il 63 cases ?
63 précède 64, encore plus puissant. Je suis triste de constater que les gens n'accrochent pas.
Par analogie avec le vécu des hommes, je risque l'équation 63 = le démiurge ou créateur à l'œuvre sur la terre.
64 = Dieu, éternellement retiré dans sa séité, inaccessible seulement par l'extrême pauvreté (Eckhart) ou le Tao, voir notamment le Yi King.
Navré que ceci ne vous parle aucunement : 63 * 64 ! 4032
L'insertion de ce zéro apparemment incongru est significatif d'un isolement accompagné d'un mouvement.
9 est symbolique du changement, Hermès en parle longuement dans la Table d'émeraude.
Voir le symbolisme de 108. "Homme" = 54 (a=1)
108 * 4 = 432
"432" = 2340 (a=9)
"234" = 2340 (a=9)
L'homme est un palindrome : 432 est le palindrome de 234
432 + 234 = 666 , tiens tiens, que c'est bizarre.
Je pourrais discutailler sur la position du zéro et la signification à en tirer mais là je vais me faire descendre en flammes, ha ha !
Comment est-il possible de ne pas rester scotché devant ce cube, les yeux exorbités ? ==> 63
Je dois avoir un cerveau aux neurones configurés bizarrement, un peu comme certaines personnes qui ont une mémoire quasi infinie.
La question n'est pas ma petite personne, je dis juste en vitesse que le symbolisme des nombres est d'une richesse infinie
et que je voyage dans ce monde en le lisant comme dans un livre ouvert.
21042 : Vous aurez remarqué que 21 + 42 = 63
Petite digression : Ce type de formulation me semble insultante : Que vient faire ce futur incongru ?
C'est encore pire avec : "Il ne vous aura pas échappé que ..."
Quand ? Quand vous vous serez résigné à mettre un terme à votre c°nnerie et à voir les choses telles que je les vois ?
Fin de digression, humoristique, je précise.
Donc : Pourquoi le millier (21) se retrouve-t-il doublé dans l'unité (42) ?
Est-ce que, une fois encore, il faut appeler le hasard à la rescousse de l'esprit secoué dans ses fondements ?
Pour moi, ça fait immédiatement sens mais je ne vais tout de même pas vous agresser parce que votre cerveau fonctionne différemment du mien.
Maintenant, vous pouvez vérifier avec ce logiciel en ligne : ici
"vingt et un mille quarante deux" = 3006 (a=9) = 21042 (a=63)
7 * 9 = 63 ---> 3006 * 7 = 21042
Comme je le disais l' autre jour : Quelle est la probabilité d'une telle occurrence ? Est-il seulement possible de l'estimer ?
Finalement, ce sujet se résume à la seule question qui vaille : À partir de quand estime-t-on un concept novateur comme irrecevable ?
En vertu de quel principe, sur base de quel critère ne s'autorise-t-on à ne voir le réel que muni de lunettes polarisantes ?
je ne serais ni plus ni moins heureux si je vous convainquais que cet aspect de l' univers holographique est digne d'intérêt.
Après tout, l'art de vivre, n'est-il pas d'abord celui de s'en étonner ?
Ensuite, lors de rares réponses sur ce sujet, je suis toujours bluffé par l'apparente ignorance relativement à ce dont question ici,
à savoir le sens immédiat délivré par certains nombres, pas tous.
Alors, petite leçon de choses (humour) : 63 est d'un symbolisme puissant. Pourquoi le jeu de l'oie comporte-t-il 63 cases ?
63 précède 64, encore plus puissant. Je suis triste de constater que les gens n'accrochent pas.
Par analogie avec le vécu des hommes, je risque l'équation 63 = le démiurge ou créateur à l'œuvre sur la terre.
64 = Dieu, éternellement retiré dans sa séité, inaccessible seulement par l'extrême pauvreté (Eckhart) ou le Tao, voir notamment le Yi King.
Navré que ceci ne vous parle aucunement : 63 * 64 ! 4032
L'insertion de ce zéro apparemment incongru est significatif d'un isolement accompagné d'un mouvement.
9 est symbolique du changement, Hermès en parle longuement dans la Table d'émeraude.
Voir le symbolisme de 108. "Homme" = 54 (a=1)
108 * 4 = 432
"432" = 2340 (a=9)
"234" = 2340 (a=9)
L'homme est un palindrome : 432 est le palindrome de 234
432 + 234 = 666 , tiens tiens, que c'est bizarre.
Je pourrais discutailler sur la position du zéro et la signification à en tirer mais là je vais me faire descendre en flammes, ha ha !
