COSMOLOGIE

[Omer Desseres]

Le mathématicien et philosophe des science Roger Penrose s'appuie sur ce genre de graphisme d'Escher pour expliquer sa «géométrie conforme», origine d'un multivers particulier. La disparition progressive de tout motif pictural dans le bas de l'œuvre équivaut à la disparition de la masse et du temps prédite au bout de milliards et de milliards d'années par la cosmologie moderne.

Alors, à la disparition complète de l'univers, la sorte de néant prévue dans l'avenir extrêmement lointain sera exactement le même que celle du big bang de l'univers dans lequel nous vivons aujourd'hui, nous dit Penrose.

Si nous acceptons que des causes similaires on des effets similaires, alors un autre big bang aura lieu dans quelques milliards de milliards d'années. Il sera le même que «notre» big bang «à nous». Une telle répétition n'a eu aucun début et n'aura aucune fin.

Nietzsche, qui a tenté de s'appuyer sur la science de son époque pour justifier sont Éternel Retour du Même, aurait été intéressé par la cosmologie de Roger Penrose.

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[Omer Desseres]

Ce serait drôle. Un simple "reset" en quelque sorte.
Mais comment et pourquoi l'univers, qui est actuellement en expansion autant que nous le sachions, verrait son mouvement s'inverser dans le sens d'une contraction ?

[Omer Desseres]

Ce serait drôle. Un simple "reset" en quelque sorte.
Mais comment et pourquoi l'univers, qui est actuellement en expansion autant que nous le sachions, verrait son mouvement s'inverser dans le sens d'une contraction ?

Roger Penrose a une vue différente que celle d'une contraction et d'un Big Crunch.

Il fonde son raisonnement sur le fait que lorsque l'univers actuel aura atteint sa limite ultime d'expansion, de refroidissement, de disparition de sa masse et de son temps, alors il sera exactement dans le même état qu'au moment de son big Bang, qui a eu lieu il y a 13,8 milliards d'années.

Un nouveau Big Bang aura donc lieu.

Et le cycle continuera >>> 1) Big Bang - 2) Expansion - 3) Disparition - 1) Big Bang - 2) Expansion - 3) Disparition - 1) Big Bang - 2) Expansion ... ainsi de suite, sans interruption, éternellement.

L'éternité de l'infinie multitude des univers touche autant le passé que le futur.

Avec cette théorie le nombre des moteurs immobiles d'Aristote sont infinis et prennent la forme du néant physique entre les univers qui se succèdent sans fin.

Cette théorie de Penrose est une cosmologie tout ce qu'il y a de plus contre-intuitif en ce sens que le rien est une conséquence du tout, et ce tout est une conséquence du rien.

En fait, ce qui pourrait sauver le multivers de Penrose, c'est le concept de branes de la théorie des cordes, qui pourraient échapper à la disparition générale à cause de leur petitesse quasi infinie à l'échelle quantique de la longueur de Planck. Une vibration à l'unisson des cordes pourraient causer la transformation d'une gigantesque énergie en une gigantesque masse (voir E=MC2).

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[Omer Desseres]

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Je tombe à l'instant sur une vidéo expliquant bien la théorie du «multivers» de Roger Penrose, qui n'est justement pas un multivers.

(en anglais malheureusement)




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[Omer Desseres]

Vu le titre, je vais digresser gravement. Les infos d'Omer sont un peu datées. En 2011 (à vérifier), un prix Nobel de physique a salué la découverte de l'augmentation de la vitesse de l'expansion de l'univers. Un fait très défavorable à un Big Crunch. Donc ? Un Univers de plus en plus dilaté. Et " froid " (thermodynamique). Et il n'y a qu'une chose capable de générer de l'énergie à partir de l'inerte : la vie.

En effet, le Big Brunch a été définitivement écarté.

Et en effet, l'univers est de plus en plus dilaté et de plus en plus froid.

Mais, au contraire, non, il n'y a pas qu'une chose capable de générer de l'énergie à partir de l'inerte : la vie.

D'abord parce l'énergie ne se génère pas, elle se transforme.

Et ensuite parce que la quasi totalité de l'énergie de l'univers existe sous une forme dont nous ne connaissons rien sauf qu'on constate qu'elle est la cause de l'expansion en accélération de l'espace.

Et ensuite aussi parce que la transformation de la masse appelée à disparaître (même celle des trous noirs) avec l'expansion en accélération de l'espace se transformera progressivement en énergie, qui, elle augmentera en conséquence à mesure de l'expansion en accélération de l'espace.

La théorie de Roger Penrose et des astrophysiciens d'accord avec lui, c'est qu'au terme de l'expansion en accélération de l'espace, avec son refroidissement au 0 de la mesure en Kelvin (impossible d'aller en dessous de cette température, qui interdit tout mouvement, y compris ceux des particules élémentaires) il y aura eu une augmentation inimaginable de l'énergie et une disparition quasi-totale de la masse et donc aucun limite à une inflation d'une vitesse supérieure à celle de la lumière.

