Apologie de Michel Onfray mélomane et homme de théâtre

[victor.digiorgi]

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Michel Onfray nous fait partager sa passion pour la musique. Ses premières expériences, ses rendez-vous manqués, son éducation musicale en autodidacte, les oeuvres et les compositeurs qui le touchent, mais également sa vision de la musique et de ses liens avec la philosophie.

Il nous convie à un voyage en musique, tentant de saisir la « raison des sortilèges ».

Que dit la musique ? Dit-elle seulement quelque chose ? Pourquoi y sommes-nous sensibles ? Pourquoi sommes-nous émus ou énervés par le son d’un violoncelle ou d’une flûte ? Y aurait-il, au-delà du goût, une part d’explication neuronale ? Quelle est la place du silence en musique ? Et de la voix ?

Convoquant les philosophes ayant tenté une approche de la vérité musicale – Schopenhauer, Nietzsche ou encore Jankélévitch – Michel Onfray s’exerce à répondre à ces questions.

Au fil de ses réflexions, nous croisons la route de plus d’une centaine de compositeurs à travers les siècles : Bach, Wagner, Berlioz, Varèse, ou encore Debussy.

À la fois intime et instructif, cet ouvrage apporte une réflexion sur notre conception de la musique.


Vous venez de lire la quatrième de couverture de l'ouvrage suivant de Michel Onfray :





À ceux qui ont des yeux pour voir Michel Onfray à la télévision, mais qui n'en ont pas pour le lire attentivement, je dis « Merde à la cécité ! » et à ceux qui ont des oreilles, mais qui n'en ont pas pour écouter la musique dont parle Onfray dans cet ouvrage, je dis « Merde à la surdité ».

Et invite les aveugles et les sourds à ne pas se trouver le 28 mai prochain en même temps que moi dans la salle suivante, où sera donné en ma présence le « Jeanne au bûcher » de Honneger.

Et où a été donné il y a quelques mois, en ma présence aussi, « La sagesse des abeilles » d'Onfray.







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[Geo Rum Phil]

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Michel Onfray nous fait partager sa passion...

Pour se donner en spectacle comme Michel Onfray, il faut avoir de gros moyens. Il paraît qu’il est très avare avec ces moyens, maison d’édition, etc. Cela ne l’empêche pas de s’inspirer des forums sur internet et des cafés-philo. Un philosophe de pouvoir parmi autres sophistes-philodoxes du pouvoir.

[victor.digiorgi]

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Un de plus qui ne le connaît pas ...

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[Geo Rum Phil]

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Un de plus qui ne le connaît pas ...

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Un sophisme de plus pour mieux te connaître.
Pardon ! Pour mieux le connaître.

Il faut être un grand naïf pour ne pas connaître le sens de la reconnaissance à sens unique des philosophes du pouvoir.

«Tout homme faisait servir le monde entier à sa propre apologie. Il était nécessaire avant tout de ne pas se mépriser, de se découvrir une valeur ensuite et enfin de se préférer à tout le reste », Jouhandeau, Monsieur Godeau intime,1926, p. 177

[victor.digiorgi]

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Ça pue la jalousie ...

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[Geo Rum Phil]

Ça pue la jalousie ...

Paradoxalement, l'odeur-puante de ta réponse ne vient pas de moi.

[victor.digiorgi]

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Chacun ses narines ... Et comme je le disais plus haut : « Merde à la cécité » et « Merde à la surdité » ...

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[Courtial]

Oserais-je vous suggérer de prolonger cette passionnante conversation en message privé ?

C'est pas qu'on s'ennuie, hein, le monde entier est même passionné par vos échanges de boules puantes, mais il me semble qu'on en a déjà épuisé tout le suc.

Je vous remercie par avance d'aller déposer vos ordures ailleurs.

[victor.digiorgi]

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M'sieur ! C'est lui kia comansé !

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Bon, bon, ça va, on a (j'ai) compris ...

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[victor.digiorgi]

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LA SAGESSE DES ABEILLES. Première leçon de Démocrite.

Imaginez 20 000 abeilles sur scène, seules actrices vivantes d’un spectacle qui leur rend hommage, mises en exergue par le très beau texte du philosophe Michel Onfray écrit pour l’occasion. L’orchestration scénique de Jean Lambert-wild nous ouvre les portes d’un monde étrange et nous invite à prendre conscience du deuil qu’il faudra porter si les abeilles continuaient à disparaître. Cette amnésie qui fait perdre aux abeilles le chemin de la ruche, les laissant mourir hors de chez elles, fait écho à l’amnésie qui frappe les hommes, aujourd’hui souvent bien en peine lorsqu’il s’agit de «converser» avec un monde qu’ils habitent sans plus le contempler.

En prenant la forme d’une réconciliation nécessaire entre l’Homme et le vivant, le spectacle nous rend un univers tout empli du vrombissement d’abeilles qui tourbillonneraient en nous et en-dehors de nous comme les atomes rêvés par Démocrite, nous laissant les oreilles bourdonnantes du murmure de la conversation de l’homme avec le monde, et de l’homme avec lui-même. La disparition des abeilles – à la fois sentinelles et pollinisatrices indispensables à notre survie – signifierait une lourde menace pour l’humanité tout entière. La République des butineuses fait figure de modèle à méditer pour la société humaine. Dit par Michel Onfray, le poème est traité par couches, tel un matériau plastique auquel la musique de Jean-Luc Therminarias insuffle une stratification rehaussée par un souffle électro.

« Notre désir de conversation s’adresse non pas entre des acteurs et des abeilles, il s’adresse entre des acteurs, dont certaines sont des abeilles, et des spectateurs. » déclare Jean Lambert-wild, metteur en scène de la pièce.

Mais comment faire travailler dans le même espace les Hommes et les abeilles ?

La solution imaginée a été surprenante …

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[victor.digiorgi]

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LA SAGESSE DES ABEILLES. Préparation du spectacle :









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