Comment est-il possible de ne pas rester scotché devant ce cube, les yeux exorbités ? ==> 63
Je dois avoir un cerveau aux neurones configurés bizarrement, un peu comme certaines personnes qui ont une mémoire quasi infinie.
La question n'est pas ma petite personne, je dis juste en vitesse que le symbolisme des nombres est d'une richesse infinie
et que je voyage dans ce monde en le lisant comme dans un livre ouvert.
21042 : Vous aurez remarqué que 21 + 42 = 63
Petite digression : Ce type de formulation me semble insultante : Que vient faire ce futur incongru ?
C'est encore pire avec : "Il ne vous aura pas échappé que ..."
Quand ? Quand vous vous serez résigné à mettre un terme à votre c°nnerie et à voir les choses telles que je les vois ?
Fin de digression, humoristique, je précise.
Donc : Pourquoi le millier (21) se retrouve-t-il doublé dans l'unité (42) ?
Est-ce que, une fois encore, il faut appeler le hasard à la rescousse de l'esprit secoué dans ses fondements ?
Pour moi, ça fait immédiatement sens mais je ne vais tout de même pas vous agresser parce que votre cerveau fonctionne différemment du mien.
Maintenant, vous pouvez vérifier avec ce logiciel en ligne : ici
"vingt et un mille quarante deux" = 3006 (a=9) = 21042 (a=63)
7 * 9 = 63 ---> 3006 * 7 = 21042
Comme je le disais l' autre jour : Quelle est la probabilité d'une telle occurrence ? Est-il seulement possible de l'estimer ?
Finalement, ce sujet se résume à la seule question qui vaille : À partir de quand estime-t-on un concept novateur comme irrecevable ?
En vertu de quel principe, sur base de quel critère ne s'autorise-t-on à ne voir le réel que muni de lunettes polarisantes ?
je ne serais ni plus ni moins heureux si je vous convainquais que cet aspect de l' univers holographique est digne d'intérêt.
Après tout, l'art de vivre, n'est-il pas d'abord celui de s'en étonner ?
Dernière édition par enerlibr le Mer 25 Sep 2024 - 12:34, édité 1 fois
enerlibr- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 02/09/2024
Re: La "dualité" du hasard
Tu as le droit de regarder le réel avec les lunettes que tu veux. Pour ma part, j'essaie simplement de comprendre ce que tu dis. D'accord ?
Donc, "63" est puissant, dis-tu. En quoi ? Parce que 6=2x3 et qu'il y a 63 cases dans un jeu de l'oie ? Comme ça, a priori, je ne vois pas trop ce que ça a de "puissant" ?
Et seconde question, plus générale : Quelle est la démonstration que tu suis, en fait ? Qu'est-ce que tu cherches à montrer, au final, que les autres ne voient supposément pas ?
Donc, "63" est puissant, dis-tu. En quoi ? Parce que 6=2x3 et qu'il y a 63 cases dans un jeu de l'oie ? Comme ça, a priori, je ne vois pas trop ce que ça a de "puissant" ?
Et seconde question, plus générale : Quelle est la démonstration que tu suis, en fait ? Qu'est-ce que tu cherches à montrer, au final, que les autres ne voient supposément pas ?
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...que vont charmant masques et bergamasques...
Bergame- Persona
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Re: La "dualité" du hasard
Nous ne parlons pas le même langage. Votre questionnement puéril me laisse sans voix.Bergame a écrit:Tu as le droit de regarder le réel avec les lunettes que tu veux. Pour ma part, j'essaie simplement de comprendre ce que tu dis. D'accord ?
Donc, "63" est puissant, dis-tu. En quoi ? Parce que 6=2x3 et qu'il y a 63 cases dans un jeu de l'oie ? Comme ça, a priori, je ne vois pas trop ce que ça a de "puissant" ?
Et seconde question, plus générale : Quelle est la démonstration que tu suis, en fait ? Qu'est-ce que tu cherches à montrer, au final, que les autres ne voient supposément pas ?
Depuis que je glose ici, je crois m'être exprimé le mieux possible et avoir dit le principal qui soit intelligible et surtout plausible, c.à d. digne d'être plaidé.
Vous avez le droit de ne pas applaudir.
Que tout aille bien.
enerlibr- Digressi(f/ve)
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Re: La "dualité" du hasard
Bon.
Si quelqu'un d'autre peut m'expliquer, je suis tout ouïe.
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Re: La "dualité" du hasard
Désolé, je n'ai jamais réussi à être quelqu'un d'autre, sauf dans une expérience de pensée.Bergame a écrit:Bon.
Si quelqu'un d'autre peut m'expliquer, je suis tout ouïe.
Soyez moi et voyez le bas de cette page : Planètes
enerlibr- Digressi(f/ve)
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