L'inflation future sera exactement la même que l'inflation passée.

Et le Big Bang aura disparu de la cosmologie d'un univers unique mais en cycles de transformations de nature identiques et éternelles.

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[Omer Desseres]

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L'originalité des explications de Roger Penrose a conduit quelques astrophysiciens à exprimer une convergence surprenante sur l'état de la cosmologie actuelle.

Les découvertes ponctuelles de l'astrophysique constituent les pièces du puzzle cosmologique qui se forme à l'esprit d'astrophysiciens de plus en plus nombreux.

Les pièces du puzzle en question sont les suivantes.

1 )  Non seulement l'univers est en expansion, mais cette expansion est en accélération.

2 )  Une énergie dont nous ne connaissons rien s'exerce sur cette expansion en accélération et cette énergie est elle-même en constante augmentation.

3 ) Le temps s'écoule à une vitesse presqu'égale à zéro à mesure que la masse disparaît presqu'entièrement sous l'effet d'un Big Tear (grand déchirement) provoqué par l'accélération de l'expansion de l'univers.

4 )  De gigantesques espaces sont vides de toute étoile et de toute galaxie, mais sont occupés par de gigantesque fluctuations électro-magnétiques.

5 ) Le télescope James Web vient de détecter des galaxies dont le gigantisme assure qu'elles ont eu besoin de plusieurs milliards d'années pour se former, or elles semble n'exister que depuis seulement 300 à 500 millions années après le Big Bang de la théorie cosmologique admise par le plus grand nombre.

Le puzzle de la convergence d'une nouvelle cosmologie à partir d'un assemblage logique des pièces de ce puzzle peut s'expliquer comme suit :

Rien n'indique que l'accélération de l'expansion de l'univers va ralentir. Cette accélération va probablement se poursuivre pendant les milliards et les milliards de milliards d'années qui vont s'accumuler même lorsque le temps ne sera égal qu'à une fraction de milliardième de milliardième de sa vitesse d'écoulement actuelle.

La logique de cette prévision, c'est que l'espace presque vide de matière va augmenter à une vitesse non retenue par quoi que ce soit, même par la vitesse de la lumière du camarade Einstein, sous la poussée d'une énergie dont nous ne savons rien mais qui aura dégagé une puissance dépassant l'entendement en s'exerçant sur l'espace.

Cette augmentation sera exactement la même que celle de l'inflation de la cosmologie actuelle, mais avec la réalisation finale de la fameuse formule E=MC2 du camarade Einstein.

Digression.
Pour bien comprendre ce que signifie cette formule E=MC2, disons que l'élément C2 n'a pas plus d'importance que celle d'indiquer une quantité. On peut d'ailleurs la transformer en M/C2=M sans en changer la réalité. Ce qui est le plus important, c'est de comprendre que la masse, c'est de l'énergie, et que l'énergie, c'est de la masse.

Digression dans la digression..
Si l'on fait l'addition de toutes les masses indiquées par le tableau des éléments constituant un être humain, on obtient un résultat inférieur à la masse du corps de l'être humain en question. Le reste de la masse de cet humain, c'est l'énergie nécessaire à tout vivant pour être vivant, et même mort. Notons qu'un vivant posé sur une balance et qui meurt subitement pourra peser subitement un tout petit peu moins, car une petit partie de son énergie et donc de sa masse aura été dissipée dans l'environnement, ce que nous ne dirons pas aux croyants juifs, chrétiens et musulmans tentés de déduire que cela est la preuve de la pesée de l'âme quittant le corps pour rejoindre Yahvé, Dieu et Allah. Nota, chaque croyant pourra faire l'expérience avec un cochon et constater l'existence de l'âme de ce divin animal mis par exemple en morte Adèle qui chantera moins bien après son décès.

Digression dans la digression de la digression.
La fameuse formule  E=MC2 a été attribuée au copain Einstein qui avait alerté Roosevelt de la possible fabrication de la bombe atomique par l'Allemagne nazie. La vérité, c'est qu'Einstein avait alerté Roosevelt par mesure humaniste et c'est tout. En réalité il ne savait absolument rien de la fission nucléaire, qui a été théorisée à partir des travaux d'autres scientifiques s'étant penchés sur les étonnantes propriétés de l'uranium 235.

