Note d'introduction
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Note d'introduction
Note introductive à Jacques Rigaut:
Vous auriez bien rit qu'on s'intéresse à un miroir, à un mort
Au plutôt vous auriez eu la regrettable surprise d'admettre qu'on s'intéresse à vous.
Pourtant les pages NRF de vos Ecrits ont l’odeur du fade, le papier ne révèle pas les fragrances d’un folio classique, mais plutôt l’ennui de quelques best seller modernes.
Ces pages me font penser à vous, à votre écriture désinvolte et dilettante, une écriture qui se joue du but qu’on lui donne, qui existe seulement pour parer à quelques choses d’inexistant, d’invisible.
Souvent je l'hume, la touche.
Elle parait froide, distante, imprégnée de l’appréhension d’un recul imposé.
Et comme à chaque fois, je m’enivre dans cette écriture errance, cette écriture du double.
On connaît déjà la fin de l’histoire, mais c’était évident, rien n’est trahi, rien n’est gâché .
Votre écriture n’a pas la sensiblerie, ou la chaleur d’un journal. Votre œuvre n’est pas une fiction ou une succession de textes sans liens, sans commun, c’est vous que vous écrivez.
Quand vous vous essayez à un roman, c’est encore vous. Vous ou un Lord, Vous ou Max, Vous ou la mort.
Rigaut, Patchogue, rien de plus semblable, rien de plus vrai.
« L’envers vaut l’endroit, il fallait s’en douter ».
Ps: J'écris ceci après "l'hommage" rendu à Rigaut par son Biographe actuel:
:: 5.6.07 ::
Lettre à Jacques Rigaut:
http://rigaut.blogspot.com/
que j'ai trouvé assez mauvais.
Suivront à cette note introductive "personnelle", un article ou plusieurs sur l'oeuvre de Jacques Rigaut et son analyse.
Pour sa biographie, si mauvais soit l'article depuis sa dernière retouche:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Rigaut
Vous auriez bien rit qu'on s'intéresse à un miroir, à un mort
Au plutôt vous auriez eu la regrettable surprise d'admettre qu'on s'intéresse à vous.
Pourtant les pages NRF de vos Ecrits ont l’odeur du fade, le papier ne révèle pas les fragrances d’un folio classique, mais plutôt l’ennui de quelques best seller modernes.
Ces pages me font penser à vous, à votre écriture désinvolte et dilettante, une écriture qui se joue du but qu’on lui donne, qui existe seulement pour parer à quelques choses d’inexistant, d’invisible.
Souvent je l'hume, la touche.
Elle parait froide, distante, imprégnée de l’appréhension d’un recul imposé.
Et comme à chaque fois, je m’enivre dans cette écriture errance, cette écriture du double.
On connaît déjà la fin de l’histoire, mais c’était évident, rien n’est trahi, rien n’est gâché .
Votre écriture n’a pas la sensiblerie, ou la chaleur d’un journal. Votre œuvre n’est pas une fiction ou une succession de textes sans liens, sans commun, c’est vous que vous écrivez.
Quand vous vous essayez à un roman, c’est encore vous. Vous ou un Lord, Vous ou Max, Vous ou la mort.
Rigaut, Patchogue, rien de plus semblable, rien de plus vrai.
« L’envers vaut l’endroit, il fallait s’en douter ».
Ps: J'écris ceci après "l'hommage" rendu à Rigaut par son Biographe actuel:
:: 5.6.07 ::
Lettre à Jacques Rigaut:
http://rigaut.blogspot.com/
que j'ai trouvé assez mauvais.
Suivront à cette note introductive "personnelle", un article ou plusieurs sur l'oeuvre de Jacques Rigaut et son analyse.
Pour sa biographie, si mauvais soit l'article depuis sa dernière retouche:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Rigaut
lekhan- Digressi(f/ve)
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Date d'inscription : 01/09/2007
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