Stéphane Debove, un copain.

[Saint-Ex]

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Stéphane Debove a écrit deux ouvrages.

Pourquoi notre cerveau a inventé le bien et le mal

Quatrième de couverture :

« C'est la seule chose morale à faire. » D'où viennent ces jugements moraux qui, de nombreuses fois par jour, contraignent nos comportements et nous poussent à agir contre nos intérêts ? Serions-nous tous prédisposés à la naissance à devenir des êtres moraux, équipés d'un « sens moral » ? Si oui, à quoi aurait pu servir ce sens au cours de l'évolution ? Et alors, comment expliquer que les jugements moraux varient tellement d'une société à l'autre et que l'on observe encore tant de comportements immoraux autour de nous ? Et les animaux, sont-ils « moraux » eux aussi ? Un biologiste de l'évolution et vulgarisateur hors pair s'empare de toutes ces questions fascinantes pour y apporter des réponses qui le sont tout autant.

À qui profite (vraiment) la génétique ?
sous-titré :
Pourquoi la biologie du comportement humain ne condamne pas le progrès social

Quatrième de couverture :

Des recherches scientifiques pour découvrir des « gènes de l’intelligence » ou des « gènes de l’homosexualité ». La possibilité que l’agressivité ou l’infidélité soient « génétiques », « dans la nature humaine ». Que l’on puisse justifier ses mauvais comportements par un « c’est pas ma faute, c’est la faute à mes gènes ». Que les hommes et les femmes aient des cerveaux différents. Que nos vies soient en partie déterminées par nos gènes.

Ce n'est pas seulement pour faire un peu de publicité que je présente ici les deux livres de mon copain (ça ne lui fera certainement pas de mal, cependant), mais pour indiquer ici deux exemples de sciences du vivant qui pourraient contribuer à rassasier les voraces de la curiosité des faits.

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