Fin de la(les) digressions(s)

Si nous prenons la signification de la formule E=MC2, qui établit l'équivalence de l'énergie et de la masse, alors on pourra comprendre que le dégagement de l'énergie phénoménale qui se produira pour produire l'équivalent exact de la période de l'inflation de la cosmologie actuelle se transformera en masse, mais après un temps se comptant en fraction infime de la seconde, conformément à l'écoulement  du temps où la masse avait presque disparue et le temps aussi. Ce temps aujourd'hui considéré comme le temps en une infime fraction de la seconde qui sépare le Big Bang de l'inflation est en réalité celui des milliards et des milliards d'années qu'à duré l'expansion en accélération d'un univers qui n'était rien d'autre que le nôtre mais dans un état différent, et précédent.

On ne sait pas encore la nature exacte de la présence de gigantesques vides occupées uniquement par des fluctuations électro-magnétiques. Certains scientifiques l'attribue à la période d'avant l'inflation, c'est-à-dire à la période nommée par erreur Big Bang …

On commence par contre à penser sérieusement que les gigantesque galaxies détectées à moins de 500 millions du début de l'inflation se sont développées pendant les milliards d'années qu'à durée d'une certaine façon le Big Bang, qui, avec cette nouvelle cosmologie disparaît carrément de cette nouvelle cosmologie ....

Cette nouvelle cosmologie écarte la théorie du multivers.

Elle indique que nous sommes et nous serons de toute éternité dans le même univers qui prend ainsi la forme de la métaphore d'une gigantesque respiration, métaphore à rapprocher de l'intuition d'une forme de cosmologie donnée par une certaine forme de pensée philosophique nous ayant été livrée par l'Inde bien avant Socrate et les pré-socratiques … (si j'en crois un de mes amis qui m'avait confié la chose en 1965 et qui avait déjà lu au moins dix mille fois plus de livres que moi. Nous avions le même âge, y doit être mort.) ...

Les infos d'Omer sont un peu datées.

Néo, je t'aime trop (tu le sais) pour te retourner la politesse ...

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[Omer Desseres]

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Je pense ne pas avoir insisté sur une particularité de la cosmologie avancée par Roger Penrose.

La vitesse d'expansion en augmentation permanente bien établie aujourd'hui par les observations, c'est exactement la prochaine inflation à son jeune âge, c'est-à-dire bien avant qu'elle aura atteint partout une vitesse supérieure de plusieurs ordres de grandeur à celle de la lumière et constituera l'inflation d'où émergera une autre forme d'univers similaire à celle d'aujourd'hui grâce à la transformation de la masse énergétique «sombre»* en masse matérielle, conformément à la formule d'Einstein E=MC2 ...

* L'énergie sombre se caractérise pas le fait qu'on ne voit aucune influence ni aucune dépendance de cette énergie par rapport à la matière, ce qui n'abolit pas la possibilité de sa transformation en masse selon E=MC2.

Pour mémoire l'énergie sombre s'exerce uniquement sur la trame de l'espace-temps et pas sur les objets qui s'y trouvent et qui s'éloignent les uns des autres comme les voyageurs de deux autobus en éloignement l'un de l'autre.







Avec la cosmologie de Roger Penrose le cercle de l'inflation indiqué à gauche, c'est un cercle similaire à celui de l'extrémité de droite mais plus âgé de milliards et de milliards d'années.

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[Kercos]

En considérant que l' on n'est toujours pas capable de définir la cause du phénomène attraction des corps célestes, ces spéculations restent de la littérature. Je peux aussi affirmer que ce l'est pas l'espace qui est en expansion, ..mais le temps qui se contracte.

[Omer Desseres]

En considérant que l' on n'est toujours pas capable de définir la cause du phénomène attraction des corps célestes, ces spéculations restent de la littérature. Je peux aussi affirmer que ce l'est pas l'espace qui est en expansion, ..mais le temps qui se contracte.

Je vois.

À propos, moi non plus je ne sais rien des causes du phénomène de l'attraction des corps célestes.

Et pourquoi je ne sais rien de ces causes, ni même de ce phénomène, ni même de l'attraction elle-même des corps célestes, hé bien si je ne sais pas ces choses, c'est parce que je sais qu'elles n'existent pas !

Cela dit, il se peut que je te montre que, d'un certain point de vue, ton affirmation voulant que l'espace n'est pas en expansion pendant que le temps se contracte est incontestablement vraie ...

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[aliochaverkiev]

