Arrête un moment
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Arrête un moment
Arrête un moment !
Arrête un moment te béniront mon récit et moi
Ne trahit pas celui qui le siècle a trahit
Je suis expert de tristesse depuis ma tendre enfance
Mon accompagnante que je ne quitte point quand je la rencontre
Elle a une main que nulle montagne ne supporte
Elle me prend comme renversé, un nouveau né par les pieds
Elle me porte comme un faucon portant sa proie
Volant au-dessus des nuages, les dépassants
Si je fuis ses griffes me tomberai-je écrasée
Si je reste sans doute sera-je dévorée
Mon seul salut envers mes tueurs que si je meurs avant eux
La mort n’épargne personne
Quand la mort vise une cible
Nul ne peut l’éviter
Nous sommes les péchés de la mort
Et ils sont ses privilégiés
Quand elle leur demande compte
Ils ont quoi à dire et justifier
Mais ma mort dans mon pays les laisse en vain sans réponse
La mort ne préfère que nous comme proie
Comme si nous étions ses proches et sa famille
Je vois le fils de la beauté non servi par sa beauté
Jamais un mort n’est couvert de ses qualités
Sur l’information nocturne
Je vois la pelle de la mort se lève et se bat
A nous la mort tisse sans fatigue
Chaque nuit son drapeau
Le siècle ne nous accepte pas comme allié
Et nous ne l’aimons pas ennemi à combattre
Traduit par Tribak (Boutros)
Arrête un moment te béniront mon récit et moi
Ne trahit pas celui qui le siècle a trahit
Je suis expert de tristesse depuis ma tendre enfance
Mon accompagnante que je ne quitte point quand je la rencontre
Elle a une main que nulle montagne ne supporte
Elle me prend comme renversé, un nouveau né par les pieds
Elle me porte comme un faucon portant sa proie
Volant au-dessus des nuages, les dépassants
Si je fuis ses griffes me tomberai-je écrasée
Si je reste sans doute sera-je dévorée
Mon seul salut envers mes tueurs que si je meurs avant eux
La mort n’épargne personne
Quand la mort vise une cible
Nul ne peut l’éviter
Nous sommes les péchés de la mort
Et ils sont ses privilégiés
Quand elle leur demande compte
Ils ont quoi à dire et justifier
Mais ma mort dans mon pays les laisse en vain sans réponse
La mort ne préfère que nous comme proie
Comme si nous étions ses proches et sa famille
Je vois le fils de la beauté non servi par sa beauté
Jamais un mort n’est couvert de ses qualités
Sur l’information nocturne
Je vois la pelle de la mort se lève et se bat
A nous la mort tisse sans fatigue
Chaque nuit son drapeau
Le siècle ne nous accepte pas comme allié
Et nous ne l’aimons pas ennemi à combattre
Traduit par Tribak (Boutros)
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