Se donner une vision du Cosmos...J'ai été marqué par la cosmologie grecque, par l'effort grec à ordonner le monde physique tel qu'il apparait. Chez les Grecs il y a cette notion d'harmonie, il y a la Sphère des Fixes, il y a le monde céleste, il y a le monde sublunaire, le monde humain chaotique. L'harmonie du monde céleste induisait la recherche de l'harmonie dans le monde terrestre. J'étais impressionné par la Pythie qui réfèrait à l'inspiration, ce lien entre notre monde et une réalité obscure agissant par la suggestion. Il y a a bien sûr dans cette cosmologie la notion de l'éternel retour, issue des conditions propres à l'agriculture. J'ai corrigé cette vision par celle du temps linéaire, qui va d'un point à un autre, vision issue, entre autres, du monde Judéen, fondé lui sur l'Histoire, bien qu'il y ait aussi dans la tradition judéenne la notion d'éternel retour liée à l'agriculture. Nombre de fêtes judéennes sont construites autour des saisons, des récoltes qui reviennent chaque année.
Dans la vision grecque antique l'espace est fini, les astres vont une ronde éternelle, ce qui signifie un temps sans origine ni fin. Ce qui engendre la notion d'incréé.
Dans la tradition judéenne l'Histoire implique une origine et une fin, la notion de Création. Le temps est différent. Mais même dans cette vision la notion d'incréé réapparait au niveau du dieu judéen puisqu'il est lui-même incréé.
De ces cultures antiques je retiens aujourd'hui l'hypothèse grecque construite autour de la Pythie : il existe un monde autre qui nous échappe dont l'action dans notre monde passe par l'inspiration et la "coïncidence", l'apparition de coïncidences dont la probabilité est tellement proche de zéro que surgit cette idée d'une action étrange dans l'espace du probable.
J'adhère volontiers à la vision sémite d'une origine et d'une fin. Bien que cette hypothèse soulève tant de contradictions qu'elle met au défi toute intelligence.

[Omer Desseres]

Se donner une vision du Cosmos...J'ai été marqué par la cosmologie grecque, par l'effort grec à ordonner le monde physique tel qu'il apparait. Chez les Grecs il y a cette notion d'harmonie, il y a la Sphère des Fixes, il y a le monde céleste, il y a le monde sublunaire, le monde humain chaotique. L'harmonie du monde céleste induisait la recherche de l'harmonie dans le monde terrestre. J'étais impressionné par la Pythie qui réfèrait à l'inspiration, ce lien entre notre monde et une réalité obscure agissant par la suggestion. Il y a a bien sûr dans cette cosmologie la notion de l'éternel retour, issue des conditions propres à l'agriculture. J'ai corrigé cette vision par celle du temps linéaire, qui va d'un point à un autre, vision issue, entre autres, du monde Judéen, fondé lui sur l'Histoire, bien qu'il y ait aussi dans la tradition judéenne la notion d'éternel retour liée à l'agriculture. Nombre de fêtes judéennes sont construites autour des saisons, des récoltes qui reviennent chaque année.
Dans la vision grecque antique l'espace est fini, les astres vont une ronde éternelle, ce qui signifie un temps sans origine ni fin. Ce qui engendre la notion d'incréé.
Dans la tradition judéenne l'Histoire implique une origine et une fin, la notion de Création. Le temps est différent. Mais même dans cette vision la notion d'incréé réapparait au niveau du dieu judéen puisqu'il est lui-même incréé.
De ces cultures antiques je retiens aujourd'hui l'hypothèse grecque construite autour de la Pythie : il existe un monde autre qui nous échappe dont l'action dans notre monde passe par l'inspiration et la "coïncidence",  l'apparition de coïncidences dont la probabilité est tellement proche de zéro que surgit cette idée d'une action étrange dans l'espace du probable.
J'adhère volontiers à la vision sémite d'une origine et d'une fin. Bien que cette hypothèse soulève tant de contradictions qu'elle met au défi toute intelligence.

La cosmologie est un élément de la science qui n'a cessé d'évoluer en se différenciant à partir d'une antiquité difficile à situer jusqu'à nos jour en passant par l'Inde, l'Égypte, la Grèce, l'Amérique précolombienne, l'Europe et tout un tas de lieux du monde.

Aujourd'hui, il existe plusieurs cosmologies. Celle de Roger Penrose, qui fait l'objet de cette enfilade de message. Celle de Jean-Pierre Luminet, fondée sur une topologie réussissant à faire le lien entre le fini et l'infini. Celle de Claude Rovelli et Aurélien Barrau, qui travaillent sur une gravité quantique à boucle pour expliquer l'origine de l'univers.

(Entre autres).

La cosmologie a toujours été une science intéressantes pour les penseurs de nombreuses civilisations.

Celle de Roger Penrose me plaît particulièrement car elle fait appel à un faisceau de connaissances bien établies dans le monde de l'astrophysique tout en étant logique malgré son aspect contre-intuitif de taille. Cette cosmologie est une sorte de paradigme scientifique qui semble s'imposer dans le monde de l'astrophysique. Elle fait certainement écho au concept d'éternel retour de l'antiquité grecque, qui me semble reprendre ce concept d'une philosophie venue de l'Inde en un temps ayant précédé celui des premiers philosophes grecs ...

L'éternel retour travaille les intellects depuis des temps immémoriaux. Il se substitue avec aisance au concept de vie éternelle d'après mort du christianisme et de l'islam. Repris à sa façon par Nietzsche il se mue en une éthique d'inspiration spinozienne des plus remarquables.

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